Mangas & Animes

Pensées et captures d’écrans

Un jour j’ai eu une révélation dans ma vie: on pouvait configurer VLC pour qu’une simple pression sur une touche suffise à faire une capture d’écran automatiquement enregistrée dans le dossier mes images. Depuis cette découverte, quand je mate des animes sur mon pc portable, j’ai souvent un doigt en stand by sur la touche S, prêt à faire des captures d’un peu tout et n’importe quoi. J’ai donc accumulé en trois ans et demi près de 800 Mo de screenshots, ce qui est pas mal mais, eh, pourrait mieux faire.

En attendant, voilà 25 captures, chacunes commentées. C’est l’occasion pour moi de reparler très vite de certaines séries, d’évoquer un point précis dans d’autres ou juste de montrer 2/3 trucs rigolos. J’ai mis le commentaire au sein de la balise spoiler de dotclear, comme ça vous pourrez en plus jouer avec vous-même au jeu du « mais quel anime ça peut-il être dis donc » ! On va dire que ça va servir d’entraînement pour la nocturne de ce week end où, je le rappelle, Thalie est présent en tant qu’asso.

Toutes les captures présentées dans cet article ont été prises entre décembre 2009 et le week-end dernier, et apparaissent dans un ordre quasi-chronologie – de la plus récente à la plus vieille.

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L’épisode 4 de Fate/Zero était encore une fois excellent, et ça devient franchement admirable. Mais ce que je commence de plus en plus à apprécier c’est vraiment le graphisme général de la chose, peu avare en plans assez classieux, ce qui est toujours une valeur ajoutée appréciable. Je ne connaissais que peu Gen Urobuchi avant le début de l’année mais en deux séries, il a su me convaincre et montrer qu’il savait narrer de manière grandiose, avec des événements qui se suivent de manière fluide et naturelle, et où rien ne sort vraiment de nulle part – même si ok la fin de Madoka ok. Alors quand en plus celui-ci est assisté de réalisateurs talentueux et qui savent ce qu’ils font, on ne peut que trouver ça admirable… même si j’avoue que je serais curieux de voir ce que l’homme pourrait faire sur une série moindre. Tout comme j’attends de voir un pilote de F1 comme Lewis Hamilton au volant d’autre chose qu’une des meilleures F1 du plateau… Histoire de voir ce qu’il vaut dans un contexte moins propice quoi…

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Mawaru Penguindrum a deux gros points communs avec Fate/Zero: les deux séries sont toujours en cours et les deux séries sont super enthousiasmantes. Mais ce que j’aime vraiment avec Mawaru c’est le soin apporté aux décors. Ils sont toujours pleins de détails savoureux, quand ils ne contiennent pas des informations cruciales qui ressortiront plus tard dans la série. Et surtout, les décors de Mawaru sont aussi fous que le reste de la série. De la maison tétra colorée des héros de la série en passant par le running gag du métro aérien ET souterrain (cherchez pas, folie) et autres lieux remplis de sous-entendus sexuels subtils, tous les décors sont un véritable plaisir de l’oeil. Ici, je dois avouer que le remake façon « moe » de fresques religieuses est un exemple de ce genre de qualité et a été pour moi source d’un sourire franc qui s’est ajouté à la longue liste des sentiments divers et variés ressentis durant la vision de cette série qui, en 15 épisodes, a déjà su se montrer comme potentiellement cultissime.

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J’avoue que Giant Killing avait une idée sympathique: faire parler les entraîneurs étrangers dans leur langue maternelle à eux. Les allemands parlent allemands, les français parlent français et tous nos moutons linguistiques sont bien dressés. Mais sérieusement, Michel Blanc doit être le français le plus mou de tous les temps. Il parle. Comme ça. Avec un ton. Bien mou. Et bien. Lent. Et. Un grand. Sourire. Niais. Et son interprète doit offrir le français le plus formidablement japonais de tous les temps. En soit, c’est rigolo et l’initiative est bonne, mais oh putain que ça fait sortir du truc ! Au moins l’allemand y’a pas ce problème, je comprends pas ce qu’il dit.

