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En cette semaine encore nous voici de retour,
Pour un nouvel article que je vous ai écrit,
Un épisode mettant cette fois-ci au grand jour,
De nouveaux personnages qui seront introduit.
Allez ! Prenez un siège, mettez-vous à votre aise,
Le cinquième épisode va bientôt commencer,
C’est là une bonne série animée japonaise,
Que Death Parade parait cet épisode passé !
Death Parade // Madhouse // 12 épisodes // Tachikawa Yuzuru (Death Billiards) // hiver 2015
Cet épisode démarre sur une mise en abyme,
Des dessins simplistes et une histoire toute naïve,
Rêve de Madame-En-Noir une scène loin d’être intime,
Un garçon amoureux d’une fille bien expressive.
Les dessins paraissent à ceux d’un manga ancien,
Jamais sorti ici nommé Sazae-san,
Mais voilà l’agréable songe prend fin ce matin,
Madame-En-Noir levée du lit dont elle émane.
Que vois-je ?! Une belle surprise parait à l’horizon,
Groovy, fabulous, cet opening que j’adore,
Là, venez, approchez, trois pas nous danserons,
Sur ce rythme endiablé la piste deviendra or !
S’habillant, se douchant, préparant son départ,
Madame-En-Noir rejoins Decim déjà présent,
S’adonnant à changer le décor froid du bar,
D’un dessin connu dans un tableau reluisant.
Interpellée, elle fait la remarque à Decim,
Lui répondant que c’est une demande de Nona,
Mais les clients bientôt seront au Quidecim,
Passer le jugement que notre barman tiendra.
Nos clients arrivant là au nombre de deux,
L’un adulte, grossier, méchant et méprisant,
L’autre jeune, un enfant pur, doux et affectueux,
Ne sachant pas quoi faire en ce lieu déroutant.
Invités au comptoir par nos deux fins barman,
Les invités disent qu’ils n’ont plus de souvenir,
Du moment avant qu’ils pénètrent dans cette cabane,
Mais cela est commun, vous deviez le pressentir.
Oh la belle ellipse que voilà ! Sortons du bar,
Et allons voir Nona et un drôle d’étranger,
Autour d’une table s’amusant au billard,
Tirant sur des planètes sans les endommager.
Très peu de choses que du dialogue nous apprendrons,
Si ce n’est que cet homme est un être proche de dieu,
Qui fit moult jeux perdus d’innombrables façons,
Avec la belle Nona son compagnon de jeu.
Mais revenons au bar, nos invités servis,
Buvant de généreuses gorgées des fluides versés,
Jusqu’à ce que de sombres souvenir asservis,
Reviennent tout à l’esprit de l’adulte paniqué.
L’homme à terre saisit vite le garçon en bas âge,
Prenant dans sa main droite une paire de fines baguettes,
Menaçant ainsi le jeune homme servant d’otage,
Voulant explications sur cette étrange fête.
Souvenirs étranges, l’homme dit être venu une fois,
Au Quindecim jouer à un jeu inhumain,
Mais revenons au lieu visité autrefois,
Où notre partie de billard touche à sa fin.
Nona vainqueur du jeu repart grande victorieuse,
Laissant notre vieux papi perdant couvert de honte,
Partant au Quindecim, un air un brin crâneuse,
Accompagnée par le groom service Clive, elle monte.
Revenons au bar où une prise d’otage a lieu,
De lâcher prise l’infâme ne semble pas vouloir,
La situation ne bouge pas, ni même un peu,
Mais Decim dans sa grande sagesse conte une histoire.
Elle fût peu passionnante, mais notre scélérat,
Est hors d’état de nuire maintenant, réconfort !
Notre homme tombe dans les pommes, il est fait comme un rat,
Les invincibles fils de Decim sont les plus forts !
Mais là coup de théâtre ! L’enfant qui jusqu’alors,
Était tellement sage ne l’est plus à présent,
A côté disposant soigneusement du corps,
De Madame-En-Noir sur le sol tout doucement.
Heureusement, elle est juste évanoui, ouf !
Un sourire au visage l’enfant regarde Decim,
Disant qu’il le connait déjà. Est-ce une esbroufe ?
Ni une, ni deux, Decim jette une attaque sublime !
Ainsi notre gredin capturé par les fils,
Bien qu’inoffensif ne donne toujours pas confiance,
Ouvrant lentement la bouche, toujours immobile,
D’une singulière façon change d’apparence.
