Jeu Vidéo

365 jours de JV ~ 2021 / 2022 ~

Eh oui c’est bientôt la rentrée, ce qui signifie que c’est l’heure pour moi de signer mon bilan vidéoludique annuel, dans le plus grand des calmes et le plus grand respect du marronnier. Des années maintenant que je fais ça, avec toujours un concept simple: je prends les 12 mois de l’année écoulée et à chaque mois j’attribue un jeu qui, pour moi, a « marqué » le mois en question. Ça peut être aussi bien positif que négatif, et les jeux en question n’ont évidemment pas à être sorti le mois en question (je joue rarement aux jeux le mois de leur sortie !)

Très rapidement: c’est une année un peu nulle, je trouve. Particulièrement à partir de février/mars 2022 où j’ai joué à beaucoup de jeux mais aucun jeu qui m’a particulièrement plu ou marqué. J’ai l’impression d’avoir passé ces six derniers mois à juste glaner des succès dans des jeux qui m’indifféraient complétement, tout en évitant plus ou moins sciemment les jeux qui auraient pu m’intéresser. Du coup ça donne un bilan vidéoludique qui commence très fort – avec pas mal de vrais excellents jeux ou d’expériences qui m’ont marqués – et ça se termine sur des jeux dont fondamentalement je me fous un peu. C’est assez étrange comme ambiance, vous en conviendrez. Mais eh, temps de faire de son mieux !


Septembre 2021

Ar Tonelico II: Melody of Metafalica

J’avais déjà évoqué ce jeu dans le bilan décennal publié en juin mais pour vous la faire courte: ça faisait longtemps que je voulais découvrir ce RPG PS2, à la fois parce que son OST défonce mais aussi parce que le design des héroïnes était ultra-semblable à celles de Macross Frontier, dans une énorme coïncidence générale. Comme septembre j’allais pas fort à cause de mon premier surmenage (oui j’en ai eu deux en un an c’est comme ça quand on roule vite sur l’autoroute du succès 😎😎😎) un pote m’a passé sa PS2 et le jeu et puis voilà let’s go les amis. C’est l’occasion de rebrancher une PS2, de remarquer qu’à l’époque les textes étaient pas minuscule sur l’écran, et que globalement tout semblait allait plus vite.

Car oui Ar Tonelico 2 comme beaucoup de JRPG de cette période ça parlote à donf mais comme tout est plus simple, comme la mise en scène c’est des sprites et une totale absence de voix, tout semble être en accéléré par rapport à aujourd’hui. Je dirais pas que tout va plus à l’essentiel: l’intrigue de Ar Tonelico 2 semble vouloir nous faire prendre d’étranges détours par moment, mais globalement l’expérience m’ennuie étrangement moins que beaucoup d’expériences plus contemporaines.

Donc yep je prends beaucoup de plaisir sur ce Ar Tonelico 2. L’univers a base de mondes oniriques à explorer pour essayer de régler les soucis psychologiques très profonds des héroïnes, le système de combat assez original et très rythmé, l’incorporation parfaite de l’excellente OST au sein de l’intrigue… J’en viens à pardonner les donjons super arides et les inventaires pétés habituels du studio GUST. C’est juste un bon moment.

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Dead Rising
  • 2009 – Project Gotham Racing 4
  • 2010 – F1 2010
  • 2011 – LA Noire
  • 2012 – Rock Band Blitz
  • 2013 – Grand Theft Auto V
  • 2014 – Dishonored
  • 2015 – Resident Evil 6
  • 2016 – Ace Attorney: Spirit of Justice
  • 2017 – DOOM (2016)
  • 2018 – Sword Art Online: Fatal Bullet
  • 2019 – Taiko no Tatsujin
  • 2020 – Crusader Kings III

Octobre

Resident Evil 2

A force de le voir en solde à 15 euros toutes les deux semaines, fallait bien que je craque au bout d’un moment hein ? Et bah écoutez, j’avais pas touché à un Resident Evil depuis mon traumatisme du 6 (quelle merde putain), mais ce remake du second volet est absolument parfait pour que j’oublie tout et que je me rappelle que à la base bah je la kiffe vraiment pas mal cette franchise. Comme beaucoup c’est vraiment la première moitié du jeu qui m’a pas mal marqué: l’exploration du commissariat pièce à pièce, la gestion paniquée de mon maigre stock de munitions, les graphismes fantastiques, l’ambiance poisseuse, chaque rencontre traumatisante avec un licker et, évidemment, le fait d’être pourchassé constamment par Mr.X – véritable idée géniale en terme de design, venant apporter une composante aléatoire nécessaire pour qu’on prenne pas trop la confiance.

Après, oui, le passage dans les égouts me saoule un peu, et le laboratoire est peut-être un peu plus « linéaire » pour être aussi passionnant mais damn, qu’est-ce que le commissariat est un moment génial. Pas totalement convaincu par le fait de devoir refaire le jeu 4 fois avec des différences mineures du coup je me suis juste contenté d’un Leon A et Claire B et puis voilà ça suffira très bien, finalement. J’aurais d’ailleurs vraiment aimé que les parties B soient encore plus différentes mais bon ce qu’on a déjà en l’état est vraiment assez prodigieux. J’attends un peu pour me faire le remake du 3 mais inutile de vous dire que dans tous les cas le remake du 4 prévu pour le début de l’année prochaine il est déjà très très haut. Déjà que j’adore le jeu de base, alors si le remake est aussi soigné que celui du 2, ça peut être assez prodigieux… mais bon je crois que je dis quelques banalités, haha.

