Je suis un Type-Moon-fag. Ou Type-Lunatic. Bouuuh, bouuh, shame on me. Ayant du temps à perdre, et ayant décidé de l’employer à répondre à mes propres questions (Et au passage peut-être partager ma passion de la licence Fate/series), j’ai décidé de commencer une série d’articles sur cet anime.
J’ai découvert la licence en 2013. Oui, si tard. En vérité, mon Otakuisme (Qui sait vraiment comment définir un Otaku ? Otakisme, maybe ?) est plutôt récent. Avant, je passais tout mon temps à regarder Reborn ! et des vidéos youtube.
Toute la série Fate/Zero, ou presque, est géniale. C’est le seul anime que j’aie vu auquel je mettrais 10/10, ou 9,5/10, avec Neon Genesis Evangelion et Cowboy Bebop (Et Clannad (LolNOPE)).
Avant d’attaquer l’épisode en lui-même, finissons de raconter notre vie et parlons de Fate/Stay Night. J’ai découvert Fate/Stay Night en 2013, en Newfag que je suis, après qu’un ami m’ai spammé jour et nuit, en me suppliant de le regarder. Pour ceux qui ne connaissent pas, Fate/Stay Night, c’est à la base un Visual Novel, plus précisément un eroge, ou jeu érotique, qui a été adapté en anime. Sans érotisme, l’animé, enfin… Je l’ai regardé, j’ai trouvé que c’était un anime sympathique, mais un peu longuet. A part les épisodes avec Archer (« Kyaa Kyaa Archer Kyaa Kyaa ») il n’a rien de mémorable. Cependant, il permet de prendre ses marques avec la licence et de bien comprendre l’univers, partie intégrante du Nasuverse. Si vous n’avez pas vu Fate/Stay Night, allez vous rusher la série (Et l’excellent film Unlimited Blade Works (oui je suis dithyrambique) qui raconte une histoire alternative) avant de lire l’article qui suit.
PS : L’article sera illustré avec plein de screens. Parce que je le peux. Et aura plein de sauts à la ligne, parce que je sais pas structurer un texte, j’aère trop. M’en voulez pas, c’est ma première fois !
Fate/Zero // Studio : Ufotable // Débuté en Octobre 2011 // Série en 25 épisodes // Réalisateur : Ei Aoki // D’après un Light Novel de Gen Urobuchi.