Mangas & Animes

Si Gurren Lagann était sorti 2000 ans plus tôt, on aurait des statues de Nia ou de Kamina dans nos églises (impressions anime)

Article désormais classique dans le paysage de la blogosphère internationale: un récapitulatif, par les blogueurs, des animes et des épisodes qu’ils ont regardés et sur lesquels ils exposent leurs sentiments, leurs visions d’avenir, leurs envies de partage et de découverte, et peut-être même parfois exposer leur amour pour une personne qui leur est chère, car les blogueurs sont aussi des grands romantiques qui, parfois, ne le savent pas encore.

Bon déjà on va commencer par le pourquoi du comment du titre: j’ai maté Tengen Toppa Gurren Lagann The Movie: Lagann-hen. Et ce fut assez extraordinaire.

JE POSE.

Pourtant au début du film, j’étais peu engagé: récapitulatif assez bourrin des épisodes, tout va super vite et on a pas super l’impression que ce soit très retouché. En moins d’une demi-heure, on se bouffe l’intrigue de cinq ou six épisodes dans la face, cinq où six épisodes qui en plus étaient à la base écrit pour en faire le double et qui étaient donc déjà super rapides. Mais bon, je me plains mais au final je n’ai pas tellement à le faire: le montage fait que ça passe plutôt bien et que si le premier mec lambda venu décide de jeter un oeil au final sans avoir vu la série, il ne s’y perdra pas beaucoup: faut juste qu’il accepte que ça aille vite. Pour le reste on s’y retrouve en terme de qualité visuelle, qualité d’animation, les personnages sont toujours aussi attachants, tous les enjeux sont posés, les retournements de situation se font, bref, c’est cool. Et c’est finalement de plus en plus pris dans le truc qu’on termine la première heure du film pour s’attaquer à la seconde. ET LA ATTENTION CA DECHIRE.

Je me retrouve donc avec devant les yeux un putain de combat final qui dure presque une heure, pendant laquelle je:

  • Lâche des larmes viriles parce que Libera Me From Hell commence à résonner sur des images magnifuqes
  • Lâche des larmes viriles parce que

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    le sacrifice de Kittan est super bien amené, et marche aussi bien VOIRE MIEUX que dans la série originale

  • Lâche des larmes viriles devant ce débauchage assez terrifiant de poses viriles, de gros robots, de dialogues remplis de résolution avec la musique qui rajoute un souffle encore plus fort à tout ce truc. Trop d’épique peut faire pleurer, c’est désormais un fait.
  • Lâche des larmes de sensibilité devant la fin, parce que

    et que c’est toujours aussi triste hein. Mais Simon est un homme, et il réagit plutôt bien au truc…

  • Lâche des larmes viriles devant le générique et la scène post-générique parce que c’est fort.

En fait je fais genre je peux expliquer pourquoi j’ai passé presque une heure les larmes aux yeux devant le film mais en fait, à part l’exception de « pièges à larmes » que sont

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le sacrifice de Kittan et la disparition de Nia

, je ne peux pas. C’est juste trop fort émotionnellement alors que c’est juste des dialogues over the top, sur de la musique qui déchire et avec des gros robots. Ca… ne devrait pas faire pleurer sur le papier, et pourtant rien à faire, tout cet étalage de virilité, de discours optimistes et cette ost de folie font que… voilà. Puis j’étais très fatigué aussi mais bon, je pense que même à fond avec 300g de caféine dans le nez j’aurais pleuré sa mèèère.%% De l’autre coté, vous commencez à le savoir: j’ai la larme facile.

Mais bon, c’est BEAU.

D’autant plus que tous les rajouts ajoutés au film sont vraiment excellents, et là je vais encore une fois passer sous spoiler.

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Alors déjà que c’était énorme dans la série originale de voir chaque partie du Chouginga Gurren Lagann « s’expédier » comme des matriochkas, mais là ce qui est encore plus fort c’est Simon qui sort pour venir foutre un bon poing vengeur dans la gueule de l’Anti Spirale. La puissance dégagée par la scène pourrait suffire à alimenter Washington en électricité. Surtout quand on sait, dans Gurren Lagann, ce que vaut un « coup de poing dans la gueule » contrairement aux autres séries. Y’a un message. Une PORTEE.

