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[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=3″]Il y a des séries comme ça. Celles qu’on ne peut pas sentir. Ou plutôt qu’on ne veut pas sentir. Alors on se met un blocage. Puis finalement, curieux, on tente. Et on est surpris.
Quant le premier épisode d’une série nommée AKB0048 sort alors qu’on bosse depuis peu dans un milieu assez hostile au groupe d’idol dont dérive le titre de la série, on se dit qu’on ne regardera jamais un truc pareil. Même si autour, on constate que la série est appréciée.
Il m’a fallu un peu moins de deux ans et la découverte de quelques œuvres du studio Satelight (qui ne manquent pas de personnalité) pour enfin me décider à tenter le coup.
Note préalable : je n’ai vu que l’épisode un de la série et, contrairement à mes habitudes, je ne suis allé chercher aucun renseignement en dehors de cet épisode.
AKB0048 – First Stage // Studio : Satelight // Débuté en Avril 2012 // Série en 13 épisodes // Réalisateurs : Hiraike Yoshimase (Working!!, Kaleido Star) et Shoji Kawamori (créateur de Macross)
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Dans un futur plus ou moins lointain, l’humanité a colonisé de multiples planètes. Sur certaines d’entre elles, toutes formes de divertissement semblent avoir été interdites. Et c’est sur une planète minière assez morose que l’histoire commence…
Le cadre est vite planté : des policiers en armure et bouclier anti-émeute, campés devant un véhicule blindé empêchent quelques jeunes hommes de passer. « Pas de rassemblement », « il est interdit de faire quoi que ce soit en rapport avec le divertissement ».
Pendant ce temps, sous leurs pieds, dans les égouts, 4 petites filles progressent, et manquent de se faire repérer.
Sorties des égouts, les voilà dans une vieille mine désaffectée. Elle prennent le temps de souffler et on découvre en quelques mots ce qu’il y a à savoir : elles s’appellent Chieri, Nagisa, Yuuka et Orine et se rendent – en toute illégalité – à un concert. Chieri est la seule du lot à avoir jamais assisté à un tel événement et elle promet aux autres que le jeu en vaut la chandelle.
De la musique retenti et les voilà, les AKB0048, venues à bord de leur vaisseau-scène faire un concert-ninja. Concert qui ébahira les 4 petites, mais n’aura le temps de durer que deux chansons puisque les forces de l’ordre débarquent dès la fin de la première. Et ça a beau être très classe, c’est surement très dur à gérer dès que des méchas, des véhicules de polices, des CRS et toute la panoplie de l’affrontement s’en mêlent.
Néanmoins, ce concert court – mais intense – laissera une trace indélébile dans le cœur des 4 enfants qui n’ont désormais plus qu’un rêve : faire un jour partie des AKB0048.
4 ans plus tard, en l’an 0048 du calendrier galactique, sur la même planète, qui s’appelle Lancaster (ou Lancastar, je ne sais pas quelle est la graphie officielle), on retrouve Nagisa, désormais collégienne dans la même classe que Yuuka. De son côté, Orine, qui est orpheline, n’a pas eu d’autres choix que de commencer à travailler à l’usine (mais elle y met du cœur).
Le concert des AKB0048 d’il y a 4 ans a provoqué un tel remue-ménage que l’opinion publique s’est découvert un intérêt pour le divertissement, si bien que le gouvernement a dû trouver des compromis. Le divertissement est désormais autorisé, mais soumis à de nombreuses restrictions.
L’élément « perturbateur » de ce début d’épisode, c’est l’annonce faite par le prestigieux groupe d’idols : le recrutement des membres de la 77e génération est lancé.
Évidemment, n’ayant pas oublié leur rêve, les 3 jeunes filles décident d’y participer.
Sauf que pour Nagisa, la situation n’est pas idéale. Son père, agent de l’Administration qui aimerait bien ne pas avoir à mettre un terme à sa carrière tout de suite, ne voit pas d’un bon œil la passion de sa fille pour les AKB. Déjà qu’il tremble à l’idée que quelqu’un puisse entendre la chair de sa chair chantonner dans sa chambre, la laisser devenir une idol est absolument hors de question.
