Pure(s) soirée(s)
Yoooooooooooooooosh.
On est le 27 mai, il est 8h45 à l’heure ou j’écris cette ligne, dans environ 60h c’est le début de l’édition 2015 d’Epitanime et il y’a environ 60h c’était la fin du 11e Stunfest rennais. Ce qui signifie qu’on est pile poil entre les deux festivals. Opportunité parfaite pour écrire dessus de manière concise et précise, faire mon petit bilan du Stunfest, vous rappeller les bases pour survivre à Epitanime et parler de 3/4 trucs totalements sans rapport genre Euphnium tout en essayant de pas dépasser les 2000 mots parce que y’a des fois je suis comme ça j’ai pas envie de faire 2000 mots sur Néant Vert.
(spoiler: j’ai échoué cet objectif.)
Le Stunfest c’était donc le week-end dernier et j’ai eu très peur quand ils ont annoncés la date puisque Epitanime n’avait pas dévoilé la sienne et je sentais le coup venir du « oups, deux gros festoches le même week-end, teehee. » Finalement ça va, le Stunfest est simplement tombé les mêmes jours que Geekopolis et, honnêtement, est-ce que j’ai une tête à en avoir quelque chose à faire de Geekopolis ? Est-ce que je touche trois fois le salaire moyen français et que je suis trentenaire nostalgique de l’époque ou les animés c’était déjà mieux avant mais au moins les mecs étaient des mecs ? Bon, voilà. Moi je préfère la Bretagne et les jeux vidéo, c’est dans mon ADN.
J’avais longuement parlé de l’édition 2013 sur Néant Vert et en le relisant je trouve plein de moments rigolos dedans. J’avais par contre pas parlé de l’édition 2014, ce qui m’étonne de ma part mais s’explique sans doute par le fait que j’avais du avoir grave la flemme vu que j’étais en plein déménagement à l’époque. Bref, en 2014 le Stunfest avait quitté son gymnase un peu serré pour s’installer dans le Liberté, une grande salle située littéralement au beau milieu de Rennes. Et du coup c’était relativement parfait: tous les espaces étaient maintenant soigneusement cloisonnés, les tournois pouvaient être vus depuis des authentiques gradins comme si on allait voir Jean Jacques Goldman, tous les couloirs autour de la grande salle étaient utilisés de manière optimale pour essayer de caser le max de stands possibles tout en essayant de permettre aux gens de naviguer… Bref c’était bien et j’avais passé la majorité du week-end à traînasser en salle Superplay, à alterner entre applaudir les performances que je voyais devant moi et jouer à Pokémon Link Battle.
L’édition 2015 c’est sensiblement la même chose, avec un plot twist: la salle a vite atteinte sa capacité maximale et il a fallu à partir du samedi après midi faire entrer les gens au compte goutte. Honnêtement quand on était dans la salle, cette surcharge ne s’est pas trop vue grâce à la disposition maligne des éléments du salon mais quand on sortait et qu’on voyait une queue gigantesque sur la place rennaise, on comprenait que la convention était victime de son succès. Sans compter qu’à cause du plan Vigipirate, la capacité avait sans doute été réduite par mesure de sécurité. Ce qui faisait qu’a l’intérieur on naviguait sans trop de soucis mais que dehors des gens devaient faire la grue et attendre que des personnes sortent « définitivement. » Et je parle pas des galettes qui étaient trop rapidement en rupture de stock…
C’est vraiment le seul point noir de ce week-end (avec l’absence d’un endroit ou on pouvait consulter de manière préciser le planning de toutes les salles) et je doute que l’organisation du Stun puisse réellement gérer mieux un tel souci. Maintenant, si on constate que le Liberté est déjà trop petit pour le salon, ça va devenir un vrai casse-tête pour l’association 3 Hit Combo (qui gère l’événement) qui va devoir chercher encore plus grand et à Rennes c’est peut-être pas simple. D’autant que, comme chaque année, le bouche à oreille est particulièrement élogieux et que chaque année les groupes de potes débarquent en Bretagne de plus en plus larges et nombreux. Bref, bon courage aux organisateurs.