De même, la tentative de suicide de Rossiu est tenté d’une manière plus différente, qui rend le Rossiu beaucoup plus pitoyable. Ce qui rend la chose tellement plus glauque et tellement pas adapté au reste de la série que ça crée un contraste qui rend le truc assez mémorable, une sorte de « fausse note » qui au final passe plutôt bien et ajoute un petit coté surréaliste à ce film qui n’en nécessitait pas tant.

Car après on a surtout la fameuse scène de virilité non stop avec tous ses gurren, chacun ayant le sien et là attention ça en impose là aussi pas mal. Ca en impose même de manière assez titanesque, et certains designs déchirent franchement bien la gueule (le mécha de Nia putain !) donc franchement, on peut pas dire non.

Donc bref un film qui nous demande souvent très fort de croire en des trucs, et qui au final marche à fond. Aussi bien objectivement que subjectivement: techniquement on est vraiment au poil, le montage fonctionne parfaitement, le ratio inédit/réchaffé est plus que satisfaisant, la musique explose grave la gueule comme d’habitude, les idées continuent à fuser de partout et émotionnellement, comme je l’ai dit, j’ai passé la moitié du film totalement transporté dans cet univers. Je crois qu’on ne peut pas test en disant que si on devait retenir à jamais un seul « film-résumé », ça serait celui là. Car il transcende les cieux vers le paradis, ni plus ni moins, et une sortie en France (au moins en DVD, le cinéma je rêve debout) ne serait pas du tout de trop. Et on ne peut encore une fois que s’agenouiller devant la Gainax pour une telle réussite. APPLAUSE.

(c’est en plus, comme ça, à chaud, un des rare 10 que je met à un truc sur MAL. Je reverrais ma note dans trois ou quatre mois, mais de toute façon, c’est du haut niveau QUAND MEME.)

ALLEZ LES MECS. A LA FRAICHE.

Sinon dans les derniers épisodes / séries vues, balambalam, parlons de pleins de trucs:

Durarara!! par exemple: on avance tranquillement au rythme hebdomadaire et force est d’avouer que la série continue de vraiment imposer respect dans sa construction, sa narration et également dans le développement de ses nombreux personnages. Après avoir passé un peu de temps à évoluer un peu à l’aveuglette, des enjeux commencent enfin à se créer et ça ne gâche rien. D’autant plus que chaque personnage continue d’être passé au crible, « d’évoluer » même quand l’épisode « dédié » est passé, on est toujours enrobé de nombreux mystères et les réponses arrivent au compte goutte. Mais je retiens tout particulièrement l’épisode 7, dédié à Shizuo le lanceur de distributeurs (ce qui est déjà un concept cool) qui arrive à se montrer là aussi passionnant. D’ailleurs je retrouve dans Durarara!! un syndrome que je n’avais retrouvé pour l’instant que dans Code Geass et Gurren Lagann: l’impression qu’on est proche de la fin de l’épisode alors qu’en fait on vient de passer seulement dix minutes. Sauf que là, contrairement à pas mal d’animes où on espérait que ce soit la fin de l’épisode mais qu’au final on sent qu’on va devoir se taper dix minutes de plus, et bah là on mate le temps qui reste avec appréhension pour voir que « OMG EN FAIT VOILA. » Et pour moi c’est une sorte de bonne chose.

Et je maintiens que le casting est quand même putain de cool. Tous les personnages sont extrêmement attachants et aucun, pour le moment, ne me débecte particulièrement. Et le pire ? Même les personnages super secondaires sont cools (l’immigré de l’épisode 6 putain.)