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Kanojo X Kanojo X Kanojo doit être un des animes hentaï sortant le plus du lot ces deux/trois dernières années, surtout grâce à sa blondasse à chaussettes rayées qui doit être une des rares filles mammairement plates vraiment fappables de l’histoire de la japanimation. Par contre le scénario on s’en fout et c’est très dommage parce que dans l’épisode 3, la glacerie de la famille du héros doit remporter un prix devant un jury et on voit donc apparaître ce fantastique exemple de franponais bien gras qui permet de rire tout en se secouant la nouille. Enfin, ça c’est la théorie, en vrai si on se secoue la nouille sur une scène où trois vieillards membres d’un jury délibèrent, alors c’est plus suspicieux.

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On avait tendance à oublier que beaucoup de blagues du visual novel Higurashi No Naku Koro Ni sont quand même bien grasses et bien libidineuses mais eh, cinq adolescents dans un village paumé, j’imagine que ça doit titiller leurs hormones donc why not. Mais quand Higurashi No Naku Koro Ni Kira nous adapte ça de manière aussi brutale au lieu d’adapter, par exemple, les chapitres inédits du manga, on est juste un peu triste et on a envie de voir des gens brûler, inquisition style.

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Un des petits détails que j’avais kiffé dans Aria the Origination: l’idée que chaque personnage ait une expression « phare », mettant en exergue leur trait de caractère principal, et qui ressort souvent quand le style graphique switche vers du Super Deformed. Ca rajoutait beaucoup de charme et de personnalité, et je suis content de voir qu’on retrouve ça dans le manga Amanchu!. Tiens tant que je parle d’Aria: Discount Manga solde le coffret d’Origination à 12€ jusqu’a mi-novembre, vous devriez y jeter un oeil, au cas où.

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Tiens tant qu’on reste sur des remarques sur le travail de chara-design, j’adore celui fait sur les expressions des visages qu’a effectué Hanasaku Iroha qui offre à tous ses personnages – et à Ohana particulièrement – une très large gamme d’expressions funs, totalement exagérées mais qui passent toutes comme une lettre à la poste et m’offrent des captures parfois aussi drôles que celles-ci. Faudrait maintenant que je me motive à terminer la série, il me reste quatre épisodes et je suis convaincu que je récupérerais encore plein de visages rigolos.

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J’ai un GROS passif de fan de t.A.T.u. et j’avoue volontiers que j’ai commencé à être un gros fanboy de ce groupe le jour où j’ai vu le clip d’All The Things She Said – je kiffais beaucoup la chanson de base et l’adolescent de 13 ans que j’étais demandait pas plus pour être fan du clip. Bref, si j’ai un peu laissé ça derrière moi, je savais quand même quelques trucs sur le groupe genre le fait qu’il était très populaire au Japon (il est même une des cibles les plus régulières de Sayonara Zetsubou Sensei) mais je ne m’attendais pas à voir le groupe être évoqué par Panty & Stocking with Garterbelt surtout dans le clip de D-Rock City qui contient des références à des groupes quand même un peu mieux vus et plus populaires en Occident que t.A.T.u. MAIS C’EST PAS GRAVE JE TROUVE CA COOL !

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Ce genre de captures me rappelle pourquoi j’ai adoré Puella Magi Madoka Magica. Particulièrement cette série d’épisodes absolument magique allant du 7 au 10 et que j’avais eu la chance de me faire d’une traite dans un TER Le Mans/Caen particulièrement lent. La descente aux enfers de Miki reste quelque chose qui m’avait bien pris aux tripes et qui m’avait beaucoup surpris, même venant d’un anime qui n’hésitait pas quelques épisodes plus tôt à se montrer assez cruel envers ses personnages.