Sinon mon expérience Stunfest, pèle-mèle et sous forme de liste:
- Comme prévu, j’ai passé la majorité du temps devant la scène Team Superplay Live. Comme l’an dernier, lol. Bon cette année j’ai pas pu voir tout ce que je voulais parce que la salle affichait complet le samedi pour Half-Life et Hotline Miami 2 mais sinon c’était impec. J’ai pu voir aussi bien du F-Zero GX (le Story Mode en Very Hard, détruit de manière impériale par un CGN à peine tendu) que du très impressionnant Metal Gear Solid 2 Sons of Liberty. Gros coups de coeur également sur Super Mario Sunshine et I Wanna Be The Boshy. La sélection était vraiment éclectique et surprenante, et c’était sans compter quelques speedruns supplémentaires sur scène comme un excellent run de Majora’s Mask. Bon ok j’avoue aussi avoir zappé Hotline Miami 2 parce que j’ai vu que BobLennon allait commenter et que je sais l’homme pas spécialement très adapté à ma vision d’un bon commentaire, celui-ci m’ayant un peu pourri la run de Metal Gear Solid 4 l’an dernier à coup de vannes peu inspirées et/ou destinées à un public très adolescent. Enfin je vais pas jeter la pierre.
- A contrario j’ai vu peu de finales de jeu de baston et je le regrette toujours un peu parce que faut avouer que c’est toujours un vrai spectacle. J’ai pu voir une finale d’un tournoi Mario Kart 8 que j’ai découvert sur place (ce qui est con sinon j’aurais participé) et qui était particulièrement fendard d’autant que le Parc Bébé est sorti en plein milieu de la finale ce qui m’a rendu particulièrement hystérique. Sinon j’ai vu du Capcom vs SNK2 (Sakura/Bison/Blanka, tout ça) et du Mortal Kombat X. Soyons honnête, MKX j’ai vu juste la finale et ça m’a suffit, le jeu était assez mou et visuellement pas super attirant au niveau de son design. Je regrette, par contre, d’être parti du Stun avant la finale Smash Bros. Et je me sens bête d’avoir loupé Tekken et KoF. Par contre j’ai pas vu de tournoi Virtua Fighter et ça me rend un peu triste parce qu’en 2013 j’étais resté scotché sur une finale de VF qui était juste impressionnante. Ce jeu est vraiment impressionnant à mater à haut niveau.
- Le Stunfest c’est aussi des conférences au nom aussi sexy que » Dans un jeu, fiction ludique très structurée idéologiquement et mécaniquement par l’impératif d’action, l’expérience contemplative est-elle possible ? » et c’est vrai qu’on pourrait penser que ça va être des conférences hyper pointues… mais quand on prend le courage d’y aller on trouve des trucs très accessibles et parfois même finalement assez basiques. La conférence sur « Le deuil et la mort dans le jeu vidéo » a ainsi finalement passé une heure et demie à dire pas mal de généralités assez accessibles. Ce qui n’est pas froncièrement un défaut, d’autant qu’il y’avait beaucoup d’exemples et d’illustrations ce qui était réellement bienvenu. Mais je suis parti de cette première partie avec le sentiment qu’il manquait beaucoup de choses et je regrette de ne pas avoir pu assister à la seconde partie, située le dimanche. Quant à la conférence sur L’érotisme et la pornographie dans le jeu vidéo, ça a la aussi été l’occasion pendant 2h30 d’écouter pas mal d’opinions assez variées sur le sujet. Là on avait beaucoup moins d’exemples et d’illustrations, un peu plus de débat moral et éthique. Pourquoi pas. Je regrette juste que la conférence semble être resté bloqué une bonne demi-heure sur le cas RapeLay, obligeant d’autres sujets à être pour ainsi dire survolés. Mais bon, c’est 2h30 qui sont passées très vite et c’était pas forcément gagné. En fait c’est finalement même le seul défaut de cet espace conférence: dans une convention comme le Stunfest ou y’a toujours un truc à faire à n’importe quelle heure, passer presque 3h au même endroit te donne l’impression que tu vas louper plein d’autres choses dans le reste de la conv…
- Je reste toujours aussi peu attiré par les jeux indépendants, du coup j’ai pas été très curieux dans cette section là. C’est peut-être dû à mon manque de sociabilité et la peur de devoir parler avec un dev si je voulais tester un jeu. J’ai quand même un bon souvenir de trois jeux: Crowd Smasher, une fusion rigolote entre Windjammers et Arkanoid, One Shot One Kill, une fusion rigolote entre Bomberman et Towerfall et enfin un flipper ou tu fais toi même le plateau avec une simple feuille et des feutres. Promis, un jour, je dédierais vraiment du temps à l’espace indé.
