Un été monstrueux (presque littéralement)
Un peu de temps dispo à la pause déjeuner et une envie de taper des mots pour créer des phrases et ainsi donner forme à mes opinions: allez, hop, je m’en vais bloguer vite fait sur les animés que je mate cet été, maintenant qu’un mois s’est écoulé et que je peux commencer à dire des trucs pertinents sur cette saison estivale. Puis bon ça va me permettre de bloguer de manière décontractée vu qu’au final… je mate pas tant de choses jusqu’ici. Un article fera t-il enfin moins de 5000 mots ? C’est envisageable !
Pour l’instant, du coup c’est cinq animés que je suis cet été. Sachant que parmi les cinq y’en a un qui est un format court (3mn par épisode) et y’en a un que je pense lâcher d’ici un ou deux épisodes. Globalement, c’est comme je le craignais lors de ma preview saisonnière: une saison qui mise tous sur ses suites et peine à amener de manière convaincante de la nouveauté. Je dois aussi admettre que le fait que je ne me suis pas lancé dans My Happy Marriage parce que j’accroche pas trop à l’ambiance et au contexte historique m’aide pas à porter une opinion généreuse envers les nouveautés de la saison.
Mais y’a quand même du cool ! Et je vais commencer par le meilleur, avec Undead Girl Murder Farce.
Encore une fois titre occidental un peu incompréhensible puisqu’il retire le « Girl » pour à la place nous proposer un simple Undead Murder Farce. Quel est l’interêt de cette modification ? Je l’ignore. Les japonais pensent-ils que les occidentaux peuvent pas retenir plus de trois mots ? Peut-être. Est-ce que les occidentaux ont retirés le « Girl » pour pas que le public masculin croie que c’est une série pour les filles et du coup le mate pas ? J’entre dans le domaine de la théorie du complot mais écoutez, tout est possible et plus rien ne me surprendrait. Mais qu’importe: avec cette série on est dans un cocktail intéressant mélangeant horreur et mystère puisque nous y suivons les aventures au sein de l’Europe de la fin du XIXe siècle d’un duo chargé d’élucider des crimes mettant en scènes des bêtes fantastiques et autres membres du folklore horrifique européen. Le twist étant que les deux membres de ce duo sont eux même plutôt monstrueux: lui semble clairement être une sorte de démon et elle… est une immortelle… qui a paumé son corps. Il lui reste littéralement plus que la tête, qui est transportée en permanence dans une cage, souvent portée par une servante muette comme une carpe mais au caractère bien trempé.
A la base si je suis allé du côté de la série c’est tout simplement parce que j’ai fait mon mec qui fait genre il connaît les noms des réalisateurs d’animation japonaise – faut dire que quand je vois Mamoru Hatekayama à la tête d’une série, je porte quand même attention. Le gars sort d’un run absolument ouffisime en temps que directeur des quatre dernières oeuvres Kaguya-sama Love is War et, avant ça, il s’était quand même pas mal montré compétent avec Le Rakugo ou la Vie. Donc je savais que j’allais avoir une oeuvre qui dans tous les cas serait montée par le haut via sa réalisation et sa mise en scène, et effectivement y’a pas de surprise: la mise en scène de Undead Girl Murder Farce défonce.
Et moi perso une mise en scène inventive, dynamique et créative j’en ai bien besoin parce que Undead Girl Murder Farce est une série très très verbeuse, ce qui est pour mon cul d’hyperactif est souvent un mauvais signe ! Ca parle beaucoup dans cette série pour ne pas dire que ça parle même constamment. En même temps on est sur du récit de détective à l’ancienne, dont vas y que ça balance des alibis, vas y que ça explique des raisonnements, vas y que ça part parfois en petite disgression parce que les deux héros aiment bien se balancer des piques verbales et faire des comparaisons souvent inattendues… Mais ça marche bien, parce que ces dialogues sont souvent bien illustrés, et souvent sont dépourvus de pas mal du gras habituel.