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Plus le temps passe, plus je veux me remater Toradora!. Pourtant l’anime ne m’avait pas spécialement marqué plus que ça à l’époque où je l’avais vu mais il faut croire que mon coeur commence à être en manque de Kushieda Minori. Et comment pourrais-je le blâmer, ce personnage est si cool ! J’ai appris qu’il allait y’avoir un OAV Toradora prochainement du coup je l’attends de pied ferme et en attendant, je retrouve quelques captures savourantes – celle-ci m’avait d’ailleurs servi d’avatar Twitter pendant une bonne partie de 2010.

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Je n’accroche pas à Tatami Galaxy. J’avais regardé les deux premiers épisodes et à chaque fois si je prenais du plaisir pendant le visionnage, j’avais l’impression que l’après-visionnage était plutôt compliqué et je me retrouvais avec un petit coup de mou et une certaine tristesse en background. Je devrais retester quand même par principe parce qu’en soit les deux premiers épisodes étaient une claque visuelle et une bonne expérimentation, avec une intrigue plutôt fun. Mais j’ai l’impression que ça reste définitivement une oeuvre qui veut parler aux grandes personnes et que je n’ai pas la maturité et l’expérience nécessaire pour l’apprécier. Peut-être vais-je laisser s’écouler quelques années du coup ? Peut-être attendrais-je d’avoir un travail ? Une famille ? Où peut-être que je me prends un peu trop la tête ?

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Et on passe du coq à l’âne – Je reste toujours assez attristé quand je constate que les gens ont une certaine tendance à mettre B Gata H Kei dans le même panier que beaucoup de conneries un poil misogynes et surtout extrêmement débiles. B Gata H Kei était un bon anime ecchi avec une réalisation bien au dessus de la moyenne du genre et un humour qui, en général, tapait bien là où il fallait. Bref, vu le « scénario » de la chose, j’ai été surpris de voir autre chose que des plans sur petites culottes ad vitam nauseam – il y’en a même aucun dans B Gata H Kei – et surtout de voir le concept de sexualité être pris un poil au sérieux dans une série japonaise. Dommage que y’a pas de fin (« lisez le manga ») et dommage que y’avait ce personnage de la copine de l’héroïne juste giga insupportable à vouloir justifier la moitié des vannes. Bref, mon message reste le suivant: jetez vraiment un oeil à B Gata H Kei car il se pourrait que ça vous surprenne dans le bon sens du terme.

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Cette capture vient d’un putain de shôjo !! Mais bon, pas n’importe lequel: Entre Elle & Lui aussi connu sous son sobriquet japonais de Kare Kano, vous savez, le shojo produit par la Gainax après Evangelion et qui a vu Hideaki Anno se faire sortir au bout de treize épisodes parce que l’auteur du manga original avait un balai à pointes dans son vagin et que ça la rendait un peu fasciste. Je me suis amusé à compter combien j’avais de captures Kare Kano dans mes dossiers, et le chiffre de 324 m’a un peu surpris. Il faut dire que la réalisation générale de cet anime, et sa capacité à être extrêmement inventif, pourrait donner des leçons à BEAUCOUP d’animes récents. Je ne parle pas évidemment de beauté, je parle d’idées, d’expressions, de gestion aussi parfaite du Super Deformed – un anime à la réalisation aussi folle ferait beaucoup de bien au paranorama actuel.

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STOP ! Arrêtez ce que vous faites ! Il est temps de remater Tenshi ni fureta yo!, la chanson finale-et-géniale de K-On!!. Je dis remater parce que je pars du principe que vous avez déjà vu la seconde saison, qui est rappelons le un chef d’oeuvre immémorial et vous pouvez me faire confiance quant à la crédibilité de ce propos. Vous l’avez pas encore vu ? C’est triste ça ! Dommage du coup qu’avant de mater la géniale seconde saison, vous allez devoir passer par cette première série bien sans plus mais qui est juste pas au même niveau !