Si bien que quand, le lendemain, la jeune fille va dire à ses amies qu’elle abandonne, Yuuka va assez mal le prendre.
Pourtant, les 3 amies vont passer le premier tour des auditions et être conviées au second.
Yuuka s’engueule avec son copain, qui ne veut pas la voir partir. Mais pour elle, la situation est clair et le choix, s’il a été difficile, est fait : son rêve passe avant le reste.
Pour Orine, que rien (à part ses amies, avec qui elle partage la volonté de devenir idol) ne rattache à cette planète, le choix est vite fait. Mais Nagisa est tiraillée. Doit-elle choisir sa famille ou ses amies et son rêve ?
Elle finira par choisir de tenter le coup (la série se serait un peu arrêtée là sinon), encouragée en cela par sa mère.
Toute la fin de l’épisode fait durer le suspense : Yuuka et Orine ne savent pas si leur amie va venir. Elles montent dans une navette.
Pendant ce temps, Nagisa essaie d’arriver à temps, avant le décollage. Elle y est presque, mais il est trop tard, la navette commence à décoller. Heureusement Orine l’aperçoit et l’aide à monter. Elles y sont. En route vers l’audition et leur rêve.
Mais arrêtons de parler de l’histoire, ce n’est pas ce qui m’intéresse le plus pour cet article. Mais avant d’attaquer le gros morceau, quelques mots sur le style graphique de la série.
Si le travail sur les décors est assez bon, je pleure un peu par moment devant le chara-design pas toujours très réussi (globalement ça va, mais dès fois, les personnages ont des expressions qui ne sont pas très belles), même si je suis fan des reflets en forme de cœurs dans les yeux et les cheveux.
Mais surtout, je suis agréablement surpris par l’utilisation de la 3D. J’ai vu récemment l’opening de Love Live et j’ai un peu souffert en voyant certaines scènes où les personnages étaient animés en 3D.
Ici, même si ce n’est pas toujours optimal (principalement au niveau des visages), j’ai trouvé le résultat plutôt intéressant lors de l’introduction : la 3D permet une belle fluidité lors des chorégraphies et la foule en délire est bien plus convaincante en 3D qu’en 2D (elle parait alors nettement moins déchaînée) et surtout, bien plus réussie que pendant le concert final de The Idolm@ster (parce que, ouch, qu’elle était mal foutue !)
Sur ce, il est temps d’être plus loquace sur ce qui m’a le plus intéressé dans AKB0048.
Il y a quelques jours, j’ai consacré au premier épisode de Nisekoi, qui, à mon goût était un mauvais premier épisode. Avec AKB0048, je cherche au contraire à montrer que je sais encore m’enthousiasmer devant des séries animées.
Parce que même si je n’ai pas non plus été totalement bluffé ou transcendé par l’épisode 1 d’AKB0048, il s’agit, selon mes critères, d’un bon premier épisode.
Début de parenthèse
J’insiste là-dessus parce que j’ai parfois l’impression que certains studios sous-estiment totalement l’importance d’un début de série. C’est aussi ce que je me dis souvent en lisant des articles sur ce site.
Le premier épisode est celui qui nous fait découvrir une série. Quand celle-ci est en concurrence avec une trentaine d’autres, on ne devrait, en théorie, pas le négliger. C’est l’un des éléments qui fidélisent le spectateur. Qu’importe que le deuxième épisode soit super, si le premier était inintéressant, la série a déjà perdu une partie de son public qui ne reviendra pas la semaine suivante. Car tout le monde n’est pas aussi con que moi et n’attend pas d’avoir vu 3 ou 4 épisodes avant de décider ou non de dropper.
Est-ce qu’on achète un bouquin si la couv’ est moche et que la 4e ne donne pas envie ? Rarement. Eh bien de la même manière, on droppe sans pitié une série si le début n’est pas un minimum accrocheur.