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Persona 3 FES
  • 2009 – Bioshock
  • 2010 – Rock Band 3
  • 2011 – Driver San Francisco
  • 2012 – Just Cause 2
  • 2013 – Pokémon Y
  • 2014 – 999: 9 Doors, 9 Hours, 9 Persons
  • 2015 – Danganronpa: Another Episode
  • 2016 – WWE 2K16
  • 2017 – Danganronpa V3
  • 2018 – Forza Horizon 4
  • 2019 – The Outer Worlds
  • 2020 – Crash Bandicoot 4: It’s About Time

Novembre

Grand Theft Auto: The Trilogy – Definitive Edition

Je suis un putain de pigeon de classe intersidérale parfois.

Je savais que ça sentait pas bon. Je savais que l’absence totale de trailer, l’absence totale d’images, l’absence totale de critiques, l’absence totale de retours alors que le jeu sortait dans deux heures était un très très mauvais signe. Mais j’étais là à me dire « damn j’ai VRAIMENT envie de me refaire GTA III et GTA Vice City », du coup l’heure de la sortie officielle du jeu, j’ai claqué les 60 balles et voilà, dans le cul Lulu, comme on dit.

Mais de l’autre côté je me suis un peu marré.

En vrai, quelque part je peux dire avec une étrange fierté de merde que oui j’ai fait partie des gusgus qui ont joués à GTA Definitive la semaine de la sortie, sans les patchs, avec les bugs incroyablement débiles, avec les textures qui poppent pas, avec la pluie qui rend le jeu proprement illisible, avec les fps au sol. Quelque part c’est un peu mémorable. Quelque part j’ai pas totalement détesté. C’était rigolo. Le jeu se foutait de ma gueule, c’était les 60€ les plus mal claqués de ma vie depuis ma dernière amende RATP en 2011, mais de l’autre côté bon bah je retrouvais GTA III presque 20 ans après et ça me faisait étrangement un peu de bien. La nostalgie est un sentiment étrange, hein ? Qui nous rend capable même d’accepter les propositions les plus nazes ?

Plus sérieusement, et si on excepte la médiocrité absolue et indéniable de cette « définitive edition » ça restait intéressant de redécouvrir GTA III et Vice City en 2021 C’était des jeux que j’avais ultra poncé sur ma PS2 quand j’étais adolescent, et y rejouer m’a fait redécouvrir une manière de gérer l’open-world qui me manque presque. Des open world assez petits, où il est peu pénible d’aller d’un point à un autre, avec des missions et un univers qui se veulent clairement encore « arcade. » J’avais ainsi vraiment oublié à quel point GTA III est un jeu très simple dans sa construction et dans celle de ses missions. Tout paraît si simple, si réduit au minimum, que ça rend ça presque rafraîchissant. Liberty City est une ville petite en superficie mais quelque part très « compacte » en contenu. Ca reste les bases d’un genre, y’a évidemment des trucs ultra débiles en retour (genre les mafieux qui te one-shot dans St Marks passé un point du jeu, les radios qui tournent en boucle au bout de 10mn ou bien les combats armés vraiment nuls en terme de gameplay) mais j’avoue avoir foutu 30h sans trop de déplaisir dans cette redécouverte de Liberty City.

Quant à Vice City, c’était encore plus plaisant de le redécouvrir. Toujours ahurissant de se dire que y’a qu’un an entre GTA III et Vice City tant ce second décuple le potentiel du premier. On a enfin un embryon d’intrigue, l’ambiance eighties est assez addictive, les possibilités données au joueur sont beaucoup plus nombreuses… Pareil: ça reste basé sur un squelette très simple, ça reste très arcade dans l’esprit, mais c’est exactement le genre de délire que je suis heureux de retrouver à nouveau en 2021. Bon évidemment c’est dommage que ça ait été une rencontre faite dans des conditions absolument nulles à chier mais je considère pas le temps passé sur ces Definitive Edition comme si perdu que ça. Oui je suis très doué pour le déni, ptdr.

(Maintenant faudrait que je me lance San Andreas mais honnêtement je repense aux missions de Zéro et je pleure un peu.)

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Smackdown vs RAW 2009
  • 2009 – Apollo Justice: Ace Attorney
  • 2010 – Ace Attorney Investigations: Miles Edgeworth
  • 2011 – Sonic Generations
  • 2012 – Sonic & Sega All-Stars Racing Transformed
  • 2013 – Phoenix Wright Ace Attorney: Dual Destinies
  • 2014 – Total Extreme Warfare 2013
  • 2015 – Undertale
  • 2016 – Pokémon Lune
  • 2017 – Momodora: Reverie Under The Moonlight
  • 2018 – Final Fantasy XV
  • 2019 – Pokémon Bouclier
  • 2020 – RingFit Adventure

Décembre

AI The Somnium Files

Peut-tu élucider des mystères grâce au pouvoir de ta bite ? Et bah Kaname Date lui il y arrive !