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Genshiken saison 2 était une adaptation assez bonne du manga original qui se permet juste de finir en oubliant que y’a une intrigue à conclure. Mais bon, on est tous d’accord que ce qu’on retiendra de cette saison c’est l’épisode spécial yaoi qui est juste tellement drôle que depuis je trouve la vie fade, ennuyeuse et de droite ? Bref: épisode 5 de la saison 2. Vous pouvez le mater même si vous avez pas vu les précédents, c’est juste mémorable.

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Vous trouvez pas que les décors de Cowboy Bebop: Knockin on Heaven’s Door sont extraordinaires ? Et c’est comme ça pendant la quasi totalité du film, putain de merde bande de fous.

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La scène mythique où Amuro de Mobile Suit Gundam se prend une torgnole par Bright et où il n’a que comme seule réponse de faire remarquer qu’il a un peu passé son enfance à être pourri-gâté ! Alors j’avoue que j’ai kiffé la découvrir enfin après en avoir beaucoup en entendu parler – c’est un quasi-meme après tout…

Même si ok de base je l’avais découvert dans Otaku Girls.

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Même si vous avez déjà vu la série, je vous conseille VRAIMENT de prendre deux heures de votre vie à mater Tengen Toppa Gurren Lagann Movie: Lagann-hen car la manière dont ils ont refait le combat final est vraiment à tomber par terre. Ca va plus loin, ça dure une bonne cinquantaine de minutes, ça nous explose les yeux de talent et d’un point de vue émotionnel c’est toujours aussi GRAND. Quand j’ai revu les deux derniers épisodes de la série, j’en suis presque arrivé à trouver ça un poil mou. Non, vraiment, la version du film est la SUPERIOR VERSION.

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L’adaptation anime de Kobato est giga molle et se permet en plus de durer 26 épisodes un peu pour rien… MAIS le personnage de Kobato y tire des tronches tellement ahuries que ça rentabilise un peu le déplacement. Sinon, contentez vous du manga .

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Presque deux ans après j’ai toujours du mal à comprendre exactement qu’est-ce qui est reproché à Darker Than Black Ryuusei no Gemini … Que j’ai trouvé absolument passionnant et que je m’étais enfilé d’un coup comme on s’enfile un paquet de Monster Munch. Mais pour revenir à la capture, j’avais adoré le personnage d’Hazuki Mina que je trouvais extrêmement badass – costume cravate, épée lasser et contrat à base de lesbianisme rigolo. Du coup j’ai beaucoup trop de captures de ce personnage dans mes dossiers et ça fait un petit côté stalker un peu gênant. J’espère que ma maman tombera jamais sur ce dossier.

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J’avais pas beaucoup aimé Kannagi – à part cette scène merveilleuse où Tsugumi tombe sur Nagi et le héros en position très gênante et où elle mindfucke un peu – mais l’épisode spécial sorti peu de temps après était lui assez excellent, à base -entre autres- de tempête à affronter pour aller rendre une K7 au vidéoclub et d’hommes qui préfèrent jouer à la console que de mater les filles en maillot de bain. Est-ce que toute la série était comme ça et que j’ai loupé le coche au moment du visionnage ou bien ils se sont lâchés dans cet OAV ? No lo so.

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Franchement, pourquoi j’ai maté The End of Evangelion le jour de Noël ? NON PARCE QUE J’AI UN PEU PASSÉ LA SOIRÉE A FAIRE PEUR A MA FAMILLE TELLEMENT JE SENTAIS BON LA JOIE DE VIVRE. Par contre, si la fin t’enterre un peu psychiquement, force est d’avouer qu’elle possède au moins la décence d’être très jolie visuellement. Mais si vous avez pas vu le film, vous ne pouvez pas comprendre le traumatisme qu’elle cache derrière.