Fin de la parenthèse
Pour en revenir au sujet qui nous intéresse, j’aimerai m’intéresser à l’introduction de la série, qui est, à mon avis, particulièrement efficace.
En tout cas, 7 minutes pour placer un cadre sans rien de superflu, moi, j’appelle ça de l’efficacité.
L’un des pires écueils dans lequel ce début de série aurait pu tomber, je pense, ça aurait été de consacrer trop de temps à l’intro. Certains n’auraient surement pas hésité à y accorder un épisode entier.
Je ne supporte pas les introductions du style : « je m’appelle Untel, j’aime ça, je déteste ça… lui c’est mon ami Machin [etc.] » Bref, l’intro qui cherche à tout te dire avec des paroles. Je suis persuadé qu’on peut dire énormément de chose en peu de mots.
Et ici, c’est le cas : les héroïnes ? On connait leur prénom. Leur caractère, on le devine. Le reste, on s’en moque. Ce qu’il faut savoir ici, c’est qu’encouragées par Chieri, elle vont assister en catimini à leur premier concert.
De même, on n’a aucune explication sur le contexte, et pourtant, on apprend l’essentiel à travers l’altercation entre forces de l’ordre et jeunes gens. Le divertissement est interdit. Et on voit très vite dans quelle mesure lorsque le concert tourne à la bataille rangée.
Dans ce cadre, inutile de savoir comment s’appelle chaque chanteuse. Non, on s’en fout, on l’apprendra surement bien assez tôt. De toute façon, si on nous balançait d’office 15 noms, qui les retiendrait ? Là encore, on va à l’essentiel : les AKB sont des « rebelles » qui luttent courageusement contre les répressions locales du divertissement en organisant des concerts non-autorisés.
Et avantage indéniable, tout cela est rapide, bref. Et surtout, c’est bien rythmé par deux chansons – que je me suis surpris à apprécier – qui confèrent à l’ensemble un punch incroyable.
En plus, je suis vraiment fan du concept « des idols chantent sur fond de batailles de mécha ». C’est d’ailleurs pour ça que, bien que conscient de leur médiocrité, j’apprécie des séries comme Macross Frontier ou Basquash (Satelight powaaa).
En gros, en 7 minutes, on te montre la couleur, ce qui sera surement la recette de la série : des idols qui bastonnent, des mécha, de l’action, de la lutte contre l’oppression et puis un rêve, celui des héroïnes, celui qui va porter le début de la série.
A aucun moment on ne s’ennuie, et, avec ce départ in medias res, on est projeté directement au cœur de l’action. Une introduction comme j’aimerai en voir un peu plus souvent. Elle permet aussi de tenir le spectateur pendant le reste de l’épisode grâce à une promesse : « OK, on est obligé de faire un truc plus posé et peut-être un peu moins cool, mais tu vas voir, ça ne durera pas ».
Parce qu’il faut bien le dire, le reste de l’épisode est moins alléchant. Forcément, après un départ sur un rythme aussi soutenu, la suite est nettement plus calme.
Mais même si on est un peu moins passionné, la série conserve les qualités de son introduction.
Entre autres, les informations restent limitées, mais suffisantes. Par exemple, Chieri est totalement absente de la deuxième partie de l’épisode. Figure centrale du petit groupe 4 ans avant, elle semble avoir totalement disparu. Pourquoi ? Comment ? On ne le sait pas. Les filles, elles, le savent, surement, mais y sont habituées. Pourquoi l’une d’elle se sentirait obligée de l’expliquer ? C’est du passé après tout.
Début de parenthèse
Je ne suis peut-être pas très clair, du coup, je vais revenir sur une des choses que je déteste dans les débuts de séries qui veulent balancer le maximum d’informations : le personnage principal qui se présente en début. Du genre « Bonjour, je m’appelle… » Il vient de se lever, est sur le chemin de l’école, un toast dans la bouche, et il se présente. Naturellement. Comme si c’était normal. Comme s’il savait qu’il y a des lecteurs / spectateurs et qu’il s’adressait à eux. Je trouve ça ridicule et feignant. Je préfère attendre plusieurs minutes pour apprendre le nom d’un héros de façon normale que ces présentations à la manque (exemple au pif : celle de Nisekoi), sauf si l’œuvre brise de façon régulière le quatrième mur, auquel cas on peut considérer que c’est une introduction dans l’esprit.
