Blabla Otaque

Fourre-tout des tempêtes

Ca faisait longtemps que j’avais pas fait de fourre-tout, dis donc. Articles écrits à la cool, où je parle juste des trucs que j’ai pu voir ou auquel j’ai pu jouer ces derniers temps, sans forcément me lancer dans des analyses de fond. On va pas mal parler d’animation jap aujourd’hui parce que, voilà, je l’ai ptet déjà raconté ici mais y’a six mois je profitais d’avoir acquis un forfait m’offrant 100Go de data (et quand tu passes de 2 à 100, tu kiffes) pour choper l’application Crunchyroll et commencer à mater des animes un peu n’importe où sur mon téléphone. Plutôt cool mais comme on peut pas précharger les séries, j’étais pas mal à la merci du réseau car j’ai beau vivre dans une des principales mégalopoles mondiales, y’a encore des zones où ça passe moyen. Du coup derrière j’ai découvert Netflix qui permet de précharger, et tout était délicieux, encore plus quand mon cerveau a enfin fonctionné et que je suis directement passé au stade « foutre des mkv sur ma carte SD et les lire avec VLC Android. » Dans tous les cas, j’avais certes cinq ans de retard sur le reste du monde mais j’avais acquis – ENFIN – le réflexe de regarder des animes dans les transports et vu que j’ai entre deux et trois heures de bus/train dans mon quotidien, l’opportunité de trouver le temps de caser des épisodes à mater sur mon trajet s’est montrée devant moi et comme dirait le perso-pas-du-tout-suspect de Coco, cette opportunité je l’ai saisi.

Certains diront que mater des animes sur un petit écran de Moto G qui est remué par le roulis d’un train c’est pas optimal et ils auront pas forcément tort mais on va dire que certaines séries s’adaptent pas trop mal à ce format là, surtout celles où ça blablatent beaucoup et où la qualité visuelle est pas à l’ultra top. Et ça concerne beaucoup de séries.

Dans tous les cas ces six derniers mois j’ai pu du coup vider un peu mon backlog de séries que j’étais en train de mater, parfois depuis longtemps, mais sur lesquels je trainaissais et, surtout, enfin voir des séries que je voulais mater depuis un bail mais sur lequel je trouvais pas le temps de les mater chez moi. Une nouvelle ère s’annonce, et ça compense le fait que j’ai en parallèle énormément réduit le temps que je dédiais chaque semaine à lire des mangas. Moins de mangas, plus d’anime, la vie est un équilibre perpétuel.

Néanmoins j’aimerais commencer ce fourre-tout en évoquant rapidement un jeu que j’ai complété tout aussi rapidement: Momodora Reverie Under the Moonlight. 

Il semblerait que ça soit le quatrième épisode d’une franchise qui a longtemps été enfouie dans le fond du jeu indépendant, mais comme ça raconte des événements antérieurs à ceux des trois premiers jeux, ça va, ça gène pas. Le jeu a un concept très simple: on y joue une prêtresse qui, armée de sa gigantesque feuille, va devoir essayer de rencontrer la reine d’un royaume qui pourrait l’aider à sauver son village, devasté par une terrible malédiction. Sauf que problème: arrivé aux portes de la ville… la malédiction a aussi decimé la capitale du royaume. La reine est possédée, les habitants se sont enfuis, et ça va être à vous d’exorciser ce bordel.

Dans sa construction, Momodora est un Metroidvania tout ce qu’il y’a de plus classique: la carte est découpée en différentes zones très distinctes, certains chemins vous sont bloqués au départ mais vous trouverez très vite des pouvoirs vous permettant de les explorer. Vous êtes donc au départ faible et vulnérable mais vous terminez le jeu ultra balèze et explorer la carte dans le détail vous assure toujours d’être récompensé. Et ici, comme dans un Metroid ou un Symphony of the Night, certaines zones sont occupées par des boss particulièrement retors, qui vont exiger de vous une attention constante et une fine observation de leurs patterns, surtout si vous voulez les finir sans perdre le moindre point de vue… et ainsi remporter des récompenses pas dénuées d’intérêt.