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Le Commandant me disait ce week end: « Fault!! ça donne l’impression d’assister à du sexe de poupées Barbie ». C’est on ne peut plus juste. Je crois pas me souvenir d’avoir vu du hentai – ou même un anime tout court – où le chara-design était pas aussi riche en reflets du soleil SUR LA PEAU DES PERSONNAGES. Je veux dire c’est un peu abusé à ce niveau là. Dans un sens c’est pas nouveau puisque déjà l’extraordinaire Sora no Iro Mizu no Iro (référence incontestable du hentai  »vanilla ») était parfois à la limite mais Fault!! va encore plus loin et c’en est DOMMAGE. Parce qu’une série qui se termine sur du lesbianisme entre ses deux héroïnes c’est génial, mais pas quand elles donnent l’impression qu’elles peuvent fondre n’importe quand. Un peu de dignité !

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Oui. L’adaptation animée de Umineko No Naku Koro Ni fait parfois preuve d’un très grand soin.

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… mais la fin de la première saison d’Higurashi No Naku Koro Ni va encore plus loin dans l’hideux. Et ça, c’est fou.

Tin, tout ces sous-titres encore présents… J’ai découvert les joies de media player + .mkv (et donc option de virer automatiquement les sous-titres quand on prend une capture) trop tard dans ma vie.
Bon voilà pour aujourd’hui. Vous avez remarqué au fait que j’ai changé la police d’écriture des articles du blog ? Je suis passé du Georgia au Trebuchet MS et ça me paraît beaucoup plus agréable, j’avais un peu sous-estimé le côté nocif d’une police avec sérif quand on lit sur un écran… Pour le reste, hop dodo j’ai journée d’embauche demain (pour devenir télévendeur, j’ai trop hâte) et me reste encore plein de trucs à finir pour samedi. C’est fou la vie !

PS: Et je serais dimanche à Orléans pour leur convention délicieusement provinciale, là.

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5 commentaires

  • baka-sable

    Tu sais que maintenant à chaque fois que tenshi ni fureta yo passe au kara je pense à toi et au moment de forever alonerie que tu as passé une fois chez axel à chanter tout seul dessus (bon j’accompagnais un peu mais bon~) ?
    Also cet épisode de genshiken est le meilleur de tous, ce pourquoi il faut regarder la saison 2.

  • Torotoro

    >>Franchement, pourquoi j’ai maté The End of Evangelion le jour de Noël ? NON PARCE QUE J’AI UN PEU PASSÉ LA SOIRÉE A FAIRE PEUR A MA FAMILLE TELLEMENT JE SENTAIS BON LA JOIE DE VIVRE.

    Pas tout fait sûr que cette phrase était ironique. Mais je vais partir du principe qu’elle l’était pour ne pas avoir supposer que Amo est un sociopathe.
    Surement le film le plus déprimant que j’ai jamais vu.

  • ElKaizer

    « Mais j’ai l’impression que ça reste définitivement une oeuvre qui veut parler aux grandes personnes et que je n’ai pas la maturité et l’expérience nécessaire pour l’apprécier. »
    Ça veut dire quoi ça ? J’ai l’impression d’avoir le choix entre vieux con et jeune sot 🙁
    Le screenshot de Cowboy Bebop me donnerait presque envie de revoir le film… alors que je vais m’en débarrasser 🙁 sans cœur 🙁

    edit : tiens, j’ai oublié de poster mon commentaire ?

  • Kyoshi

    « Arrêtez ce que vous faites ! Il est temps de remater Tenshi ni fureta yo!, la chanson finale-et-géniale de K-On!!. »

    C’est vraiment quand je revois ce passage/réentends la chanson que je dois me dire que la fin de K-On était vraiment sympa. J’ai eu du mal avec la première saison, mais je suis content d’avoir été jusqu’au bout. J’avais vu l’épisode où passe Tenshi ni Fureta yo! le jour après ma Graduation Ceremony au lycée, et le tout était particulièrement bien synchronisé.

    « Je ne connaissais que peu Gen Urobuchi avant le début de l’année mais en deux séries, il a su me convaincre et montrer qu’il savait narrer de manière grandiose, avec des événements qui se suivent de manière fluide et naturelle »

    Tu as pensé à jeter un oeil à Saya no Uta ?

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