Nisekoi 05 – Waterfap

GO GET A ROOM ALREADY

TROUVEZ VOUS UNE CHAMBRE

 

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Précedemment sur Minorin: l’épisode 1 (par Nock)

Je peux pas m’empêcher d’afficher publiquement une sorte de mépris total envers SHAFT mais je finis toujours plus ou moins par regarder leurs séries ou au moins leur donner une chance. Et parfois j’ai beau rager contre la réalisation répétitive, contre le style qui devient plus une nuisance qu’une signature bah je peux pas m’empêcher d’être curieux et, parfois, hypé. Genre là Mekkaku City Actors en avril c’est déjà signé pour ma part.

Enfin bref Nisekoi à la base j’étais un peu enthousiaste car, holy shit, une comédie romantique Shonen Jump… adapté par SHAFT ! Habituellement les trucs du Jump c’est adapté par Pierrot ou par le premier studio qui passe. Mais là non c’est du Jump par SHAFT. C’est aussi ouf que la fois ou ils ont adaptés du Jump par David. Ou du shojo par Gainax. Enfin qu’importe, j’ai vite déchanté parce que, eh, c’est de la comédie romantique Shonen Jump. Je m’attendais à quoi. Depuis Video Girl Ai, le seul truc romantique bien sorti dans le Jump ça devait être To Love Trouble, et encore, le seul truc romantique de Trouble c’est les boobs donc c’est vague.

Enfin lançons cet épisode 5 qui est sous le signe du MIZUGI. 

Nisekoi // Studio Shaft // Nombre d’épisodes inconnu // Débuté en janvier 2014 // Réalisateurs : Akiyuki Shinbo (Madoka Magica, Sayonara Zetsubou Sensei, Magical Lyrical Nanoha, Sasami-sama@Ganbaranai…)

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To aru Majutsu no Index : Endymion no Kiseki – In space no one can hear you sing

"MISAKA sort enfin l'artillerie lourde, dit MISAKA en regrettant de ne pas avoir eu ce genre de jouet quand elle se faisait trucider par Accelerator."

« MISAKA sort enfin l’artillerie lourde, dit MISAKA en regrettant de ne pas avoir eu ce genre de jouet quand elle se faisait trucider par Accelerator. »

 

[avatar user= »Elwingil » size= »original » align= »left » /]Il y a quelques mois je suis tombé sur le film Index et j’ai voulu en causer sur Thalie. Mais je me suis rendu compte que ce qui partait d’un commentaire voulu concis a tourné en critique assez longue et verbeuse, et allez savoir pourquoi les post trop longs ont tendance à lasser les autres internautes.

Or j’ai ma fierté et mon égo, j’aime à me dire que ce que j’écris ne fait pas chier les éventuels lecteurs – sauf quand je troll, c’est délibéré, mais ce n’est pas le sujet qui nous préoccupe. J’ai alors pensé au blog communautaire lancé en février dernier par un certain Thaliste dont les articles étaient ma foi fort agréables à lire, je me suis dit tiens, j’ai une bonne raison d’aller squatter de ce côté. Mais ma requête n’a pas été suivi immédiatement et le temps que je sois finalement accepté au rang de contributeur, ma verve de chroniqueur s’était déjà tournée vers une autre source d’inspiration, abandonnant temporairement celle qui avait lancé toute l’histoire. Et s’effiloche en grinçant mélodieusement le temps que tisse sans trêve le rouet des trois mémés toutes de noir vêtues.

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TL;DR : Amo a mis des plombes à m’envoyer les identifiants du coup ça m’a servi de prétexte pour aller causer d’autre chose avant de lui renvoyer la balle dans les dents 6 mois plus tard. Ce dont il n’a très certainement rien à foutre et entre nous, pourquoi le devrait-il, je vous le demande.

J’avais pas d’idée d’intro. Maintenant on cause de le film.

To aru Majutsu no Index : Endymion no Kiseki // JC-Staff // Film sorti au Japon le 23 février 2013 // Durée : 1h30 // Réalisateur : Nishikiori  Hiroshi (To aru Majutsu no Index, Angelic Layer, Azumanga Daioh) // Scénario de Kamachi Kazuma (auteur du light novel)

Ce ne sera pas un résumé, je ne développerai certains pans de l’histoire que pour appuyer ma critique, sans trop faire attention au spoil non plus. Je vous laisse quand même la possibilité d’aller regarder le film et d’avoir la conclusion, si vous êtes familier de RailDex et des personnages il y a quelques bons moments à passer.

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Nagi no asukara [1] – La mer, ça mouille.

Une mise en ambiance assez sympa faut dire.

Une mise en ambiance assez sympa faut dire. 

avatarfroBon. Nagi no asukara.
Un anime assez particulier, où le design de l’univers est à la fois original et… « normal ».

Avant tout, quand vous lanciez l’épisode, une joli paire de fesse nous dis bonjour, et quelles fesses !

Si j’était plus sérieux, je vous dirais que l’anime parle de la vie quotidienne de plusieurs personnages, qui, il faut le noter, vivent dans la mer, près des côtes de la ville voisine.

Je ne parle pas d’une habitation de type bateau, non ,non. Ils vivent bel et bien dans la mer :

C'est beau, hein?

C’est beau, hein?