- Y’avait une autre salle SuperPlay que j’ai pas beaucoup parcouru parce que 90% de son emploi du temps était dédié au Shmup. J’exagère ptet un peu. Comme, honnêtement, je trouve pas le Shmup super sympa à regarder j’ai du coup un peu boudé cette zone. Ca arrive.
- Enfin, j’ai un peu fait le tour des stands, là aussi, et j’ai particulièrement passé du temps sur le stand jeux musicaux à jouer à Pop N’Music qui est un kiff intégral (mais qui me nique les mains) et regarder des gens jouer à Smash Bros. Etrangement j’ai très très peu joué tout le long du week-end. Pourquoi ? Chais pas.
- J’ai mangé qu’une seule galette saucisse du week-end :(.
- Mes regrets: 1/ Pas m’être inscrit au tournoi Pokémon Puzzle League cette année ; 2/ Pas m’être inscrit au tournoi Mario Kart ; 3/ Pas avoir maté plus de finales.
Maintenant honnêtement le Stunfest est un festival vraiment génial pour peu qu’on soit curieux. Il y’a toujours quelque chose à faire. Le vrai problème c’est que du coup on sait jamais trop ce qu’il y’a – les petits prospectus à l’entrée de la salle donnaient un planning incomplet et pour connaître le planning de la salle, il fallait souvent avoir du pot et voir passer le bon tweet à la bonne heure. Même si la conv disposait d’un wifi gratuit pour le public (<3333), bon, ça serait plus agréable de savoir quoi qu’il y’a à quelle heure. Autant je peux comprendre que donner un horaire pour les finales de jeu de baston c’est chaud, autant le fait de pas forcément informer qu’il y’a un speedrun de Majora’s Mask à 11h30 sur scène à telle heure, c’est un peu plus tristoune.
Mais du coup ça force à être curieux, à s’installer devant la scène sans savoir ce qu’il y’aura après. On peut être surpris, découvrir des trucs. C’est toujours cool. Le Stunfest a quand même le bon esprit et ça on peut que l’applaudir. J’espère du coup pouvoir y retourner l’an prochain.
Cela étant dit il faut que je survive à Epitanime d’abord, hein ?
Après une sorte de pause l’an dernier, la convention revient avec son traditionnel planning de 48h quasi non-stop dans les locaux de l’école Epita. Et cette année il fera beau nous dit Meteo France donc on évitera les pluies diluviennes de 2013. Donc en somme ça sera du Epitanime détendu à la cool comme en 2012. Mais même pas puisque la scène extérieure est de retour donc on est vraiment de retour en 2011 ! TOUS CES RETOURS DANS LE TEMPS C’EST INDECENT.
Bon très rapidement: Thalie a publié son programme ici et on sera ravi de vous voir participer à nos jeux et projections tout le long des deux nuits. A retenir: AMV Enfer 3 le vendredi à 3h et le samedi à 21h. A trois jours de la conv, le site officiel de l’événement propose pas de planning général donc, well, spammez le à coup de F5 jusqu’a ce que le planning poppe pour préparer votre venue.