De Kotaro Uchikoshi jusqu’ici je ne connaissais que 999 – qui avait déjà été une expérience assez incroyable en soi – et j’ai beau dire depuis 2015 que oui un jour je vais mettre cette disquette de Virtue’s Last Reward dans ma PS Vita, je l’ai toujours pas fait. Du coup inutile de vous dire que passer de 999 à AI The Somnium Files est un étrange fossé ! Ici tout semble être plus proche de l’esprit d’un Danganronpa: les personnages sont tous très très excessifs, y’a un humour ultra grivois qui peut débarquer n’importe quand, le gore fait partie de la direction artistique et y’a toujours un angle méta qui peut nous sauter à la gueule quand on s’y attend le moins. J’ai l’impression que le seul point commun avec 999 c’est les lignes temporelles !

Et dans tous les cas bah j’ai beaucoup aimé ce que m’a proposé AI ! Pas forcément parfait dans sa narration parce que les très nombreuses routes possibles se distinguent à mon sens de part leur irrégularité en terme de qualité. Certaines routes sont ainsi toutes simplement incroyables (en particulier la première que j’ai pu finir, qui évoque frontalement et sans détours la démence dû à l’âge) alors que d’autres tombent clairement à plat ou ne savent juste pas quoi raconter. Faut aussi être tolérant à l’humour parfois turbo-beauf du titre mais comme je suis un peu turbo-beauf moi-même j’avoue que les blagues à bases de magazine porno qui décuplent les capacités du héros bon bah écoutez ça me va. Et puis là aussi c’est souvent contrebalancé avec des dialogues parfois très fins: les personnages aiment vraiment s’envoyer des grosses punch lines à la gueule et parfois c’est très drôle.

Dans l’ensemble je l’ai donc bien aimé, je vous le recommande fort si vous avez le Game Pass, et là je surveille avec beaucoup d’attention les prix de la suite, Nirvana, parce que rien que savoir que c’est Mizuki qui en est héroïne ça me hype pas mal vu à quel point le perso est déjà très cool et très fun dans ce premier volet !

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Rock Band
  • 2009 – Halo 3
  • 2010 – BlazBlue Continuum Shift
  • 2011 – Mario Kart 7 & Umineko no Naku Koro Ni Chiru
  • 2012 – The Walking Dead
  • 2013 – Gran Turismo 6
  • 2014 – Hotline Miami
  • 2015 – Rock Band 4
  • 2016 – Final Fantasy Type-0 HD
  • 2017 – Forza Horizon 2
  • 2018 – Les Sims 4
  • 2019 – Hitman 2
  • 2020 – Yooka-Laylee and the Impossible Lair

Janvier 2022

Sleeping Dogs

Comme Resident Evil 2: à force de voir le jeu en méga-soldes toutes les deux semaines, fallait bien qu’à un moment je craque ! Surtout que c’est un jeu avec qui j’ai des souvenirs assez positifs puisque à l’époque de mon stage chez Nolife ça avait été un des rares événements presse que j’avais couvert (on m’avait envoyé dans un sous-sol de restaurant chinois pour tester le jeu et tout, c’était rigolo.) Bref, j’avais envie d’un jeu open-world, je savais celui-ci bien apprécié et du coup après l’avoir platiné et avoir largué presque cinquante heures en deux semaines je peux vous le dire: bah je l’apprécie pas mal moi aussi !

Là aussi si il m’a autant plu c’est tout simplement pour une histoire de simplicité: la carte de Hong Kong est grande sans être décourageante à parcourir, l’intrigue est pas révolutionnaire mais est plutôt bien racontée, les fusillades fonctionnent plutôt bien, y’a un vrai soin apporté aux combats à main nues, la maniabilité des véhicules est au poil, y’a plus ce qu’il faut en terme de quêtes annexes… C’est un jeu qui offre un bon contenu sans trop en faire, et qui sait se concentrer sur ce qui fonctionne le mieux. Franchement pour cinq euros, le rapport qualité/prix est vraiment très très séduisant, et malgré ses presque dix ans le jeu n’a pas froncièrement tant vieilli que ça dans le monde des open-world. Donc écoutez, pourquoi pas !

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2009 – Rock Band 2
  • 2010 – Bayonetta
  • 2011 – Minecraft
  • 2012 – Deus Ex: Human Revolution
  • 2013 – Hitman Absolution
  • 2014 – Bravely Default
  • 2015 – Super Danganronpa 2
  • 2016 – Shovel Knight
  • 2017 – Shantae and the Pirate’s Curse
  • 2018 – Titanfall 2
  • 2019 – Shenmue
  • 2020 – Atelier Ryza
  • 2021 – Hitman III

Février

Final Fantasy XIV: Endwalker

Ah bah c’tune bonne fin j’trouve moi.