Concernant les infos :

Genre : Amour/Amitié/Fantastique/drame | Année de diffusion : 2013 | Studio : P.A Works | Auteur : Mari Okada | Nombre d’épisodes : 26

 

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Pupa 01 – Hijo del Pupa

Ah ♪ I just died in your arms tonight ♪ It must have been be something you said ♪

Ah ♪
I just died in your arms tonight ♪
It must have been something you said ♪

 

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Pourquoi faire un article sur l’épisode 17 de Kill la Kill alors qu’on peut faire un article sur l’épisode 1 de Pupa ?

Je veux dire l’épisode 1 de Pupa il dure que 4 minutes, y’a rien de mieux pour en branler pas une. Qu’est-ce qu’il peut arriver de mal ?

Pupa // Studio DEEN // Débuté en janvier 2014 // Réalisé par Tomomi Mochizuki (Boku no Marie, Futatsu no Spica, Kimagure Orange Road le film) // Dispo en streaming chez Dybex

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Pourquoi Fate/Zero c’est cool : Episode 1 : Mon épisode pilote favori.

Kiritsugu vous le confirme, dans cet épisode, on va s'éclater.

Kiritsugu vous le confirme, dans cet épisode, on va s’éclater.

[avatar user= »Soryont K. Albrius » size= »original » align= »left »] Quand on me demande : « Quel est ton anime préféré ? » Je réponds immédiatement et sans réfléchir : Fate/Zero.

Je suis un Type-Moon-fag. Ou Type-Lunatic. Bouuuh, bouuh, shame on me. Ayant du temps à perdre, et ayant décidé de l’employer à répondre à mes propres questions (Et au passage peut-être partager ma passion de la licence Fate/series), j’ai décidé de commencer une série d’articles sur cet anime.

J’ai découvert la licence en 2013. Oui, si tard. En vérité, mon Otakuisme (Qui sait vraiment comment définir un Otaku ? Otakisme, maybe ?) est plutôt récent. Avant, je passais tout mon temps à regarder Reborn ! et des vidéos youtube.

Toute la série Fate/Zero, ou presque, est géniale. C’est le seul anime que j’aie vu auquel je mettrais 10/10, ou 9,5/10, avec Neon Genesis Evangelion et Cowboy Bebop (Et Clannad (LolNOPE)).

Avant d’attaquer l’épisode en lui-même, finissons de raconter notre vie et parlons de Fate/Stay Night. J’ai découvert Fate/Stay Night en 2013, en Newfag que je suis, après qu’un ami m’ai spammé jour et nuit, en me suppliant de le regarder. Pour ceux qui ne connaissent pas, Fate/Stay Night, c’est à la base un Visual Novel, plus précisément un eroge, ou jeu érotique, qui a été adapté en anime. Sans érotisme, l’animé, enfin… Je l’ai regardé, j’ai trouvé que c’était un anime sympathique, mais un peu longuet. A part les épisodes avec Archer (« Kyaa Kyaa Archer Kyaa Kyaa ») il n’a rien de mémorable. Cependant, il permet de prendre ses marques avec la licence et de bien comprendre l’univers, partie intégrante du Nasuverse. Si vous n’avez pas vu Fate/Stay Night, allez vous rusher la série (Et l’excellent film Unlimited Blade Works (oui je suis dithyrambique) qui raconte une histoire alternative) avant de lire l’article qui suit.

PS : L’article sera illustré avec plein de screens. Parce que je le peux. Et aura plein de sauts à la ligne, parce que je sais pas structurer un texte, j’aère trop. M’en voulez pas, c’est ma première fois !

Fate/Zero // Studio : Ufotable // Débuté en Octobre 2011 // Série en 25 épisodes // Réalisateur : Ei Aoki // D’après un Light Novel de Gen Urobuchi.

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Macross 01 – We’ll still love you tomorrow

 

C'est vrai que "Le Vent se Lève" fait un peu vieux visuellement.

C’est vrai que « Le Vent se Lève » fait un peu vieux visuellement.

  

[avatar user= »Amo » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=1″ target= »_blank »]

J’ai plus le net chez moi mais c’est pas grave ça m’empêchera pas de vous offrir une chronique.

Donc j’ai décidé de faire un vieux truc. A ma connaissance c’est le plus vieux truc chroniqué sur Minorin jusqu’a présent et pour cause puisque ça aura 32 ans cette année – il s’agit bien entendu du premier épisode de Macross. J’ai profité du fait que j’acquis lors de Japanantes – et pour une somme inférieure à 8€ – une « édition collector intégrale » de Macross pour sauter sur l’occasion de regarder du vieux. Yeah.

 J’avais déjà été initié à cette série y’a environ quatre ans puisque j’avais regardé (dans des conditions déprimantes) le film qui en était vaguement adapté, c’est à dire Macross Do You Remember Love. Que j’avais beaucoup aimé. Et, évidemment, je ne suis pas totalement étranger à la série puisque j’ai maté la quasi intégralité de ce qui a été produit avec Macross Frontier (dont le second film) et que j’ai un jour acheté l’intégrale en VOSTFR de Macross II chez Kazé. J’ai arrêté au bout de deux épisodes parce que c’était pas bon du tout.

Mais allez, assez de blabla, passons à cet épisode 1 de Macross. Yeah !

Choujikuu Yousai Macross // Studio Nue // Débuté en automne 1982 // 36 épisodes // Réalisateur: Ishiguro Noboru (Legend of the Galactic Heroes ; Uchuu Senkan Yamato ; Tytania)

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