Si vous n’êtes jamais venu à Epitanime ou à une Yomatsuri, dites vous que c’est dans une école pas bien grande et que chaque salle contiendra plein de trucs à faire. Par exemple si jamais vous savez pas quoi faire, y’aura toujours un karaoké en amphi qui tournera ou des jeux que vous pourrez rejoindre que ça soit Thalie, BulleJapon, Tengumi, Brigade SOS, Sohei ou même Epitanime eux-même. Y’a un gros espace JV, un gros espace Jeux vidéo musicaux, pas mal de coins pour jouer au Go ou à plein de jeux de cartes, du Pokémon, etc etc. Puis surtout c’est l’occasion de discuter à la cool avec tous vos potes otakus. C’est une conv à taille humaine, on croise souvent toujours quelqu’un qu’on connaît, on est tous à moitié pété sans avoir bu, y’a plein d’associatifs, bref, c’est un peu la belle vie.
Maintenant le rappel des cinq règles qui tuent pour survivre à Epitanime si vous voulez faire non stop du vendredi soir au dimanche soir:
- Buvez et mangez régulièrement. Pour la boisson, prenez dans votre sac à dos une bouteille d’eau d’un litre et demi voire deux litres. Et, well, les distributeurs de boisson du campus sont souvent vidés le dimanche donc si vous voulez du sucré dépéchez vous ou allez vous bouger à la cafétaria (rappel: les canettes sont interdites dans certaines salles comme l’amphi.) Pour la nourriture, la cafet d’Epita est pas mauvaise et y’a de toute façon pas mal de restos dans l’avenue autour. Prenez juste pas mal de biscuits (évitez ceux au chocolat ça fond) pour pouvoir gérer les deux nuits vu qu’entre 23h et 9h du matin, les magasins et restos ouverts c’est pas OUF.
- Occupez vous en permanence. Le karaoké est assez parfait pour ne pas s’endormir. J’ai tenu 2013 un peu comme ça: si j’avais envie de dormir j’allais chanter une demi-heure et j’en sortais gentiment à fond. Yay ! Si vous êtes avec des potes de toute façon c’est plutôt simple, ça peut papoter très longuement dans ce genre de conf.
- Même si vous comptez pas dormir, prendre une chambre d’hôtel c’est cool pour poser ses affaires, prendre des douches et se changer. Histoire de pas sentir la mort, de se revigorer à coup d’eau froide et de pas se péter le dos avec un sac géant et trois valises pendant tout le week-end.
- NE FERMEZ JAMAIS LES YEUX PLUS D’UNE SECONDE.
- C’EST TENTANT MAIS LE FAITES PAS.
TOUS CES CONSEILS, WOW ♫.
En règle générale ayez pas honte de boire du Red Bull ou de la Monster, c’est pas vraiment placebo, ça a un vrai effet.
Ah, et posez votre lundi si vous bossez. Faites pas comme moi l’an dernier qui s’est levé à 8h30 le samedi pour se coucher à 23h30 le dimanche soir et devoir se lever à 8h30 pour aller au boulot le lendemain. 9h de sommeil c’est pas assez. Surtout quand t’as la voix pétée par le kara et que tu essaies d’appeler ta patronne pour dire que tu auras du retard. Heureusement que ma patronne est super cool.
BREF CA VA ETRE BIEN.
Sinon, pèle mèle et dans le reste de l’actualité:
L’épisode 8 d’Euphonium était OUF. Cette scène entre Reina et Kumiko. CETTE SCENE. C’était riche en émotions. J’étais tellement dedans que j’ai même pas fait une vanne à base de « sent mon doigt » dans ma tête. Après soyons clairs: la série fait un travail visuel de malade, propose des personnages qui ne sont pas des archétypes et qui sont tous développés, a des vrais dialogues, une excellente écriture et semble réellement ambitieuse à tous points de vue. Du coup comment est-ce que ça peut ne pas être remarquable ? Qui aurait pu penser qu’avoir des vrais personnages avec des vraies personnalités ça allait pas être une bonne idée ? Tin, rien que Kumiko qui est un putain de personnage principal avec un caractère propre et qui est pas là pour servir « d’avatar » à un lecteur lambda. Ca fait 3 ans que chaque KyoAni on dit que c’est « le meilleur KyoAni depuis Hyouka » mais là ouais, c’est le meilleur KyoAni depuis Hyouka. Et si ça continue comme ça, ça oblitère même Clannad. Parce que bon, rien que la relation entre Reina et Kumiko explose Tomoya et Nagisa, je veux dire.
