Mobile Suit Gundam I – Maman ! Achète-moi un Gundam !

Even Amuro is afraid!

Mon premier article sur Minorin ! Even Amuro is afraid!

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Jeudi dernier marqua un grand tournant dans ma vie, car j’ai fait mes premiers pas dans la saga Gundam en matant le premier film adapté de la série fondatrice Mobile Suit Gundam 0079 sortie en 1979 (je suis sûr que ça va changer ma vie pour les trente prochaines années à venir). A la base, je voulais mater la série TV d’origine, mais on m’a plutôt recommandé de mater cette trilogie de films car la série TV accuserait de nombreuses longueurs et de fillers destinés à vendre des jouets pour les gosses de l’époque.

Mobile Suit Gundam I // Sunrise // 3 films // Sortie le 14 mars 1981 // Réalisé par Yoshiyuki Tomino (saga Gundam, Zambot 3, Ideon, Brain Powerd, Overman King Gainer etc…)

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To aru Majutsu no Index : Endymion no Kiseki – In space no one can hear you sing

"MISAKA sort enfin l'artillerie lourde, dit MISAKA en regrettant de ne pas avoir eu ce genre de jouet quand elle se faisait trucider par Accelerator."

« MISAKA sort enfin l’artillerie lourde, dit MISAKA en regrettant de ne pas avoir eu ce genre de jouet quand elle se faisait trucider par Accelerator. »

 

[avatar user= »Elwingil » size= »original » align= »left » /]Il y a quelques mois je suis tombé sur le film Index et j’ai voulu en causer sur Thalie. Mais je me suis rendu compte que ce qui partait d’un commentaire voulu concis a tourné en critique assez longue et verbeuse, et allez savoir pourquoi les post trop longs ont tendance à lasser les autres internautes.

Or j’ai ma fierté et mon égo, j’aime à me dire que ce que j’écris ne fait pas chier les éventuels lecteurs – sauf quand je troll, c’est délibéré, mais ce n’est pas le sujet qui nous préoccupe. J’ai alors pensé au blog communautaire lancé en février dernier par un certain Thaliste dont les articles étaient ma foi fort agréables à lire, je me suis dit tiens, j’ai une bonne raison d’aller squatter de ce côté. Mais ma requête n’a pas été suivi immédiatement et le temps que je sois finalement accepté au rang de contributeur, ma verve de chroniqueur s’était déjà tournée vers une autre source d’inspiration, abandonnant temporairement celle qui avait lancé toute l’histoire. Et s’effiloche en grinçant mélodieusement le temps que tisse sans trêve le rouet des trois mémés toutes de noir vêtues.

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TL;DR : Amo a mis des plombes à m’envoyer les identifiants du coup ça m’a servi de prétexte pour aller causer d’autre chose avant de lui renvoyer la balle dans les dents 6 mois plus tard. Ce dont il n’a très certainement rien à foutre et entre nous, pourquoi le devrait-il, je vous le demande.

J’avais pas d’idée d’intro. Maintenant on cause de le film.

To aru Majutsu no Index : Endymion no Kiseki // JC-Staff // Film sorti au Japon le 23 février 2013 // Durée : 1h30 // Réalisateur : Nishikiori  Hiroshi (To aru Majutsu no Index, Angelic Layer, Azumanga Daioh) // Scénario de Kamachi Kazuma (auteur du light novel)

Ce ne sera pas un résumé, je ne développerai certains pans de l’histoire que pour appuyer ma critique, sans trop faire attention au spoil non plus. Je vous laisse quand même la possibilité d’aller regarder le film et d’avoir la conclusion, si vous êtes familier de RailDex et des personnages il y a quelques bons moments à passer.

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Steins;Gate – Fuka Ryouiki no Déjà vu

Ma tronche lorsque j'entends que certaines personnes se sont abaissés à mater ce film en mauvaise qualité et avec des subs de merde.

Ma tronche lorsque j’entends que certaines personnes se sont abaissés à mater ce film en mauvaise qualité et avec des subs de merde.

 

[avatar user= »Munny » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=9″ target= »_blank »]Deux ans. C’est le temps qu’il aura fallu attendre aux fans de Steins;Gate avant de pouvoir poser les yeux sur ce film, annoncé dés la fin de la diffusion du dernier épisode.