C’est terrible parce que je pense que ça fait deux ans que j’écris régulièrement sur Final Fantasy XIV dans ces bilans divers et variés et là j’ai atteint un peu le point de « je sais plus trop quoi dire de neuf. » Spécifiquement, je peux donc vous dire que Endwalker a été une bonne conclusion à tout l’arc narratif lancé dans A Realm Reborn et que encore une fois y’a une sorte de grande magie incroyable que semble invoquer Square Enix dans la manière que le studio a de nous attacher à notre guerrier de la lumière. L’intrigue de l’extension se déroule là aussi plutôt bien, avec pas mal de passages assez glaçants et assez marquants, une ligne droite finale riche en intensité et un peu moins de passages « mous » que dans des extensions comme Stormblood. Bon y’en a quand même: tout ce segment chelou autour du niveau 88 où tu dois faire le tour des scientifiques, c’est pas le truc le plus passionnant du siècle, je dois l’admettre.

Sans être aussi fort et incroyable que Shadowbringers, Endwalker reste globalement une réussite et les derniers patchs en date semblent continuer de prolonger les expérimentations et les bonnes idées. Bon j’avoue aussi que j’ai du passer tout Endwalker à me réhabituer à ma classe vu qu’ils ont tout changés le moine et c’était un peu bizarre. Mais bon écoutez j’y survis !

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2009 – Team Fortress 2
  • 2010 – Guitar Hero II
  • 2011 – Alpha Protocol
  • 2012 – Catherine
  • 2013 – Far Cry 3
  • 2014 – Need for Speed: The Run
  • 2015 – Persona Q: Shadow of the Labyrinth
  • 2016 – Metal Gear Solid V: The Phantom Pain
  • 2017 – Lost Oddysey
  • 2018 – Celeste
  • 2019 – Kingdom Hearts III
  • 2020 – VOEZ
  • 2021 – Super Smash Bros Ultimate

Mars

Légendes Pokémon: Arceus

Bah écoutez ça marche bien. Comme tous les jeux Switch je suis pas arrivé à la fin parce que je suis désormais dans ce triste monde où si j’ai pas de succès à poursuivre j’arrive pas à me motiver à finir mes jeux mais j’y ai quand même joué une bonne quarantaine d’heures, et pris pas mal de plaisir au passage. C’est vrai qu’ils ont bien ajustés les mécaniques de Pokémon dans un monde open-world et ça me dérangerait effectivement pas que ça soit le modèle sur lequel la franchise se base à partir de maintenant. Après ça reste encore une base très perfectible, mais ils ont réussis à retrouver ce goût de l’aventure et de l’exploration que la triste plaine principale de Epée & Bouclier parvenait pas à développer.

Globalement, c’est peut-être une de mes expériences Pokémon favorites depuis Soleil & Lune: je trouve ça assez malin de placer ça dans un passé lointain et l’intrigue est pas trop tarte à suivre. C’est une bonne proposition, et elle m’enthousiasme pas mal pour l’avenir de la franchise. Même si je dois avouer être un peu interrogatif sur le fait de sortir cet Arceus neuf mois à peine avant une toute nouvelle génération… Parce que du coup toute la hype que j’aurais pu avoir sur Orange et Violet bah elle a été utilisée sur Arceus… Puis globalement, mes expériences Pokémon j’aime bien les espacer d’une ou deux années… Enfin on verra à la sortie…

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2009 – Persona 4
  • 2010 – Pokémon Argent Soul Silver
  • 2011 – Brütal Legend
  • 2012 – Katawa Shoujo
  • 2013 – Sim City
  • 2014 – South Park et le bâton de la vérité
  • 2015 – Cities Skylines
  • 2016 – Wolfenstein: the New Order
  • 2017 – Zelda: Breath of the Wild
  • 2018 – Yakuza 4
  • 2019 – Granblue Fantasy
  • 2020 – Yakuza 0
  • 2021 – Final Fantasy XIV Shadowbringers

Avril

Killer is Dead

En avril je me suis donné cet objectif un peu idiot de faire « le ménage » dans mes vieux jeux Xbox que j’avais commencés et finalement peu « creusés » en terme de succès. Genre par exemple le Killer is Dead de suda51 où j’avais chopé 3 succès et laissé tomber très vite à cause d’une QTE abusée sur le boss du 3e niveau. J’ai pris mon courage à deux mains, j’ai relancé le jeu, j’ai passé cette QTE et du coup je me suis enchaîné toute le reste du jeu en une seule journée.

Constat: bon bah c’est pas aussi marquant et mémorable que Killer7. Mais en même temps j’ai l’impression que c’est la croix que doit porter le pauvre suda51. Je me demande même si c’est pas les connards dans mon genre qui l’obligent à continuer à la porter… Surtout que ce Killer is Dead est clairement pas dans le même délire ! Ici on est dans un jeu d’action très stylisé, avec un système de combat très rudimentaire mais qui est au coeur de tout. Je vous avoue que l’intrigue et les cinématiques m’ont gonflées et lassées extrêmement vite, et l’univers en général m’est clairement passé au dessus. Y’a quand même des beaux plans, des moments un peu uniques et le gameplay est simplissime mais fait globalement « le taf » pour pas trop m’ennuyer.

Mais ça reste assez passable, à l’image de mes jeux d’avril où entre ça, Dirt 5, Art of Rally, Angels of Death ou même des essais compliqués sur Devil Cry May 5 vraiment j’ai tout fait pour jouer à des jeux qui m’amusent pas de ouf.