L’homme dévoilé selon Decim se nomme Ginti,
D’après lui, Decim n’a pût rendre son jugement,
Sur Madame-En-Noir qui cliente introvertie,
Du Quindecim était alors précédemment.
Chose impossible selon nos deux hommes discutant,
Madame-En-Noir était venue un jour au bar,
En simple cliente, ses souvenirs présents,
Ainsi du jugement elle ne pût passer par.
La mémoire enlevée toujours point revenue,
Madame-En-Noir assiste aux jugements du bar,
Ginti en désaccord trouve l’idée saugrenue,
De garder humaine en ces lieux inquisitoires.
Les deux hommes s’affrontant, l’animation éclate !
Gagnant en qualité, elle se révèle très classe !
De pouvoir voir une telle scène je suis enthousiaste !
Car je dois avouer qu’elle me plaît bien des masses !
Mais arrive Nona qui met fin à cette fête,
Disant venir pour le test de mémoire de Quin,
Personnage inconnu de nous, pas même de tête,
Espérons seulement qu’elle aura bonne mine.
Nona fait rappeler à Decim qu’il pouvait,
Savoir que Ginti n’était de sa forme enfant,
Point un client car sa mémoire alors n’avait,
Pas été envoyée au bar, fait différent.
Selon Nona, il n’est d’âme pouvant atterrir,
Au bar, simple client passant le jugement,
Sans avoir perdu moindre de ses souvenirs,
Acte indispensable à faire préalablement.
Quand au client s’étant emporté tout à l’heure,
Toujours accroché aux fils et évanoui,
N’était qu’une marionnette servant juste de leurre,
Auquel des souvenirs on y avait enfoui.
C’est alors que Nona décide de s’en aller,
Pour rendre visite à un visage inconnu,
Du doux nom de Castra ainsi est-elle nommée,
Singulier ensemble, d’un crâne sa tête est vêtue.
De surveiller le monde cette personne est chargée,
Constatant par minute des décès par centaines,
Appréciant au premier rang la terre ravagée,
Par la mort, une triste mais nécessaire peine.
Malgré la colère de Ginti, Decim refuse,
D’accomplir jugement sur notre Madame-En-Noir,
Évanouie, prise en ce bar comme une intruse,
C’est bien pour cela que Ginti ne veut la voir.
Mais il est temps pour nos hommes de prendre congé,
Decim n’exerce pas, sa journée est finie,
Retournant dans sa chambre, dans ses rêves l’y plonger,
Repose Madame-En-Noir, bien au chaud dans son lit.
En ses songes elle vit la suite du rêve du matin,
Où le jeune garçon joue avec la jeune fillette,
Tournant et s’amusant, la demoiselle lui tint,
Son nom, Chavvot, pour sûr, elle n’était pas muette.
Vint le soir, le garçon ne pût là exprimer,
Ses sentiments qu’il garde depuis une longue période,
Son amour, lui dire ô combien il peut l’aimer,
Car vient maintenant la fin de cet épisode.
Intéressant que fût cet épisode n’est-ce pas ?,
Il apportait au fil rouge de notre série,
D’appréciables éléments, des choses vraiment sympas,
Et optimiste à la fin de ceci je suis.
Peu à retenir du reste si ce n’est qu’on a,
Notre générique de fin qui est oubliable,
Et un plan très court sur notre chère Nona,
Mais l’épisode suivant a une preview notable !
Puisque pour une fois nous ne suivrons non pas là,
Decim et notre chère et belle Madame-En-Noir,
Mais bien Ginti ici en juge du post-trépas,
Et son acolyte que l’on n’a pût encore voir.
Nous pouvons maintenant quitter le bar Quindecim !,
Bien que j’eus recours à la triche nombre de fois,
J’espère que vous aurez aimé ces quelques rimes,
Mais que jamais plus je ne ferais toutefois.
Pour une raison que j’ignore le titre m’a fait éclater de rire. Ca doit être parce que j’ai imaginé Ginti le dire.
Le titre est une référence à la BD (et au film) Astérix & Obélix et Cléopatre.
Numérobis dit ça quand il rencontre Panoramix qui répond par : « C’est un alexandrin. »
Je sais pas pourquoi, mais moi, j’ai tout lu en mode recap d’Avatar par le Nostalgia Critic.
Le seul souci c’est que du coup ça va un peu vite.
J’ai rien compris