Fin de la parenthèse
Ici, Nagisa, puisqu’elle est le focus de la deuxième partie d’épisode, n’a absolument aucune raison de parler de Chieri, à part satisfaire (de façon injustifiée) le spectateur avide d’informations. Mais à quoi bon ? On ne doute pas un instant que la série en parlera en temps voulu. Si le personnage n’était pas censé servir, pourquoi lui avoir donné le rôle central de l’introduction ? Ici, c’est justement son absence totale qui la met en valeur dans une forme de teasing. On attise la curiosité du spectateur pour le satisfaire en temps voulu.
De plus, les trois filles ne nous sont présentées que de façon succincte à travers quelques éléments qui sont là pour insister sur l’essentiel, le rêve.
Orine n’a plus de famille et n’est donc plus raccrochée qu’à ses amies et à leur rêve commun.
Yukka a un copain et le fait qu’elle ait à choisir entre lui et AKB donne plus de consistance à son objectif : pour réussir, elle est prête à certains sacrifices.
Nagisa, enfin se retrouve face à un dilemme similaire, mais elle, elle doute, alors même qu’on aurait pu s’attendre à ce qu’elle soit la plus décidée des trois. Plusieurs scène sont là pour justement creuser « l’imperfection du personnage » : contrairement à ce qu’on pourrait penser, elle est intimidée au moment de s’enregistrer pour le premier tour des auditions. De la même manière, elle aimerait être inflexible, mais elle fini par obéir aux ordres de son père. Pourtant la fin de l’épisode vient contre-balancer : elle a fait son choix et désormais, elle fera tout pour y arriver.
D’ailleurs, à propos de la fin d’épisode, elle est certes assez clichée et, par moment, assez ridicule, surtout quand elle essaie d’introduire du suspense sans vraiment réussir à nous y faire croire.
Sauf qu’elle aussi, elle est bien rythmée. On a beau savoir qu’à la fin, Nagisa réussira à monter dans la navette, le fait d’utiliser la musique de ce qui sera l’opening de la série (à moins que ce ne soit l’ending, je ne sait pas en fait) rend le tout dynamique et plutôt catchy. C’est un peu moisi par moment, mais on y croit et c’est bien l’essentiel.
En fin de compte, même si, en comparaison, la partie entre l’introduction et la fin est plutôt lente, je trouve que la série maintient malgré tout un bon rythme et réussit, en allant à l’essentiel, à caser efficacement pas mal d’éléments en un seul épisode : introduction (et contexte), présentation rapide mais suffisante des personnages, première audition, réussite de la première audition, hésitation, choix, départ.
On pourrait voir plein d’endroit où les réalisateurs auraient pu stopper l’épisode. Il aurait alors suffit d’un peu de remplissage. Heureusement, ce n’est pas le cas.
En définitive, même si l’histoire n’est pas palpitante ou les personnages pas renversants, l’épisode est suffisamment bien écrit pour donner envie de voir la suite. Une introduction efficace, un peu de teasing sur Chieri et c’est parti. Rendu à la fin, j’ai très envie de découvrir la suite et c’est suffisamment rare (surtout après un seul épisode) pour être signalé.
Je n’ai même pas vu la preview de l’épisode 2, donc si ça se trouve, j’ai dit beaucoup de merde quant à ce que j’imagine pour la suite. Vous pouvez donc m’insulter dans les commentaires (mais sans spoiler, s’il vous plait).
Yoo, première fois que je commente ici (je crois), bien que je suive ce blog depuis un petit moment déjà. 0048 est une des séries qui m’ont le plus surprise lately alors je me suis dit que tant qu’à faire j’allais manifester mon intérêt~
Très bonne analyse, donc – je me souviens assez clairement de ce premier épisode et oui, il est excellent. J’avais envisagé à un moment de faire des reviews de premiers épisodes justement pour parler de ce phénomène de couverture dont tu parles très bien ici.