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2009 – Phoenix Wright Ace Attorney: Trials & Tribuation
  • 2010 – Mass Effect
  • 2011 – Red Dead Redemption
  • 2012 – Metro 2033
  • 2013 – Batman Arkham City
  • 2014 – Pokémon Link Battle
  • 2015 – Professeur Layton Vs Phoenix Wright
  • 2016 – Oddworld: New N’Tasty
  • 2017 – Persona 5
  • 2018 – BanG Dream: Girls Band Party
  • 2019 – Final Fantasy IX
  • 2020 – Two Point Hospital
  • 2021 – New Pokémon Snap

Mai

Hatsune Miku: Colorful Stage

J’ai passé tout mai à farmer des events sur Project Sekai, je suis désolé, c’est le seul mobage sur lequel je suis vraiment très investi ces derniers temps (quoique j’ai commencé Arknights y’a deux semaines mais j’y joue encore de manière très casuelle) donc je voulais le mettre en avant. J’avais déjà bien testé la version japonaise un an avant et quand j’ai appris genre trois jours après m’y être mis qu’une version anglaise internationale allait sortir en décembre j’avais pas mal hésité. Devais-je rester sur JP ou me relancer sur EN ? Au final, j’ai choisi de me relancer sur EN et j’y prends globalement plus de plaisir parce que, attention, twist: un des atouts de Project Sekai c’est ses personnages, ses histoires et donc comprendre les séquences cinématiques est un plus certain !

(En plus d’y tirer les 4 étoiles Mizuki que je veux à tout prix, ce que la version JP me refusait de manière véhémente.)

Le jeu me plaît bien parce qu’en plus d’être un bon best-of du meilleur des créations Vocaloid et d’offrir une plate-forme ambitieuse pour tous les producteurs du moment, Project Sekai réussit la performance d’offrir un casting très large et très profond, quand bien même à la base pas grand monde ne vient pour ça ! Je veux dire on est là pour les chansons, on est là pour Miku et ses potes, mais mine de rien les vingt personnages originaux et leurs petits groupes thématiques parviennent très vite à toucher notre coeur et à nous séduire, grâce à d’excellents développements et pas mal de petits twists autour des archétypes que chacuns représentent. J’ai jamais caché mon amour pour le groupe Nightcord at 25:00, par exemple, qui traite de pas mal de sujets assez lourds – qui vont de la difficulté de création aux questionnements de genre en passant par les conséquences de la dépression – et sait trouver le ton pour nous attacher à ses membres.

Donc yep, j’aime beaucoup à la fois parce que c’est un jeu musical honnête au catalogue hyper généreux mais aussi parce que j’aime bien l’univers et les personnages qu’il me propose, qui me semblent aller plus loin que ce que des Love Live ou des Bang Dream avaient pu tenter y’a quelques années.

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Grand Theft Auto IV
  • 2009 – Fallout 3
  • 2010 – Prototype
  • 2011 – The Saboteur
  • 2012 – Banjo-Kazooie Nuts & Bolt
  • 2013 – Fire Emblem Awakening
  • 2014 – Mario Kart 8
  • 2015 – Tearaway
  • 2016 – Trackmania Turbo
  • 2017 – Crash Bandicoot 3: Warped
  • 2018 – Cities Skylines: Xbox One Edition
  • 2019 – Football Manager 2019
  • 2020 – The Witcher 3: Wild Hunt
  • 2021 – Dragon Quest Builders 2

Juin

Dark Souls

En 2011 j’essayais le alors tout nouveau Dark Souls et je trouvais ça vraiment super bien. Mais problème: j’ai rencontré le démon Capra et j’avais honnêtement pas trop une méga patience de ouf, du coup j’ai mis le jeu de côté. Assez longtemps. Suffisamment longtemps pour que quand je veuille relancer le jeu en cette moitié d’année 2022 j’ai du utiliser des ruses de sioux genre relancer ma Xbox360 pour racheter le jeu sur la boutique 360 et ainsi y avoir accès depuis ma Series X parce que oui le jeu d’origine n’est plus dispo sur les boutiques Series. Et, oui, j’aurais pu éventuellement prendre la version Remastered mais pensez à mon taux de complétion de succès de la version originale qui était pas haute de ouf.

Très rapidement: j’ai refait un perso et j’ai bien avancé ! J’ai battu le démon Capra qui reste encore jusqu’à présent le boss sur lequel j’ai vraiment le plus galéré ! Après ça je me suis paumé dans les égouts et j’ai latté un gros dragon moche ! J’ai découvert les joies et les plaisirs de Blightown ! J’ai battu une grosse araignée géante ! Et en vrai ça va, j’avance bien. Mais manque d’énergie aidant, je l’ai pas forcément relancé ces derniers mois, quand bien même paraît-il qu’une grosse forteresse m’attend. Ca reste un jeu que je lance un peu que si je suis dans un mood particulier – me faut un peu de courage et de motivation car je sais que ça va être des parties toujours très longues (c’est un univers qu’on prend plaisir à explorer et qu’on a du mal à quitter) mais aussi très intenses et assez exigeantes en terme d’attention à donner. Et comme de l’attention et de l’énergie j’en avais pas des masses ces derniers temps, bon bah…

En tout cas, oui, euphémisme du siècle: Dark Souls est effectivement pas trop mal. J’espère que cette opinion vous surprend !

