Vous pensiez qu’après le premier épisode d’il y a deux semaines les cascades intellectuelles s’arrêteraient ? Que je ne prendrais aucun risque en me lançant dans la critique du deuxième épisode ? C’est non seulement mal me connaître, mais c’est également mal connaître Sailor Moon.
L’épisode précédent était connu de tous, car vu et revu plusieurs centaines de fois sous plusieurs centaines de formes, un monomythe de la magical girl avec tout ce que ça implique et que j’ai déjà évoqué dans l’article précédent, que vous auriez sans doute dû lire avant celui-ci, parce qu’il était plutôt sympa et que je déteste me répéter.
Cette fois-ci, l’enjeu est différent, mais tout aussi important. Parce qu’avec ce deuxième épisode, on a le dispositif avec lequel la série va tourner la plupart du temps. Une nouvelle attraction au nom super pas subtil va attirer la jeunesse d’Azabu-Jûban, cette attraction va se révéler être un piège des forces du mal, et il appartiendra à Sailor Moon et à ses alliées de disposer des vilains après moultes transformations.
Avant que vous vous preniez un méchant mal de crâne en comptant le nombre d’épisodes de Sailor Moon que j’ai décrit avec ce simple résumé, on va passer à la revue de détail avec le cool, le moins cool, et le reste. Parce que je déteste me répéter.
Pretty Guardian Sailor Moon Crystal // Toei Animation // Début : 5 juillet 2014 // 26 épisodes // Réalisateur : Munehisa Sakai (One Piece; Smile Precure!; Suite Precure)