Faudrait vraiment que je mate Tamako Love Story, moi.
Bon merde je voulais être concis sur Euphonium. Bon alors encore plus vite:
- Mad Max Fury Road: c’est super génial / j’ai jamais vu de Mad Max de ma vie / c’était super génial quand même super beau super dingue super intense ok j’ai trouvé le film ptet un peu trop long d’un quart d’heure mais c’était tellement beau et fou
- Tearaway: la fin m’a rien fait / j’ai jamais vraiment accroché à l’univers visuel / j’ai trouvé le gameplay fun
- Yurikuma Arashi: la fin est super jolie / je préfère Penguindrum et Utena / mais on s’en fout parce que ça reste un anime super attachant
- WIXOSS: je ferais un article sur cette série / que j’aime bien / même si elle manque pas de défauts / c’est le meilleur Madoka-like depuis Madoka
- Prison School the Animation: le réal de Joshiraku / Kana Hanazawa / la hype / vivement cet été
- Twin Star Exorcists: j’attends pas l’auteur de Binbougami ga dans le shonen vraiment sérieux / ça fonctionne vraiment bien / les deux héros sont cools / le prêtre pervers est super cool / c’est beaucoup plus lisible que Binbogami ga que j’avais droppé parce que c’était à la limite du décryptable niveau nombre de bulles et transitions entre chaque case / j’aime vraiment le dessin de l’auteur
- Orange: un shojo avec un très beau scénario / c’est sombre ouch / pas toujours convaincu par le dessin mais ça va c’est pas grave
- Nadeko: c’est le nom de mon nouveau smartphone, un Motorella Moto G. Smartphone pas cher mais il est super sympa à utiliser et a bonne presse. J’espère qu’il durera un peu plus longtemps qu’un an et demi, contrairement à mon ZTH qui lui s’est dit au bout d’un an que ça serait cool d’avoir une batterie qui surchauffe au permanence, un port écouteur qui reconnait parfois pas tes écouteurs et 2Go de stockage ce qui fait que je pouvais mettre que Twitter et Love Live, dur.
Bon voilà pour aujourd’hui ! A ce week-end du coup, vous saurez où me trouver ♪.
Un commentaire
Aldherrian
Ya tellement toujours des choses à faire au Stunfest qu’avec mon appareil photo dans la poche sur les trois jours, j’ai juste deux photos du concert de Carpenter Brut x’)
Les horaires semblent avoir été foutues plus en rush que l’année dernière avec deux pressages de programme et au final assez peu d’infos (surtout grande scène/scène WTF/concerts)
Mais bon l’ambiance est toujours aussi énorme o/
Pour le programme shmup de la scène WTF c’est parce qu’elle est grandement en remplacement de la petite scène de 2014 en face de la grande scène. Maintenant le débat fait rage comme chaque année sur shmup.com sur la manière de rendre les superplays de shmup accessible au public lambda 🙁
A côté de ça, l’ambiance sur la finale USF4 était comme prévue démentielle, même moi qui n’y joue jamais je me suis retrouvé à gueuler dans les gradins (HEY! HEY! HEY! HEY! 25 hits combo par Daigo O_O)
Les conférences j’y suis pas allé mais en 2015, ça parle encore de Rapelay ? :’D
Pendant ce temps, avec les articles que je vois passer ci et là sur les animations, je vais finir par me dire qu’il faut que j’essaye l’Epitanime…