Puis ouais la force de l’animé, jusqu’à présent, c’est son univers et le côté assez fun de voir une détective arriver au sein d’un manoir de vampire pour élucider un meurtre de vampire dans un contexte où tous les autres suspects sont des vampires. En plus des twists classiques du genre mystère, le spectateur si il veut élucider l’affaire doit aussi commencer à prendre en compte l’aspect fantastique du récit et avoir une solide connaissance du lore « traditionnel » des monstres européens de cette période. C’est une série qui semble clairement écrite par quelqu’un qui aime les récits de mystère mais aussi et surtout tous les délires à base de loups-garous, de vampires, de monstres de Frankenstein divers et variés… Sherlock Holmes est name-droppé et le méchant portant une canne avec un M bien écrit dessus, on se doute à peine que Moriarty est clairement l’antagoniste principal du récit. Sans oublier Carmelia qui fait aussi une apparition… Bref, on est dans une lettre d’amour au fantastique de la fin du XIXe, c’est clairement sincère et c’est plutôt agréable.
Puis évidemment le bonus fun c’est les deux héros – Aya la tête-sans corps qui fait toujours preuve d’un charisme et d’une confiance en soi extrêmement palpable et Tsugaru le demi-démon faussement couillon et très désinvolte dans ses propos, on a un duo qui est tout à fait capable de porter sur leurs épaules la série… enfin sauf Aya vu qu’elle en a pas des épaules… Enfin elle les a perdues… Elle sait pas où elles sont… C’est compliqué. Mais bon bref, le truc à retenir c’est que non seulement ces deux persos sont assez cools pris l’un à part de l’autre, mais tu sens très vite une alchimie franchement chouette entre eux – que ce soit par les piques qu’ils se lancent, ou les rires un peu solitaires qu’ils se tapent quand ils font en public des vannes qu’eux seuls comprennent. Shizuku la maid sert un peu de balancier entre les deux, et a sans doute elle aussi un potentiel que j’ai hâte de voir être développé.
Donc ouais, bonne nouveauté que voilà pour ce Undead Girl Murder Farce, et hâte de voir quels nouveaux mystères à twist on va voir débarquer. Si y’a pas Jack l’Eventreur à un moment je ne comprends pas trop – déjà que de base l’animation japonaise se sent obligé de parler de lui une fois tous les 6 mois, autant que cette fois-ci ça le soit dans un animé adapté.
Cela étant dit, restons avec les monstres puisque l’autre grosse nouveauté de cette saison c’est Zom 100 – Bucketlist of the Dead.
Marrant d’ailleurs parce que si j’avais accroché à Dark Gathering (qui n’est pas là parce que je me suis un peu endormi devant l’épisode 1) j’aurais pu parler de trois séries « horrifiques » dans cet article, ce qui aurait été très surprenant vu que c’est un genre qui m’attire assez peu. Mais ici dans Zom100 on est dans du bon vieux récit de zombie ! Je dis « bon vieux » parce que c’est un récit vu et mille fois revu dans le cinéma ou la littérature (même si j’ai l’impression que ça commence à tomber en désuétude ?) mais que l’animation japonaise a mine de rien peu évoquée jusqu’ici – l’exemple le plus populaire et un peu unique étant le Highschool of the Dead de 2010. Si Bucketlist of the Dead se termine aussi avec le désormais plus trop original « of the Dead » , il va surtout se distinguer de HOTD en proposant une vision beaucoup plus… comique ?
Ouais, allez on va dire comique car ici on va suivre les aventures d’un salaryman enfermé dans une boîte de prod aux conditions de travail ultra-toxique (on parle de 90h de taf par semaine, sans congés ni heurs sups) et qui va être libéré de cette entreprise au bout de 3 ans par un truc inattendu: une invasion zombie ! Le gars va donc être ravi d’avoir enfin du temps libre et ce n’est pas la fin du monde qui va l’empêcher de commencer à essayer de réaliser ses rêves et d’enfin tâcher de remplir sa propre bucketlist, c’est à dire les 100 choses qu’il aimerait faire avant de mourir !
La série est lancée par un excellent épisode 1, très très bien produit, qui se tâche surtout de nous retranscrire l’enfer corporate que notre héros vit avant l’invasion zombie, entre le temps libre qui disparaît, l’hygiène et le sommeil qui deviennent des options, des déceptions amoureuses et des humiliations constantes, et ça marche du tonnerre, amenant à une libération totale dans les cinq dernières minutes, particulièrement jouissives et défoulantes. Beaucoup de couleurs dans tous les sens, et beaucoup d’excellentes idées pour nous retranscrire le sentiment de libération qui traverse notre héros ! Très très solide intro, pour le coup, qui lance la série à merveille.