Pour ceux qui ne saurait pas ce qu’est Steins;Gate, il s’agit d’un anime de 24 épisodes sorti durant la période printemps/été 2011, avec un OAV sorti peu de temps après. La série raconte comment Okabe Rintarou, un « mad scientist » créant toute sorte de gadget avec son acolyte Daru et son amie d’enfance Mayuri, se retrouve à créer une machine à remonter le temps et à l’expérimenter, à ses risques et périls. Si la série animée par White Fox n’était pas exempte de quelques défauts, elle eu le mérite d’offrir au spectateur une histoire particulièrement prenante et relativement fidèle au visual novel d’origine. Si vous voulez en savoir plus, allez regarder la série, je vous assure qu’elle vaut le coup d’oeil.

Sauf que voilà, les 24 épisodes suffisaient parfaitement à tenir l’histoire du visual novel qui avait été choisi. L’OAV offrait un contenu original mais il s’agissait là plus d’un bonus, histoire de prolonger le plaisir des fans, que d’un vrai épisode à scénario. La question qui se posait donc était la suivante : qu’est-ce-que ce film allait nous offrir de plus ?

La review qui va suivre est garanti sans gros spoiler sur l’histoire mais j’y décris clairement ce que sont, selon moi, les atouts et les défauts du film. Si vous voulez garder le plaisir de visionnage vraiment intact, je vous conseille de regarder le film avant de continuer à lire. Vous êtes prévenus~

Steins;Gate – Fuka Ryouiki no Déjà vu // Studio : White Fox // durée : 1H30 // Sortie au cinéma le 20 avril 2013 au Japon // Réalisateur: Kanji Wakabayashi // Scénariste : Jukki Hanada

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Macross Frontier Sayonara no Tsubasa – Open Ranka~

* Cri de fanboy *

 

[avatar user= »Amo » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=1″ target= »_blank »]

Je ne suis pas un très grand fan de Macross Frontier.

Je suis cependant un très très grand fan de Ranka Lee, et ça ça serait difficile de le nier. Plus difficile pour moi serait de vraiment expliquer pourquoi. J’adore sa voix, ses chansons, son caractère (que certains résument à « une gourde » alors que euh pardon non), son physique, ses cheveux qui bougent en fonction de ses émotions, sa tenue de scène enfin bref je suis le mec le plus biaisé du monde sur Ranka Lee et, oui, en plus elle a les cheveux verts.

Mais étrangement tout le reste de la saga Macross Frontier m’a jamais vraiment emballé… si l’on excepte évidemment la musique ! L’OST de Macross Frontier est une des plus belles et plus complètes qu’on puisse trouver ici bas, que ça soit niveau chansons ou musiques de fond. Une totale réussite. Le reste ? Déjà en 2008 je trouvais la série super irrégulière. Il y’avait des excellents épisodes (l’épisode 8 par exemple), des scènes marquantes… mais aussi des passages parfois ennuyeux, parfois dépourvus du moindre interêt, parfois juste cons à se taper dessus à coup de barre à mine (il y’a un putain d’épisode ou Sheryl perd sa culotte.Et le casting était… eeerm… tout aussi irrégulier d’un point de vue qualitatif.

Décembre 2010, je jetais un oeil curieux à Itsuwari no Utahime qui est le premier des deux films Macross Frontier. Ennui total. Je mate le film en trois fois, je m’endors devant deux fois (pour l’anecdote, le seul autre film devant lequel je me suis jamais endormi c’était Blueberry en 2004JE M’ENDORS JAMAIS DEVANT UN FILM) et quand je m’endors pas je suis exaspéré par un scénario emmerdant qui multiplie les deus ex machina et les rencontres fortuites. Du coup, difficile de me motiver à mater Sayonara no Tsubasa.

MAIS VOILA. MIRACLE. TROMPETTES DU JUGEMENT DERNIER.

Je viens de le voir.

Et ok c’est parti.

