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[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]The IDOLM@STER jouit d’un statut un peu particulier parmi toutes les séries que j’ai pu voir : il s’agit de la seule série que j’ai commencé lors du début de sa diffusion (à l’été 2011) et que je n’ai, à ce jour, toujours pas fini, mais pas droppée non plus.
Pour résumer, 3 semaines (et 3 épisodes) après le début, j’ai choisi (un peu par faute de temps) de cesser de regarder la série car elle ne répondait pas vraiment à mes attentes : trop de tranches de vie et pas assez d’idol à mon goût. Bref, je n’accrochais pas.
Et puis récemment, j’ai repris la série (que je regarde lentement) et je la trouve finalement plutôt bonne.
Je sais, cette introduction ne sert à rien et on n’en n’a pas grand chose à foutre, mais que voulez-vous, j’aime raconter ma vie.
Je commençais à en avoir un peu marre de mes histoires de montagnes et de sac à dos alors j’ai eu envie d’autre chose. Et j’ai aboutit à ça : un article sur un épisode de The IDOLM@STER. J’ajouterais bien « l’épisode 7 pour être plus précis » mais vu que c’est déjà dit dans le titre du billet, cet « effet de suspense » n’a à peu près aucun intérêt.
Et pour la forme, j’ai choisi de changer un peu de style parce que je me vois mal adapter ma méthode « Yama no Susume » à un épisode de 25 minutes. Attention, cet article se veut plus « analytique » (quel grand mot).
The IDOLM@STER // A-1 Pictures // 25 épisodes // Séries diffusée entre juillet et décembre 2011 // Réalisateur Atsushi Nishigori (premier poste de réalisateur) // adapté d’une série de jeux vidéo japonais. Continue la lecture