C’est un jeu qui m’a surpris de part sa brièveté: il m’aura fallu un petit peu moins de six heures pour le completer à 100% en Normal mais je vais avouer qu’aucune de ces six heures ne m’a ennuyé. Y’a une direction artistique vraiment chouette qui se dégage du titre, on sent clairement une inspiration Touhou et le fait qu’on ait affaire à un cast quasi majoritairement féminin l’accentue d’autant plus. Enfin, on sent que les boss ont été particulièrement soignés, et chaque affrontement va mettre nos compétences à rude épreuve, d’autant que y’a suffisamment d’objets et d’équipements différents à trouver dans le jeu pour oser des stratégies qui peuvent parfois être très risquées mais vite nous récompenser.

Bref, j’ai passé un très bon après-midi sur Momodora et à 10€ le jeu j’en attendais pas plus. Il n’a peut-être pas la qualité de titres récents du même genre comme Hollow Knight mais si vous cherchez un jeu qui vous occupera bien tout un dimanche après-midi et sur lequel vous avez pas forcément besoin de prévoir un long engagement, c’est pile le bon genre de snack qui peut vous parler.

M’enfin dans tous les cas, j’avais promis de l’anime, vous allez bouffer de l’anime donc voilà aucune surprise, j’ai kiffé Girls und Panzer. 

Je ne me suis maté que la série animée de 2012 pour l’instant, il me reste masse d’épisodes spéciaux et les films à voir derrière, mais c’est évidemment le genre de délire assumé typiquement japonais pour lequel je ne peux qu’avoir un minimum d’affection. Pourtant on est un poil sur un terrain glissant: en bon bas-normand vivant sur les plages du Débarquement et elevé à la visite régulière du Mémorial, voir le matériel de guerre de la Seconde Guerre Mondiale aurait pu me mettre foutrement mal à l’aise… sauf que comme j’ai aussi grandi dans une région ou y’avait des tanks supers cools partout dans les rond-points pour le devoir de souvenir, j’ai aussi développé très jeune un petit amour sur les gros engins mécanisés à chenille. Du coup ça s’annule.

On a donc une série qui nous raconte l’histoire d’un club scolaire de tankwando, un art martial qui se joue à bord de tanks, et dans lequel deux équipes doivent se faire face et essayer de mettre HS le char « principal » du camp d’en face. Un sport entièrement féminin, qui se joue tout autour du pays, dans des destinations qu’il est facile d’atteindre car les écoles de ces jeunes filles sont sur des foutus portes-avions géant. 

Note: la série utilise pas mal de vues à la première personne, ce qui est relativement rare dans les animes

On va donc suivre la destinée du club d’héroïnes, qui vont devoir construire de zéro un club, club composé de pas mal de tanks un peu médiocres, et qui vont devoir remporter le tournoi annuel. Comme leurs tanks sont médiocres, c’est surtout la tactique et la stratégie qui va primer et, ça tombe bien, l’héroïne est pas mauvais à ce petit jeu.

Evidemment, y’a pas mal de trucs qu’on peut trouver facilement un peu couillon dans Girls und Panzer: le sport lui-même, parfois, faut suspendre son incrédulité très très fort tant il est miraculeux que personne ne meurt. Parce qu’elles se battent avec des obus réels, damnit. Mais si on s’amuse pas à chipoter trop, on a quand même une série excessivement fun, composé de personnages très variés – on a genre au total une quarantaine de filles doublées rien que dans la série – et où les stratégies utilisées sont variées, malignes, et rendent chaque affrontement particulièrement intense. C’est souvent drôle, d’ailleurs – quand Frisée va faire l’espionne dans le porte-avion américain j’étais à deux doigts d’une réelle et franche hilarité.

 

Bref, c’est un bon petit plaisir, c’est la fusion de deux niches pour en faire un palais, et il faudra maintenant que je me regarde tout ce qui est épisodes spéciaux et autres films, surtout que là j’ai vu que le dernier film en date s’attardait enfin sur l’équipe français, mon drapeau il est prêt.