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Zelda Twilight Princess
  • 2009 – Theme Park World
  • 2010 – The Movies
  • 2011 – Sega Megadrive Ultimate Collection
  • 2012 – Kid Icarus: Uprising
  • 2013 – Animal Crossing: New Leaf
  • 2014 – Kirby Mass Attack
  • 2015 – GRID Autosport
  • 2016 – Football Manager 2016
  • 2017 – Cities Skylines: Natural Disaster
  • 2018 – Hitman
  • 2019 – Super Mario Odyssey
  • 2020 – Final Fantasy XIV: A Realm Reborn
  • 2021 – Judgement

Juillet

PowerWash Simulator

Quel jeu privilégier quand a le COVID et absolument plus aucune énergie ? Bon bah pourquoi pas ce petit jeu à la con fourni par le Game Pass où t’as juste à nettoyer des lieux méga-salopés par la crasse avec ton petit tuyau à haute pression ? Clairement le meilleur timing pour ce jeu, qui m’a fait passer des journées entières à nettoyer de la merde en écoutant de la musique tout en respectant le fait que je ne pouvais plus penser à grand chose. Y’a ce côté très relaxant et très reposant de ne rien faire de très intéressant, de valider des zones, de recevoir des petits « tings » musicaux à chaque fois que tu as bien fait le travail. C’est très con, c’est très vide de sens, mais le lore est rigolo et parfois on s’agace un peu parce que y’a une putain de tache de rouille qui vient casser les couilles. On passe par toutes les émotions mais jamais de manière très excessive. C’est presque relaxant.

Je dis presque parce que bon au bout de trente heures je commençais à saturer grave. Quand j’ai du nettoyer une méga grande roue j’ai commencé à regretter ma décision de m’être engagé dans le jeu. Y’a peut-être trois ou quatre niveaux de trop. Ou alors c’est peut-être moi qui aurait pas du passer deux semaines à m’enquiller de la haute pression en boucle. Difficile à dire.

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – Super Smash Bros Brawl
  • 2009 – Eternal Sonata
  • 2010 – Bully: Scolarship Edition
  • 2011 – Mario Party 5
  • 2012 – The Darkness II
  • 2013 – Danganronpa
  • 2014 – Jojo’s Bizarre Adventure All-Star Battle
  • 2015 – Asura’s Wrath
  • 2016 – Fire Emblem Fates: Heritage
  • 2017 – Motorsport Manager
  • 2018 – Crash Bandicoot: N’Sane Trilogy
  • 2019 – Crash Team Racing Nitro Fueled
  • 2020 – Doom Eternal
  • 2021 – Rondo Duo: Fortissimo at Dawn

Août

Natsu no Owari

Deuxième été d’affilée où je me retrouve à parler d’un eroge, et encore une fois dans des conditions évidemment optimales puisque c’est un jeu qui n’a aucune traduction officielle et comme je n’ai toujours pas appris de katakanas supplémentaire depuis l’an dernier (j’en connais toujours que deux) bon bah je l’ai fait en utilisant un logiciel qui traduisait automatiquement le contenu du jeu sur DeepL. Vraiment le top du top en terme de respect de l’auteur. Mais eh j’ai compris l’histoire et cette histoire elle est vraiment intéressante ! En effet, Natsu no Owari se déroule dans un monde où un « mystérieux virus » a juste purement et simplement éradiqué net toutes les personnes beaucoup trop agées – en gros les plus de trente ans. On y suit un héros, seul survivant d’un village reculé dans la campagne qui n’était alors peuplé que de vieux, qui va faire la rencontre d’une mystérieuse jeune fille, qui semble avoir marchée de manière incessante depuis la ville pour échapper une civilisation qui manifestement est devenue folle. Les deux vont donc vivre ensemble et essayer de survivre dans un monde où se nourrir commence à devenir un challenge de tous les jours.

Ecrit par le studio CUBE (un des studios d’eroge avec lequel j’ai le plus d’affinités), Natsu no Owari m’a pas mal surpris de part l’univers qu’il dépeint, de part sa narration et de part le sérieux absolu avec lequel il traite de sujets comme l’isolation, le survivalisme et les conséquences d’une pandémie encore plus dangereuse que ce qu’on a traversé. C’est clairement un jeu post-COVID, qui en plus de cela pose une relation très sympathique entre deux héros plein de ressources et plein de charmes, avec une romance qui évolue de manière naturelle. Le jeu reste un peu cruel par certains aspects (il vous oblige à vous bouffer les bad end avant d’accéder à la bonne fin) mais ça a été une bonne lecture dans l’ensemble. Peut-être une de mes meilleures expériences récentes en terme de visual novel, je lui espère une tradition officielle au moins en anglais un de ces 4 !