Macross Frontier: Sayonara no Tsubasa // Studio Satelight // Film sorti en salles en février 2011 // Réalisateur: Kawamori Shoji (Macross Do You Remember Love ; Aquarion EVOL ; AKB0048 ; Macross Plus)

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Pompoko – Des tanukis et des larmes

Pompoko08

Ce moment où je regarde le film pour la énième fois et qu’une fois de plus, je réalise qu’il ne me laisse vraiment pas indifférent.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=3″ target= »_blank »]Avertissement préalable : je vais sûrement raconter ma vie dans ce billet (plus que d’habitude en tout cas) et tant pis pour le professionnalisme. J’ai parlé de différentes séries par ici. Parfois en bien, mais surtout en mal. J’avais envie de changer. D’arrêter avec les séries de merde. De parler de ce que j’apprécie.
Alors qu’à cela ne tienne, je vais parler d’un film aujourd’hui. Un film que j’aime. Beaucoup. Un film plutôt vieux. Un Ghibli. L’un des meilleurs à mes yeux.
J’ignore s’il y en a parmi vous qui n’ont jamais vu Pompoko, mais si c’est le cas, j’espère réussir à vous convaincre de le voir. Et surtout j’espère briser un peu l’image que certains en ont : celle d’une comédie un peu gamine. Parce que dans les faits, c’est bien mieux que ça.

Attention, pavé en approche. Il ne s’agit cependant que de ma vision personnelle et je n’entends pas aborder tout ce qu’il est possible de dire sur le film. Les aspects folkloriques et historiques, entre autres, ne seront que légèrement évoqués.

Pompoko // Studio Ghibli // 1994 // Film (environ 2 h) réalisé par Isao Takahata (Le Tombeau des Lucioles, Souvenirs goutte à goutte, Mes Voisins les Yamada)

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Nekomonogatari (Noir) – Une histoire qui a du sens

Hanekawa a une guitare dans l’opening parce que… euh…

 

[avatar user= »Suryce » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=4″]Nekomonogatari (Noir).

Une préquelle à Bakemonogatari centrée sur Hanekawa, aka la Miss-Je-Sais-Tout parfaite et sans défaut de la série, armée de grosses lunettes et tresses qui ne font baver que les plus déviants des fétichistes. Celle-ci n’étant donc pas trop mon type, je n’étais pas spécialement enflammé par cette avant-première cinoche organisée par Wakanim, du moins pas autant que pour l’orgasme audio-visuel-mental provoqué par un Madoka sur grand écran.  Mais eh, des boobs de petites soeurs sur le même format, ça ne se refuse pas pour autant !

Et tant qu’à faire je m’étais gardé la surprise en ne matant pas les épisodes en ligne séparés, et celle-ci fut des plus agréables.

Nekomonogatari (Noir) // Studio SHAFT // Sorti en Janvier 2013 // Réalisateurs: Akiyuki Shinbo et Tomoyuki Itamura

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Bleach Fade To Black – Mémoire sélective

 

"Oh alors comme ça Homunculus a sorti un nouveau h-manga ?"

« Oh alors comme ça Homunculus a sorti un nouveau h-manga ? »

 

[avatar user= »Amo » size= »original » align= »left »]

Eh, Bleach est mon shonen manga préféré, mon plaisir coupable depuis près de sept ans maintenant. Toutes ces semaines à attendre mon petit chapitre du jeudi, à voir le scénario prendre bien son temps au point d’offrir un arc de trente volumes qui se déroule sur environ vingt-quatre heures dans le scénario. Même encore aujourd’hui, je reste toujours un certain fan… qui l’assume plus où moins. Mais, sérieusement, vous avez vu Unohana dans les derniers chapitres ? C’est pas ultra kiffant ?

Par contre l’anime j’ai laché vers le 130e, au moment où on avait des épisodes « bonus » toutes les trois secondes, et ou ceux-ci racontaient des trucs aussi géniaux que Hitsugaya qui fait du football, le tout animé par les enfants des animateurs coréens habituels. Donc comprenez que j’ai lâché gentiment. Quant aux quatre films sortis, je n’avais vu jusque là que Memories of Nobody, le tout premier, qui m’avait pas ultra convaincu. Et là c’est au tour de Fade to Black, le troisième, d’y passer. Pour voir. Pour le fun.

Bleach Fade to Black // Studio Pierrot // Film sorti en décembre 2008 // Réalisateur: Noriyuki Abe.

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