Donc bref, Durarara!! confirme encore un peu plus son statut et confirme que Dybex a chopé un bon truc. Tiens vite fait, reparlons du simulcast Dybex: si pour Durarara ça a l’air d’aller (cinq épisodes en quatre semaines), pour Dance in the Vampire Bund, haha. Bon je vais pas revenir sur le truc qui m’a permis de presque atteindre les 400 commentaires (ce qui me permettra de m’en vanter auprès de Noizi Ito, mais oui, je suis sûre qu’elle y attache une importance) mais dieu que ça patine dans la semoule: depuis le 24 Janvier, à peine trois épisodes sont sortis, ce qui fout une belle moyenne d’un épisode tous les treize jours, ce qui est toujours SUPER. On sent à peine retrouver un des très mauvais cotés du fansub francophone qui est ses délais… particuliers. Deux épisode par mois ? C’est super top si tu kiffes bien la série, que tu bites pas un mot de français et que, pas de bol, tu n’as que ça comme service te permettant de la mater. Autant pour Durarara!!, l’objectif d’un épisode par semaine est rempli (avec deux épisodes de retard sur l’US, ce qui est triste mais pas forcément dramatique), autant pour Vampire Bund ça reste très critiquable. On dirait presque que Dybex tend le bâton pour se faire battre et tiennent absolument à griller la cartouche « Vampire Bund » le plus vite possible. Où alors ça veut dire que les mecs derrière passent une semaine à faire le truc et une semaine à se relire. Mmm. Ca m’apparaît jouable.

Du coup, vite fait, Dance in the Vampire Bund, j’ai maté l’épisode 4 et c’est laid. Je parle pas forcément du scénario et de tout ça, mais rien à faire, je vomis gentiment le chara-design et le style général du truc, c’est presque trop… jaunatre. Voilà ce que m’inspire dance in the vampire bund: jaunâtre. Et du coup ça me motive pas des masses à continuer, parce que même si les persos sont sympas, bah rien à faire, je les trouve moches. Et de toute façon, à part Mina Tepes (!), ils sont pas intéressants des masses. On va dire que je suis triste parce que l’épisode 1 m’avait grave emballé. Bah non au final hein.

OMG REFERENCE

Pendant ce temps, l’agréable surprise qu’est Baka To Test To Shoukanjuu (une série qui a le don de possèder un « Shoukanjuu » final qui a 400 écritures différentes, ce qui me pète pas un peu les couilles) continue d’être toujours aussi… agréable. Pour ne pas dire hilarante même, car franchement c’est rare qu’une comédie japonaise me fasse péter des barres de rire de manière aussi continuelle. Surtout que plus on avance dans la série, plus on sent qu’ils maîtrisent leur sujet. Le début de la série, par exemple, est plutôt drôle, mais une fois qu’ils se sont débarrassés du rare scénario qu’il y’avait et qu’ils ont décidés de se faire un concours type « casons le plus possible de vannes dans un seul épisode », la série change complétement de statut et passe de « comédie rigolote » à « comédie qui fait ROULER de rire« . Parce que ce qu’il y’a de bien dans Baka To Test, c’est que franchement le rythme du truc est élevé. Très très élevé. Même un Dai Mahou Touge ou un Excel Saga balance pas autant de vannes à la minute, et évidemment je parle pas de K-On!, de Lucky Star ou de Azumanga Daioh qui en sont super loin. Là c’est pas « une tentative d’humour par minute », mais juste « une tentative d’humour TOUTES LES DIX SECONDES ». Les moments sérieux du bousin sont complétement zappés – y’a qu’un seul moment pour l’instant qui tente d’être grave sérieux, ça dure une minute, et c’est le moment le plus chiant de toute la série. Ce rythme a, grosso modo, deux avantages: le premier est que bien souvent on passe TOUT l’épisode avec la banane, le second est que du coup y’a énormément de tentatives de blagues et souvent on nous laisse juste pas le temps de réfléchir sur ce qu’on vient de voir et si c’était vraiment drôle ou pas: chaque blague écrase la précédente de l’Histoire. Du coup, même pas le temps de juger l’humour de la série, le truc nous l’empêchant purement et simplement.