Jeux précédents pour ce mois: 

  • 2008 – The Darkness
  • 2009 – Mirror’s Edge
  • 2010 – Bioshock 2
  • 2011 – Fallout New Vegas
  • 2012 – Guitar Hero: Warriors of Rock
  • 2013 – Spec Ops The Line
  • 2014 – Dance Central 2
  • 2015 – Mafia 2
  • 2016 – Fire Emblem Fates: Conquête
  • 2017 – Sonic Mania
  • 2018 – Nier Automata
  • 2019 – Spyro: Reignited Trilogy
  • 2020 – Total Extreme Warfare 2020
  • 2021 – Hadès

Les autres jeux

When the Past was Around
  • Control: Je ne suis jamais parvenu à rentrer dedans. L’univers avait tout pour me plaire mais m’a rapidement saoulé à cause de son ton, et jouer au jeu m’a rapidement paru extrêmement répétitif. Une des cartes les plus illisibles que j’ai jamais eu à essayer de décrypter dans un jeu vidéo. Déçu mais pas choqué.
  • Twelve Minutes: Concept assez sympa, maniabilité à la manette pas ouf et ça invoque parfois le côté très tordu des point & click des années 90. Problème: on est moins patient que dans les années 90.
  • The Artful Escape: Expérience un peu sensorielle, pas désagréable. Bonne direction artistique. J’ai oublié l’intrigue et les messages – je sais même plus si y’en avait vraiment.
  • When the Past was Around: Petit jeu de puzzle assez mélancolique. Pas trop mal réussi dans son ton et dans l’ambiance qu’il veut poser. Se termine en environ deux heures donc ça permet un après-midi un peu émouvant.
Forza Horizon 5
  • Forza Horizon 5: C’est Forza Horizon ! Toujours un jeu très riche en contenu, assez sympa à parcourir. Il m’a globalement moins plu que le 4 sans que je puisse vraiment expliquer pourquoi – ptet que j’aimais juste beaucoup l’ambiance sombre et froide du Royaume-Uni. Ca reste très solide.
  • Unpacking: Là aussi un de ces jeux Game Pass compatible que tu prends pour une soirée et qui te la remplit pas trop mal. Ironique quand on sait que le but du jeu c’est de vider des trucs. Un bon exemple de narration par l’environnement et les objets. Un peu répétitif sur la fin: la dernière maison, honnêtement, j’étais un peu gavé. Ptet que vaut mieux éviter de s’enfiler tout le jeu d’un coup.
  • Idol Manager: Jeu de gestion d’une société de production d’idol. Un peu sarcastique sur l’industrie mais a quand même du coeur. La gestion des finances est très très serrée et faut plusieurs parties avant de prendre les réflexes qui empêchent la banqueroute. Une fois ça compris, le jeu devient paradoxalement un peu trop facile, témoignant d’un léger manque de profondeur. Ca reste très sympa !
  • Réussir le Code de la Route: Beaucoup trop de questions statistiques que j’ai beaucoup de mal à retenir et toujours infoutu de différencier feux de route, feux de position et feux de croisement. Mais je tourne autour de 32 / 40 donc j’imagine que ça avance bien.
Red Dead Redemption 2
  • Disco Elysium: J’ai lancé deux petites heures, c’est effectivement très bavard et très touffu. L’OST est incroyable. J’ai pas continué jusqu’à présent parce que sur ma télé les textes sont vraiment trop petits donc c’est pas ultra confortable…
  • Red Dead Redemption 2: Tout dans ce jeu témoigne d’un travail ahurissant et d’une recherche permanente du détail qui est assez respectable. Par contre derrière qu’est-ce que le jeu m’a paru chiant à jouer ! Il a l’air énorme en terme de contenu mais vu à quel point c’est pénible de faire quoi que ce soit, j’ai pas une envie de ouf de m’immerger plus que ça. Je me dis que quitte à balancer 100h dans un jeu, autant le faire sur un jeu de gestion ou sur FFXIV. Du coup le jeu prend la poussière dans un coin et j’ai vraiment pas envie de le relancer.
  • Hatsune Miku Logic Paint: Un Picross dans l’univers de Hatsune Miku. C’est le jeu. Ca aide à passer des grosses soirées de méga fun.
  • Taiko no Tatsujin – The Drum Master: Etrange choix de sortir un Taiko no Tatsujin sur une console ou y’a pas de taikos disponibles. Du coup j’y joue à la manette ce qui est honnête mais pas top. La setlist est sympa mais les DLC sont pas forcément très ouf – quelques bonnes chansons Vocaloid ou un pack Bleach mais à part ça eh bon.
Psychonauts 2
  • Psychonauts 2: Là aussi un jeu qui m’a rapidement saoulé de part son ton et son intrigue. Je sais pas si je deviens pisse froid mais plus ça va plus l’humour dans les jeux vidéo ça me tétra saoule et je trouve ça jamais drôle de ouf. J’ai zappé systématiquement les (très très) nombreuses cinématiques passé un point et tout est allé mieux. Mais comme j’ai l’impression que c’est l’univers, les personnages et l’intrigue qui est censé être le point fort de Psychonauts, bon…
  • Deedilt in Wonder Labyrinth: Une très bonne surprise Game Pass que ce Deedlit, un petit metroidvania se déroulant dans l’univers de Lodoss. C’est assez court – m’a fallu environ sept heures pour le faire à 100% – mais ça fait vraiment bien le taf en terme de précision et de direction artistique.