Also, je recommande extrêmement fortement d’aborder AKB0048 comme une seule série de 26 épisodes. Je suis à peu près sûre que les deux saisons ont d’office été construites ensemble (au sens, pour moi ça n’est pas un cas de « la saison 1 marche bien, on en refait une ? » mais plutôt un « on avait besoin d’une pause entre les deux moitiés »). En termes de plot la saison 1, prise seule, risque de te laisser sur ta faim ; presque toutes les ficelles du scénario qui n’auront pas été réglées le seront dans la saison 2.
Contente qu’une personne de plus se penche sur cette série, en tout cas !
Abandonnant rarement une série en cours de route, je regarde également souvent les saisons qui suivent la première (même pour des séries que je n’apprécie pas des masses). En terme d’anime, je n’aime pas faire les choses à moitié.
Donc j’ai bien l’intention de regarder la saison 2, surtout si la première est à la hauteur de cet épisode.
En tout cas, merci de ton commentaire ça fait plaisir et le fait que tu garde un souvenir clair de cet épisode me suffit à penser que je n’ai peut-être pas dit que des connerie (d’ailleurs, si l’envie de parler de premiers épisodes te tente toujours, ce site est ouvert à tous).
J’aime cet état d’esprit (éviter d’abandonner une série en cours) 🙂
De manière générale AKB0048 m’a vraiment beaucoup plu, je pense que si le premier épisode « prend » la suite prendra presque à coup sûr.
En fait y’a une combinaison de « mais j’ai aussi un site perso que j’aimerais alimenter de reviews en anglais » d’un côté, et « mais minorin c’est trop cool » de l’autre. Ca fait des mois que je me pose la question, sans rire.
Est-ce que sur le principe c’est acceptable de publier en français ici et en anglais sur mon site ? Ca pourrait résoudre mon dilemme.
Minorin ne te fait pas signer un contrat d’exclusivité, tu es libre d’écrire où tu veux, dans la langue que tu veux. L’objectif de ce site, c’est d’essayer de proposer des reviews intéressantes et (souvent) funs, sans se prendre la tête. Si tu regardes, il y a plusieurs auteurs qui ont leur site à côté et qui l’alimentent plus ou moins régulièrement.
La plus grosse difficulté (dans mon cas) c’est de trouver le temps ou plutôt de le prendre, parce que je l’ai (mon pauvre site est resté à l’abandon pendant des mois) et la motivation (c’est pas parce qu’on mate trop de séries qu’on a forcément envie d’en parler).
Après on ne force personne.
Si l’aventure te tente, n’hésite pas à contacter Amo, même si ce n’est que pour écrire un ou deux articles (il y a des précédents).
Je me souviens d’une soirée matage des 6 premiers épisodes autour d’un kébab et de gens crevés. C’était bonnard. Surtout le moment ou elles se douchent avec de la rouille parce que WHY NOT.
Et oui Saori, Minorin est ouvert même pour des gens qui ne souhaitent pas spécialement s’y investir tant que ça o/~.
Vous aviez même drop la série ensuite bande de faibles et je suis la seule à l’avoir continué et à en vanter les mérites. Tous ces gens qui n’ont pas de goût.
Et Nock, la suite de la série pourrait potentiellement te surprendre dans son déroulement.
Bon, je suis tombé sur AKB il y a un moment de ça. Et la critique de cet épisode me donnerait presque envie, mais …
Mais elles ont des coeurs dans les cheveux quand même. Et puis c’est plein de bulles, de flashs, d’étoiles, etc. Et ce chara-design de poupées me fait peur (j’ai peur des poupées). En général, j’apprécie les images mates.
Cependant, j’aurais pu passer à côté de PMMM sur ce genre de critères, et même si je pense pas qu’on sera sur la même échelle, pourquoi pas ?