Sans compte que ça essaie de taper dans tous les clichés possibiles et inimaginables et que c’est parfois assez jouissif. Puis putain on a une bonne dose de fanservice (la série est même une des rares qui se permet de nous faire baver AVEC UN MEC), les personnages sont très très funs et l’exploitation des caricatures qu’ils sont est très très bien faite. Et pire: la série ne tourne pas en rond. Pourtant on aurait pu craindre au pire: la série dispose ainsi de BEAUCOUP de runnings gags (Hideyoshi, les saignements nasaux, le catch, l’appareil photo, la yandere, la lesbienne, les mecs qui préfèreraient se faire Hideyoshi à Himeji, les tailles de poitrines, etc) et j’ai eu peur qu’au bout d’un moment ces runnings gags, très souvent utilisés, me les brise: et au final non. Pour une raison simple: contrairement à un Maria+Holic, les mecs se contentent pas de ça, et on a BEAUCOUP de gags « originaux ». Du coup on a un putain de mix constant et rah, voilà.

J’aime cette putain de série.

Non, elle n'orgasme pas

Comme je suis un peu fou aussi, je me suis lancé dans une série lointaine de 2004 nommée Grenadier. Jamais entendu parler ailleurs, jamais lu le moindre avis sur ce truc, je pars un peu vierge dans l’espérience. C’est juste que j’étais tellement héberlué par le « tits reload » (puisque oui, l’héroïne de Grenardier recharge son pistolet à l’aide de ses gros seins) que je me suis dit que cette série SERAIT une expérience. Et là bonne nouvelle: c’est pas si daubesque pour le moment (parce que ok, ouais, j’avoue avoir pensé me mettre à mater exprès une grosse daube) et après trois épisodes, je dois dire que ça me plait plutôt. Après faut bien être clair: c’est pas non plus stratosphérique, et globalement l’anime est un peu lent (faut dire que je me mate ça après Baka To et Durarara aussi) mais bon, l’héroïne est plutôt sympa, pas que physiquement, alors je vais continuer rien que pour ses beaux eyes et son joli sourire ^_^/.

Et enfin, je parlais de running gag avec Baka To Test, j’ai enfin mis fin à l’un des miens: j’ai fini Cowboy Bebop. Je m’étais gardé le trio des cinq derniers épisodes pour la fin et franchement, la série confirme son statut de chef d’oeuvre intemporel de la japanime. Je crois pas que y’a grand chose a reprocher à Cowboy Bebop et pour être franc avec vous, l’anime me semble même assez parfait. La technique a pas vieilli d’un poil, le concept d’un univers visité différent par épisode donne des putains d’expérimentations scénaristiques assez uniques (l’épisode avec le Betamax putain ! Ou le cowboy chasseur de primes ! Ou bien le putain de champignon dans le frigo ! ), fait qu’on voit à chaque épisode pas du tout le même truc et que du coup ça rend le truc super kiffant. Le défaut, évidemment, c’est qu’il est plus difficile de « s’impliquer » dans l’anime, étant donné qu’on ne mate pas le prochain épisode « pour savoir ce qu’il va se passer » mais pour « découvrir » une nouvelle histoire. Mais c’est aussi pour cela que j’ai pu mettre presque un an pour « dévorer » Cowboy Bebop, mâchant chaque épisode longuement pour en tirer tout le jus. Très bonne expérience donc. J’ai pas forcément la motivation de faire péter un billet dédié à la série mais je pense que je vais dès maintenant la remater.

(et Faye <3.)

Ah oui, et bien sûr: j’ai pleuré pendant tout l’épisode 26. Le « bang » final m’ayant même achevé. Bfff. Mélancolie là.

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Bakemonogatari n’est pas fini, et j’avais presque oublié l’idée de voir débouler l’épisode 14 un jour. Finalement, à part un opening dédié à Tsubasa plutôt merdique, pas grand chose à jeter de cet épisode, qui ne se démarque pas spécialement du reste de la série (toujours à base de longues discussions, de sous-entendus sexuels parfois explicites, d’expérimentations de chara-design et de fanservice gratuit mais toujours bon à prendre) mais qui à moins le mérite de finir sur un cliffhanger assez pesant, d’autant plus pesant que si l’épisode 15 met autant de temps à ramener son cul que l’épisode 14, bah on l’aura en juillet quoi. Et en juillet, bah, on sera sorti de la Japan Expo, on sera pas frais, et la saison 2 de K-On! aura fait que de toute façon on se sera entretué durant l’Epitanime à coup de Toyunda dans la face.