La « mauvaise nouvelle » c’est qu’en contrepartie le reste de la série n’est pas vraiment comme cet épisode 1, vous vous en doutez ! Dès l’épisode 2 on est sur une série de survie assez comique et qui si elle reste plutôt bien produite n’a clairement pas autant d’inventivité, d’ambition et de créativité a proposer que pour l’épisode d’intro. Mais ça reste plutôt sympa, commençant à introduire les différents autres survivants qui, à terme, formeront le groupe de héros. Pour l’instant entre la survivaliste ultra vener et le pote digne d’un personnage de Grand Blue, on sent un peu de potentiel, que j’ai hâte de voir amplifié quand ils introduiront le personnage de l’occidentale otaku teasée par les génériques.
Mais dans tous les cas, les épisodes 2 à 4 restent assez sympas, offrant une vision assez neuve et plutôt détente du récit de zombie. Jamais vu des films comme Zombieland mais je ne serais pas étonné que la série se révèle être très proche en terme d’esprit. Y’a aussi un côté très cruel dans l’humour qui est certes plutôt attendu dans un récit de zombie, mais c’est vrai que perso c’est vraiment pas ma came – y’a quelques vannes de l’épisode 4 j’étais plus là genre « oh non les pauvres persos ils méritent pas de se faire manger comme ça, ils ont rien fait de mal é_è… »
Après le vrai souci c’est… très pragmatiquement… est-ce qu’on aura la suite de la série et, surtout, est-ce qu’on aura la suite tel que le staff l’avait envisagée à la base ? Tous les signes sombres sont présents depuis le début: avant même le début de la série on a eu très peu de trailers et ceux-ci montraient franchement peu d’images (mauvais signe #1), l’opening est clairement pas fini (mauvais signe #2), c’est un studio fraîchement crée qui est sur un projet qui se pose dès l’épisode 1 comme très ambitieux (mauvais signe #3), dès l’épisode 4 on commence à voir que c’est un autre studio qui a tout repris (mauvais signe #4), épisode 4 qui est arrivé avec 24h de retard sur les simulcasts (mauvais signe #5.) Donc ouais, Zom100 est encore une fois une victime de cette industrie qui veut se faire plus grosse que le boeuf quand elle n’en a pas toujours les moyens et les possibilités.
Et ici c’est d’autant plus tristement ironique: tout le premier épisode montre vraiment les conditions de travail dans une authentique entreprise esclavagiste, et ça avait même une certaine audace en se moquant quasi-explicitement d’un autre studio d’anime – l’entreprise du héros s’appelle ZLM, avec un logo très proche de celui du studio d’animation… OLM… Et c’est une attaque qui sort pas de nulle part vu que c’est le studio dans lequel ont bossés la majorité des gars qui bossent sur Zom100 ! Donc là on est dans un terrible effet boomerang, ou il semblerait que les ptits gars de BUG FILM vont sans doute devoir imposer à leur équipe… le rythme dénoncé dans l’épisode 1.
C’est loin d’être la première série cette année à s’éclater le ventre sur le bitume et plus généralement on est dans une année proprement désastreuse sur ce plan là, la saison d’hiver 2023 avait vu au moins une demie-dizaine de séries s’interrompre à cause de soucis de prod. Va vraiment falloir que les choses changent ou que les choses bougent dans la manière de produire des animés parce que ça pourra pas tenir comme ça plus longtemps…
Enfin bref, sinon, là j’ai Helck.