Après ça j’aurais pu vous parler de Symphogear et de Kemono Friends mais comme je dédierais sans doute un article au premier, et que de toute façon j’ai déjà bien parlé des deux dans le bilan annuel , alors ok, quelques mots de The Night is Short, Walk on Girl alors ?

Déjà je vais préferer être honnête: sept ans après, je n’ai toujours pas vu Tatami Galaxy. Où, en tout cas, je n’ai toujours pas dépasse l’épisode deux. C’est un petit problème en soit, mais je le réparerais un jour, d’autant que voir ce film hier soir dans une salle complète et au taquet du forum des images m’a vraiment encouragé à m’y replonger: après tout, ce film adapte un autre roman du même auteur. Au point que des personnages de Tatami réapparaissent dans Night is Short. Bonne nouvelle: ne pas les connaître n’est pas un problème pour autant. En tout cas, la salle semblait frémir de plaisir à chaque nouvelle apparition d’une tête connue et j’aurais bien aimé le partager avec eux mais, eh, c’est mon problème.

Dans tous les cas, l’intrigue est fun: un mec (nommé « Senpai ») aime une fille (nommée « La Jeune Fille aux Cheveux Noirs »), aimerait profiter d’une longue after-party de mariage pour enfin réussir à concrétiser avec elle, sauf que très vite cette jeune fille va quitter la fête pour aller s’aventurer dans les rues de Kyoto où elle se retrouvera, entre autres, à boire dans tous les troquets, à visiter une brocante aux livres ou bien encore à assister au festival scolaire local. Le tout dans une nuit qui, contrairement à ce qu’indique le titre, va être très longue. C’est fun, c’est déjanté, ça n’arrête jamais de bouger: on voyage de décors incongrus en situations décalée, chaque élément introduit dans le film va revenir en force plus tard, c’est bien ciselé, c’est efficace, c’est un peu intello mais c’est jamais péteux et visuellement ça va dans toutes les directions tout en parvenant miraculeusement à toujours coller. C’est aussi maîtrisé que pouvait l’être Lou et l’île aux sirènes, mais ça aborde des thèmes plus matures. A ce titre les deux films se complètent extrêmement bien et j’ai beaucoup d’admiration pour Yuasa qui s’est quand même permis de sortir deux films la même année.

Je ne crois pas que le film aura une exploitation cinéma, c’est un peu dommage: une telle débauche visuelle a clairement sa place dans les salles obscures, et semble même la manière optimale de voir le film, mais, bon, le DVD/BR est déjà annoncé donc faudra être patient mais c’est dans tous les cas, un excellent film de plus dans une année 2017 qui nous gâte décidément trop.

Oh, et j’ai dit que Kana Hanazawa faisait le rôle principal et que à un moment dans le film elle participe à une comédie musicale débile ??? Trop d’intensité pour mon petit cœur. Ah, en parlant de petit coeur, j’en suis au 7e épisode de Netjuu no Susume, aka Recovery of a MMO Junkie et je tiens à attirer deux secondes votre attention dessus parce que c’est encore une romance extrêmement mignonne que nous offre là l’année 2017.

Scénario assez simple mais qui s’ouvre pas mal à des malentendus rigolos puisqu’on suit dans cette série Momioka, une trentenaire qui après avoir ragequit son taf (qui semblait la tuer à petit feu) se retrouve oisive et décide dès lors de se lancer dans un MMORPG, comme au bon vieux temps. Le jeu en question s’appelle Fruits de Mer (* haha *), elle décide de se créer un avatar masculin (car quitte à jouer longtemps, autant jouer un beau gosse), et se retrouve très vite à rencontrer une magicienne nommée Lilly qui va l’aider à compléter une quête très compliquée puis l’invitera ensuite à rejoindre sa guilde. Notre héroïne va donc se faire plein de nouveaux amis tout en gardant son identité réelle secrète, ce qui va pas mal compliquer les choses quand son avatar et Lilly commenceront à fricoter ensemble… sachant que la réelle identité derrière Lilly c’est un mec. Mais comme elle, elle décide de garder son vrai genre secret. On a donc une histoire ou une femme qui se fait passer pour un homme tombe amoureuse d’une femme qui est en réalité un homme, et vice-versa. 