De même, je me suis enfin mis à fond dans Zan Sayonara Zetsubou Sensei, tant qu’a rester sur Shaft, et après un début de saison assez relou (réalisation planplan, thèmes peu intéressants, personnages peu exploités, folie restée au placard – à part la seconde partie de l’épisode 1), elle commence enfin à se reprendre en main et à retaper dans des réflexions qui font mal, dans un humour glacé et sophistiqué, dans une exploitation des personnages bien comme il faut et se tape même le luxe d’introduire de nouveaux personnages au casting ! Et évidemment, je reste encore admiratif du passage ferroviaire dans l’épisode 7 ou 8 qui est juste assez sublime, en plus d’être gentiment UN PEU DERANGEANT.

Après c’est du Sayonara Zetsubou Sensei: ceux qui adhèrent pas au truc… continueront à mépriser ça. Les ladres. Ils ne savent pourtant pas ce qu’ils ratent.

Et enfin, pour conclure, un mot sur To Aru Kagaku No Railgun dont les épisodes 17 et 18 furent gentiment… chiants. Mais chiant hein. Dans le genre « développement pénible de personnages figurants ». Ca marche pas. Et l’arc qui avait précédé était lui aussi assez pénible. En gros, voilà ce qu’il faut retenir de Railgun: quand c’est pas centré sur le quatuor d’héroïnes, c’est meh. Mais bon là à ce qu’il paraît, y’a un ARC qui arrive, yeaaaah, enfin un peu d’action.
(parce que ouais, ça reste chiant de voir un univers avec autant de pouvoirs différents, et aussi peu de démonstration. Meh.)

Trollface time

Mais allez, plus qu’un mois avant la saison de K-On!, plaque tournante de l’année animesque. J’espère qu’on verra Tsumugi sourire bêtement durant le premier épisode.

Au passage, remarque toujours subtile: Le sanglot des cigales est désormais disponible sur amazon.

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12 commentaires

  • Gold

    Pour le sanglot des cigales, c’est triste, y en a qu’un seul.

    Pour Lagann Henn, sur la totalité j’ai été déçu à cause de la première partie, et la première demie-heure de la deuxième m’est un peu passée au dessus, du coup j’ai envie de dire qu’à force d’avoir lu des avis super enthousiastes j’avais placé la barre d’attente juste légèrement trop haut. Mais ça n’en reste pas moins ultra épique, donc c’est pas grave en fait.

    LA SUITE DE CE COMMENTAIRE SPOILE GRAVE, MERCI.

    Dans la première partie un truc vachement bien quand même, outre le tout début avec la reconstruction qui fait toujours plaisir, la scène de hacking. Non sérieux. Ce truc est ultra hardcore épique par rapport à ce qui l’entoure.
    Par contre, remplacer le concept du millionième humain était plutôt mal venu, je trouve, même si la narration reste heureusement tout aussi efficace que dans l’anime de base.

    Mais la Lune. La Lune, quoi. Pourquoi elle se transforme en mécha. C’EST UNE OFFENSE ENVERS LE MASQUE DE MAJORA, sérieux.
    Puis euh j’ai pas trop aimé la façon dont ils ont traité la scène de la prison, parce que Simon avait encore plus perdu la volonté que dans l’original, et c’est un peu dur à encaisser.

    En ce qui concerne la deuxième partie, comme je le disais, je n’ai pas été transcendé par son début, mais à partir du moment où le final commence, alors là c’est sûr, ça poutre juste grave. La scène après l’ending m’a légèrement déçu parce que certes elle est un peu différente de ce qu’on nous avait déjà montré et l’ajout est fortement winnant, mais où au juste est passé Viral ? ;_;

    Sinon le truc avec la sortie de Lagann Henn en France, c’est qu’il faudrait aussi sortir Gurren Henn du coup, vu que Lagann Henn adapte la saison 2, et Gurren Henn a pas une très bonne réputation. (Je me base seulement sur la répute parce que de toute façon j’ai pas encore eu l’occasion de le voir)