Toujours chelou que ADN le sorte pas malgré l’avoir annoncé y’a un mois mais bon tant pis, voilà donc l’adaptation d’un de mes mangas de fantasy favori, dont j’avais un peu parlé y’a sept ans ici même. Toujours la même histoire: celle d’un héros humain, Helck, qui part participer au grand tournoi devant désigner le futur roi démon. Évidemment les démons sont d’abord un peu méfiant à l’idée de voir un héros devenir roi démon mais le gars est si sympa et si fort qu’il adhère très vite l’enthousiasme général – à part celui de Vamirio, démone extrêmement forte qui va essayer de tout faire pour ne pas que Helck remporte le tournoi. Ca c’est le pitch du tome 1 puisque dès le tome 2 ça devient un récit d’action et d’aventure tout autour d’un monde de fantasy ravagé par de nombreux mystères. Supers personnages, vrai bon rythme dans la narration, rebondissements vraiment cools, pas mal de chouettes idées, bon mélange entre la comédie l’action et l’émotion: j’adore Helck comme manga, je suis toujours ultra dégouté que ça soit pas en France et comme beaucoup j’ai été surpris de voir l’annonce d’un animé vu que celui-ci arrive très tard (cinq ans après la fin du manga) !
Bon du coup l’anime ?
Il est… Ok…
Déjà c’est pas un désastre à la Samidare l’an dernier. Ca c’était super triste. Non, avec Helck on a une adaptation très… classique. Y’a rien qui fait trop pitié mais en même temps y’a rien qui soit là pour créer un émerveillement ou s’amuser avec le matériel de base: les vannes tombent souvent à plat faute d’un rythme très original ou très étudié, les bastons sont vraiment limitées et dès l’épisode 3 tournent pas mal à l’économie, et globalement la direction artistique est assez simple. OST très classique aussi. En vrai bon ça me permet de me remettre en tête l’histoire de Helck, six ans après l’avoir lu, c’est déjà ça. Je me dis que la force des personnages et de l’histoire originale devrait permettre à la série de tirer son épingle du jeu auprès de nouveaux spectateurs, surtout dans une saison d’animation où l’offre fantasy n’est pas… très bien écrite…
Mais c’est vrai que comme d’hab j’ai toujours ce souci quand je vois une adaptation d’un manga que j’adore – déjà d’une je suis exigeant as fuck, de l’autre j’ai toujours du mal à juger comment un nouveau venu peut juger la série. Peut-être qu’elle fait mieux le taf que le pense ? Ptet qu’au contraire je suis plus positif que je ne le crois parce que je sais la direction que prend le manga et donc y’a des inquiétudes que j’ai pas ? C’est vrai que ça reste un récit particulier, Helck, qui pendant un tome / quatre épisodes te laisse penser que tu vas avoir une sorte de One-Punch Man fantasy alors que tout le reste de la série est dans une direction assez différente, avec une narration et un univers qui est développé de manière pas aussi directe que dans beaucoup de récits de fantasy plus contemporain.
Bon bref, je me prends la tête – le truc à retenir c’est que le manga est super, et que pour l’instant je suis pas épaté par l’adaptation mais que je reste content de retrouver l’oeuvre. Parlons plutôt de Yohane Sunshine in a Mirror si vous le voulez bien.
… Sachant que j’en ai hélas pas grand chose à en dire, ça va sans doute être une série que je vais lâcher. Ce qui m’attriste – j’avais une certaine attente pour ce spin-off fantasy de Love Live, dédié au personnage de Yohane. Vu à quel point le perso est cool, j’espérais une comédie pleine de vie, de fails rigolos et de créativité, supporté par un studio Sunrise qui ces derniers temps a toujours su mettre pas mal d’attention et d’effort sur les séries Love Live. Bon bah à la place j’ai juste un remake un peu mou de Kiki la petite sorcière ! La direction artistique reste sympa, y’a quelques idées rigolotes comme Chika et ses soeurs qui deviennent membres d’un sentai local dirigées par une télé qui parle, mais ça manque quand même pas mal d’un quelque chose qui pourrait me captiver. Globalement on sent même que c’est clairement une série à destination d’un public assez jeune, ce qui est pas une mauvaise idée mais explique peut-être la sagesse de la série.
Je pense que je suis ptet aussi un peu saoulé par ce message ultra bizarre à base de « Yohane, 16 ans, trouvera t-elle le métier idéal pour contribuer à la société et se rendre utile et pas être une parasite totale ? Ses rêves sont-ils compatibles avec un métier potentiel ? Ses talents pour le chant peuvent-ils lui permettre de trouver une vraie occupation, gagner de l’argent et ainsi arrêter de vivre aux crochets de ses parents ? Reussira t-elle à s’inspirer ses camarades qui ont plus ou moins le même âge qu’elle mais qui ont déjà des carrières professionnelles de ouf ?? » Oh du calme, elle a 16 ans la Yohane, laissez-lui le temps de rien foutre, surtout toi Laelaps le clébard ultra-moraliste – t’étais trop mignon dans la saison 2, pourquoi t’es devenu aussi casse-couille dans le spin-off 😭😭 ?