Et c’est à la fois mignon, mais en plus très drôle puisque évidemment ces secrets et ces malentendus vont s’empiler. Ce qui empêchera pas l’intrigue de progresser assez vite, même si j’ai eu l’impression sur les deux derniers épisodes qu’on commençait un peu à stagner. Ca reste suffisamment mignon et chalereux pour fonctionner mais j’ose espérer que les trois derniers épisodes (y’a que dix épisodes) sauront mettre un ptit coup de collier.

Et puis, de manière surprenante, dans son épisode 2, l’anime évoque directement et sans mettre de gants… le burnout. L’héroïne, pourtant à peine trentenaire, semble avoir un passé de citron pressé, et une courte séquence onirique exprime de manière très juste la peine et le désespoir que l’on peut ressentir quand le travail vient supprimer ta propre vie. En outre, l’anime dépeint clairement ça comme quelque chose de nocif, dont tu as tout à y gagner en t’y soustrayant. C’est pas forcément ultra répandu comme message dans l’animation japonaise – souvent on te montre que oui le travail est dur mais faut faire avec ou, encore plus souvent, que plus tu travailles mieux c’est et plus tu es récompensé -, du coup c’est bienvenu. En même temps, le Japon commence à se rendre pas mal compte de son rapport néfaste aux heures de travail, ça semble aussi en adéquation avec le message politique qui est actuellement porté dans le pays. J’y vois ptet beaucoup dans une simple scène servant à caractériser l’héroïne d’un petit manga de romance, mais c’est ma satisfaction qui parle.

Quant à rester sur des animes très récents, là encore une fois j’aurais aimé vous parler de ReCreators, dont je me suis enfilé les 22 épisodes en à peine une semaine, mais j’aurais tellement de choses à en dire sur ses qualités et ses défauts que je vais essayer de me mettre de côté du temps l’an prochain pour écrire un vrai gros article dessus. Donc en attendant, je vous le recommande quand même, mais du coup je vais conclure ce petit fourre-tout par, euh, Juuni Taisen. Et en réalité je vais être terriblement fainéant et décevant: j’avais prévu dans le bilan annuel d’il y’a quinze jours de dédier le mois de novembre à Juuni Taisen. J’avais écrit un très long truc sur la série mais au final j’ai remplacé ça à la dernière minute par une toute autre série, en l’occurence Kemono Friends. Du coup voilà ce que j’avais écrit à la base sur cette série de battle royale très particulière…

Je sais pas trop pourquoi mais parfois je m’inflige les threads d’épisodes sur des communautés anglophones comme /r/anime et je passe mon temps à m’offusquer de la nullité des interventions. J’imagine que j’ai besoin de ce genre d’expérience pour me construire un semblant d’égo et d’amour-propre. En tout cas, bref, depuis le début de Juuni Taisen, tout le subreddit semble être outragé du fait que « l’ending spoile l’ordre des morts » et que, du coup, la « prévisibilité de la série » la rend inmatable. Ca pose deux problèmes:

1/ Une battle royale ne pourrait être passionnante que si on ne connaît pas l’ordre des décès. Ce qui est gravement réducteur.

2/ Ces mecs n’ont pas la moindre foutue culture asiatique et du coup se posent pas les bonnes questions.

L’ordre des personnages dans l’ending c’est pas celui des morts de la série: c’est l’ordre du zodiaque chinois. Vous savez la légende originale, là, celle qui est racontée dans Fruits Basket et mille autres oeuvres asiatiques. Celle où à la fin, le rat arrive le premier à la destination déterminée à Bouddha et, donc, gagne après avoir fait un sale coup au boeuf qui l’avait transporté sur le dernier segment. Sachant que l’ordre d’arrivée des animaux a défini l’ordre des animaux dans le zodiaque, c’est une légende extrêmement connue en Asie. 