  • Pupperazzi: Ah le jeu est sorti pas vraiment fini, quel dommage ! Ce Pokémon Snap des doggos avait un petit potentiel fun mais au final les cartes sont plutôt vides, y’a encore pas mal de bugs et la maniabilité n’est pas toujours très agréable.
  • Batman Arkham Knight: Je comprends un peu les critiques envers l’omniprésence de la batmobile (surtout qu’ils ont filés au véhicule un mapping de touches un peu chelou) mais j’ai trouvé le jeu globalement bien plus abouti et bien plus passionnant que Arkham City. Juste extraordinairement déçu que le jeu t’impose de faire toutes les énigmes de merde de l’homme mystère (y’en a beaucoup trop et très peu sont vraiment intéressantes) pour voir la conclusion du jeu, c’est une idée bien bien pourrie.
Batman: Arkham Asylum
  • Let’s Sing Queen: Un jeu de karaoké dans l’univers de Queen, c’est pas méga poussé mais on peut chanter avec son téléphone comme micro et y’a Princes of the Universe donc yeah.
  • Dirt 5: Pas le jeu de bagnole le plus intéressant auquel j’ai pu jouer.
  • Devil May Cry 5: J’étais un peu chaud à l’idée de redonner une chance à Devil May Cry (j’avais détesté jouer au premier) mais au final je dois avouer avoir beaucoup de mal avec le « gameplay » du jeu. Je le trouve trop rigide, pas assez fluide. Je sais juste pas jouer à DMC et ça m’emmerde. Je pense que je préfère les beat’em up plus basés sur l’esquive à la Bayonetta. Dommage parce que par contre j’aime toujours bien l’univers et les cinématiques haha.
  • Civilization 6: Comme d’hab je teste le nouveau Civ que j’ai chopé en soldes une misère sur Stream et ça fini en moi qui réinstalle Civ IV parce que c’est vraiment lui mon Civ de coeur.
Triangle Strategy
  • art of rally: Jeu de rally en caméra vue de haut qui a pour objectif de nous faire revivre toute l’histoire du rally. Très jolie ambiance, aspect historique assez cool mais maniabilité très très très exigeante: les voitures de rally sont des caisses à savons et ce jeu le retranscrit ! J’ai pas forcément 100% la patience.
  • Mario Kart 8 Deluxe: Les nouveaux packs DLC sont très chouettes jusqu’à présent et j’espère sincèrement retrouver le Bois Vermeil ASAP.
  • Angels of Death: Jeu amateur japonais qui a débouché sur un animé et un manga à succès, le jeu est très très root, très lourd dans sa maniabilité (on sent les origines RPG Maker) et l’intrigue est très très edgy-adolescent. C’est pas ouf mais c’est pas nul non plus.
  • Triangle Strategy: Je sais pas pourquoi je suis con et je sais pas pourquoi j’ai du mal à jouer sur Switch car ce Triangle Strategy a tout pour me plaire: tactical RPG beau et poussé, décisions à prendre en dehors des combats… Ca peut vite être addictif, et l’univers est pas inintéressant. Mais j’y joue pas car j’ai la flemme de brancher le cable HDMI sur le port de ma Switch. Je suis une grosse merde.
Eiyuden Chronicle: Rising
  • Fall Guys: Chopage de la version Xbox pour me détendre de temps en temps l’après-midi. Je continue à trouver la physique des haricots un peu trop lourde mais eh ça fait le taf et ça me fait un jeu battle royale dans lequel je suis pas trop nul, c’est déjà ça.
  • Eiyuden Chronicle Rising: Etrange délire que cet apéritif pour le « vrai » Eiyuden Chronicle, qui prend la forme d’un méga mélange des genres entre Metroidvania, jeu de gestion et crafting permanent. C’est pas incroyable mais ça trouve quand même les bases d’une formule un peu addictive. Toujours très chelou cet univers ou les kangourous parlent mais ok.
  • The Stanley Parable Ultra Deluxe: Je continue à pas forcément ultra-comprendre le méga enthousiasme que ce jeu suscite chez certains professionnels mais au final c’est pas très important. C’est un jeu fun le temps d’une soirée, le nouveau contenu est rigolo mais étrangement je dois être le seul connard à penser que le jeu est loin de réellement exploiter à 100% son concept.
  • Rune Factory 4: C’est très zarb de jouer sur Series X a un portage de jeu 3DS. C’est sinon un peu sympa mais ça manque clairement de guidage.
  • F1 Manager 2022: Plus accessible qu’un Motorsport Manager, utilise les licences officielles mais damn qu’est-ce que c’est limité en terme de possibilités (à la fois en course et en dehors) et surtout qu’est-ce que les courses y sont ultra-prévisibles. J’ai fini ma première saison le week-end dernier, je pense que je vais enchaîner sur ma seconde une fois les gros patchs arrivés (y’a un bug par exemple qui fait que les pneus sont à l’heure actuelle très mal géré par le jeu, ce qui est dommage vu que c’est le nerf de la guerre !)

Damn écrire tout ça me tue un peu car j’ai l’impression d’être devenu un râleur insatisfait. Faudrait vraiment que j’essaie de jouer à des jeux que j’ai vraiment envie de faire, je crois. Je vais essayer d’en faire une bonne résolution pour la prochaine année !

Allez, merci à tous et toutes de votre lecture, maintenant je pars bosser sur la seconde vidéo Youtube, on y croit !

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