Bref si je veux un animé avec des gens qui BOSSENT DURS et qui en sont FIERS j’ai Nobles Paysans.
Là aussi ça va aller vite – épisodes de 3mn, ça adapte le manga autobiographique de Hiromu Arakawa. Le format est ptet un poil trop court – en vrai une ou deux minutes de plus aurait été parfait pour maximiser les vannes et développer un peu plus le sujet abordé dans chaque épisode. On va dire qu’ici ça marche surtout parce que le manga de base est plutôt drôle, et que les anecdotes d’Arakawa sont toujours bien racontées. Sachant que j’ai l’impression que l’adaptation met plus l’emphase sur ce que produit l’industrie agro-alimentaire en général plutôt que sur la vie et les galères des agriculteurs modernes ou les histoires rigolotes des Arakawa, ça m’étonnerait pas que la série soit sponsorisée par le ministère de l’agriculture ou par des lobbys de l’industrie agro-alimentaire pour mettre en avant les bonnes productions du terroir japonais mais bon moi tant que y’a des sketchs avec le père Arakawa… Bon… Je prends… Je suis pas cher comme gars…
Donc voilà un peu pour ce tour des animés que je regarde cet été. Vous remarquerez que je n’ai pas parlé de Bleach et c’est vrai que c’est super bizarre mais c’est parce que… j’ai pas encore commencé ! Le fait que la pause entre la partie 1 et la partie 2 fut de six mois m’a un peu cassé l’élan, faut juste que je m’y remette mais j’avoue aussi que j’ai aucun doute sur le fait que ça va être bien. Je prends mon temps, tout simplement… J’hésite quand même un peu à mater la s2 de Jujutsu Kaisen et surtout l’arc Gojo qui a l’air d’être franchement cool mais ça aussi je prends mon temps – c’est des séries qui clairement vont pas s’envoler. Et puis ouais, comme dit dans ma vidéo preview, je jetterais un oeil à Mushoku Tensei mais j’attends que la série s’achève – d’expérience, la saison 1 était quand même bien meilleure à se marathoner.
En terme d’épisode 1 que j’ai tenté mais pas continué donc comme dit plus haut j’ai abandonné Dark Gathering assez vite – je trouvais ça globalement assez moche en terme de couleurs, et vraiment soporifique en terme de rythme – et puis j’ai pas maté plus de La Meuf Que J’aime Bah Elle A Oubliée Ses Lunettes depuis l’article que j’ai écrit dessus y’a un mois. J’ai aussi jeté un oeil très rapide sur l’interminable épisode 1 de Atelier Ryza et ce n’est vraiment pas super – très plat visuellement, pas bien écrit, pas très inspiré en général. Ouais bah je vais relancer le jeu, ça ira sans doute mieux…
Bref voilà un été animé tranquille pour moi et ça me va, finalement. Puis bon après le méga printemps qu’on a eu et l’automne pas trop mal qui s’annonce, je vais pas faire mon ingrat. J’espère que vous ça vous va, c’est le principal ! Puis encore fois ça me permet d’avoir une bonne excuse et d’aller mater des animés plus agés – je viens enfin de terminer Initial D First Stage par exemple, et là je commence à regarder de près le catalogue ADN vu que j’ai chopé un abonnement. Des trucs comme Un-Go, Beck ou Steins;Gate 0… Eh… Ptet pas une mauvaise idée…
(Puis bon été cinéma animé assez top avec le film Slam Dunk qui est effectivement ouffissime, mais ça c’est un sujet pour une autre fois… )
2 commentaires
Elsental
Oh mama ~, oh oui Steins;Gate 0, j’espère que tu aimeras si tu le regardes ! Je trouve l’adaptation animée très cool !
Doa
Ce post me donne vraiment envie de lire Helck, comme un précédent m’avait donné envie de lire Samidare 🙂