  • Vrille

    Jolie connerie dans l’article SPOIL à la fin chaque membre de la Chou Ginga Dai Gurren Dan obtient son GANMEN(et pas GURREN !!! Qui est le GANMEN de KAMINA(Rossiu/Virale) en version Tengen Toppa/SPOIL
    SPOILAmo, tu oublies aussi la non-mort des pilotes de la Chou Ginga Dai Gurren Dan qui enlève un point dramatique, extraordinaire à la scène d’un ultime au-revoir (qui est pour moi la scène la plus forte en émotion surpassant de peu LA mort) entre Simon et Kamina quand Kittan, Kidd, Zoushi, Makken, Jougan&Barinbou et Ailac se retournent avec Kamina, leurs sourires aux lèvres vers Simon. C’est GAR ! C’est épique ! Dans Lagan-hen seulement Kittan et Kamina, bof, bof. Mais cette non-mort permet un ULTIME GATTAI entre tous les membres restant de la Chou Ginga Dai Gurren Dan qui matérialise leurs volontés sous la forme la plus appropriée, CHOU TENGEN TOPPA GURREN LAGANN !!!
    Et ne pas parler non plus des Chou Tengen Toppa Giga Drill Breaker est une hérésie !!!
    Gold, la descente aux enfers n’est là que pour prouver la capacité de Simon à transpercer de nouveau les CIEUX !!! A vaincre l’adversité toujours plus grande, grâce à sa vrille (traduction de BEEZ qui m’agace quand on sait qu’un mot beaucoup plus proche de « drill » existe en français, drille !) qui symbolise son ÂME !!!/SPOIL

    Et voilà que je m’excite de nouveau sur TTGL.

  • Zoneur

    « Je m’étais gardé le trio des cinq derniers épisodes pour la fin » Merci Captain Obvious :awe:
    TTGL Lagann-hen franchement, dès le début du combat final j’ai fait « WHAT ? », je me suis redressé de mon canapé, je me suis tenu la tête, et j’ai pas bougé jusqu’aux crédits 😮 Awesome.
    Pour le Bakemonogatari 14, ça fait vraiment du bien qu’il soit ENFIN sorti. Et bordel, qu’est-ce qu’elle est mieux en chatte qu’en normale Tsubasa :< La musique de l’op est cool quand même, et j’ai adoré ses « Nya » du début à la fin, alors que les tics verbaux commencent à me saouler dans les animes nano. è_é
    Et vivement Durarara!! en DVD § Et ce serait cool qu’on sorte aussi les Blu-Ray d’anime en France (bien que je n’ai rien pour les lire et que ça coûte la peau du cul)

  • Faust

    Et ben heureusement que tu évoques Cowboy Bebop, j’ai bien cru que nos goûts en matière d’anime étaient exactement opposés (ce qui n’aurait pas été une mauvaise nouvelle pour toi d’ailleurs, je suis très difficile)

    « Grenadier. Jamais entendu parler ailleurs, jamais lu le moindre avis sur ce truc » -> on est pourtant 2,3 à avoir regardé (et apprécié diversement) le truc :
    http://www.anime-kun.net/animes/fic

  • pbsaffran

    Pour le sanglot des cigales sur Amazon, le chiffre entre parenthèses indique le nombre de vendeurs sur le Marketplace, pas le nombre d’exemplaires.
    (J’en ai vendu 3 la semaine dernière)

  • locogitatio

    Salut,

    Si il y a un anim qu’on peut traiter « d’épique » ou d’ode à l’optimisme, c’est bien celui ci. Le film est sympa mais ne vaut pas le support original, même si on y retrouve les grands moments de la série, ça ne s’adresse pas à quelqu’un qui veut découvrir cette œuvre. C’est vraiment pour moi « commercial » et à l’opposé total des OAV musicaux officiels ( même si eux aussi le sont dans une moindre mesure, la touche créative est quand même bien sympa).

    En attendant c’est l’une des rares séries qui me donne envie de l’avoir en DVD et que je vais acheter un jour ou l’autre.

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