Et voilà que des pisseux anglophones se plaignent parce que, vous comprenez, l’ending rend du coup explicite l’ordre des morts qui, du coup, respecte peu ou prou l’ordre de la légende originale. Putain ! N’importe quel chinois, n’importe quel coréen, n’importe quel japonais aurait compris dès le début ça. C’est quoi la prochaine étape ? Se plaindre que le foutu zodiaque occidental spoile l’ordre des maisons de Saint Seiya ? « Oh non, putain, comme prévu, après la maison du Lion, c’est la maison de la Vierge, dommage que l’horloge du Sanctuaire rende ça prévisible :/ ». Débiles.

Quand on prend Juuni Taisen comme une relecture de la légende originale, mise sous la forme d’une battle royale, quand on est conscient que le duel final opposera vraisemblablement le rat et le boeuf et que du coup on sait parfaitement qui va mourir à quel moment, c’est une série qui démontre à partir de là pas mal de ses qualités. A commencer par sa grande cruauté et son absence des clichés habituels du genre: ici pas de combattant apeuré qui se bat contre son gré, tout le monde est venu avec un plan, tout le monde est balèze et tout le monde meurt de manière brutale et radicale. Une seule erreur, une seule sous-estimation et le personnage meurt, sans dramatisation, sans miracle, sans grand discours. Ici tout est froid, professionnel et pris très au sérieux. Sans compter des personnages made in NisiOisin qui sont, comme à l’accoutumée, tous des gros cas sociaux. 

Je ne dis pas que toutes les séries de battle royale – et il y’en a eu beaucoup en 2017 – devraient suivre ce rythme et cette tendance, mais de part son écriture et ses partis-pris sans concessions, Juuni Taisen arrive à être différent, à sortir du moule habituel et, du coup, se révèle très intéressant. Un petit coup de coeur de ma part et, évidemment, Coq best gril.

(Note de la rédaction: évidemment j’ai écris tout ça juste avant la diffusion de l’épisode 8 qui se concentre beaucoup trop longtemps sur le passé assez médiocre de deux personnages dont on se contrefout depuis le début, 20 très longues minutes qui ne font rien avancer à rien, et où l’on s’emmerde gaillamment. Et depuis cet épisode, la qualité technique de la série s’est bien cassée la gueule. Triste monde tragique.)

Yep

Donc voilà pour aujourd’hui. C’est un article pas mal placé sous le signe du « je le débute en espérant parler de plein de trucs » et au final je me rends compte pendant la rédaction que y’a pas mal de séries sur lesquelles j’aurais aimé plutôt dédier un article complet. Genre, pareil, j’aurais bien aimé vous dire que l’Ere des Cristaux en anime, c’est un inloupable mais, eh, c’est pas simple d’écrire dessus. 

Sur ce, je me prépare à partir pour Rennes où je vais staffer avec Thalie sur Sugoi, une convention dont c’est la première édition, qui ambitionne 15 000 visiteurs, et qui a 24h de son ouverture a encore pas rempli la totalité des pages de son site. J’ai pas un bon pressentiment mais c’est aussi un peu ça, la vie d’aventurier.

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2 commentaires

  • Yamakyu

    Ok bon alors, voir Momodora Reverie Under The Moonlight mentionné en premier dans ce post genre 24h après que je l’aie moi même terminé, et sans que j’en aie jamais entendu parler nulle part sur mes internets auparavant (excepté *une vidéo* sur YT), je saurais pas bien le décrire mais ça me fait *quelque chose* x) Surtout sur Néant Vert ha ha.
    C’était définitivement un bon gros kiff comme jeu ouaip, très court mais tout aussi bon, si ce n’est plus (spoiler : ça l’est). J’ai appris tout juste hier du coup que le 5 serai en 3D et tout, mais il est encore en développement (et sans doute pour un boooon bout de temps). Mais still. Je suis hype.

    Anyway, bon courage pour Sugoi, de même j’ai hâte de savoir si le salon se goupille bien :>

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