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Dans les épisodes précédents: 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5

L’épisode 5 avait terminé sur un générique instrumental hyper sérieux et hyper important alors croyez-bien que quand j’ai lancé cet épisode 6 je m’attendais aux trompettes du Jugement Dernier et à tout le super tralala. Finalement c’était juste un très bon épisode, comme quoi, eh, faut se contenter de peu dans la vie.

To Aru Kagaku no Railgun S // Studio JC Staff // Début en avril 2013 // Prévu pour 26 épisodes // Réalisateur: Tatsuyuki Nagai (Ano Natsu de Matteru, Ano Hana, To Aru Kagaku no Railgun, The Idolmaster Xenoglossia)

BIEN: Cette baston, holalala

Bon qu’Accelerator explose Misaka n’est pas une surprise puisque le postulat de tout l’arc dans To Aru Majutsu No Index c’est que Toma est finalement le seul à pouvoir faire face à Accelerator et à pouvoir lui foutre la raclée nécessaire parce que, vous voyez, le monde entier tourne de cet abruti congénital de Toma. Enfin bref, ce n’est donc pas une surprise mais JC Staff a eu la décence de bien mettre en scène cette quasi humiliation. Misaka nous offre ici le best of de ces capacités, du jet de grosses poutres dans la gueule à la tornade de poussière en passant par le FUCKING RAILGUN.

D’ailleurs voilà, on dirait que le Railgun a été crée pour ce moment. Pour ce moment exact ou c’est la merde pour Misaka mais genre la vraie merde et que tu la vois sortir sa pièce. A ce moment là précis tu sais que ça va être bon et que c’est GROS. C’est la première fois que le « Railgun » du titre de la série a une vraie importance et un vrai impact. C’est bon.

Et putain, là Accelerator est vraiment détestable, comme quoi il avait besoin de tout le pathos de l’épisode précédent pour pouvoir être haï.

BIEN: All in all you’re just another brick in the wall

(j’hésite à faire la blague pour l’AMV Déjà Vu.)

Donc Misaka est humiliée, à deux doigts d’y passer et doit sa vie à l’intervention d’une bonne cinquantaine de MISAKA qui passaient par là et rappellent à Accelerator que, eh, c’est bien beau tout ça, mais il faut respecter le protocole. Ok, le bon coté, c’est que Accelerator se chie un peu dessus devant cinquante MISAKA. Bon au moins on peut espérer que quelque chose à un peu de contrôle sur lui.

Et puis surtout c’est terrible comme cette mise en scène met en avant le fait inéluctable que les MISAKA sont vraiment produites en série. C’est très bien fait finalement puisque nous avons découverts une MISAKA en particulier de sa production à sa mort, et nous avons appris à l’apprécier personnellement. Maintenant qu’elle est morte, on est confronté brutalement au fait que ouais, elles sont vraiment minimum 10 000. Ok, cool. Et cet aspect impersonnel au point qu’elles se complètent leurs phrases sans pause ni rien. Ok, le shit.

Maintenant je peux pas m’empêcher au harem rigolo que ça peut donner.

BIEN: Dans cet épisode, Kuroko a les cheveux détachés

BIEN: Ok c’est pas une image subtile pour montrer que Misaka se sent coupable mais, eh, elle est cool

Alors Misaka, on se sent coupable de la mort de 10 000 personnes ? C’EST PAS GRAVE. Dis toi que l’auteur du light novel original est lui coupable d’avoir crée 10 000 personnages pour son casting et de continuer malgré tout à « développer » seulement et uniquement son héros de merde.  Lui il doit en avoir gros sur la patate.

BIEN: Suddenly, Shinobu

Ce personnage.

Sa voix douce et traînante. Ses anglicismes absolument gratos mais jubilatoires. Sa petite histoire qui nous justifie son camp sans trop de problèmes. Son aspect mystérieux. Son design.

En trois épisodes, ce personnage est forcément le meilleur de la saga Index/Railgun. Y’a juste aucun doute.

???: Leur labo de recherche c’est la NERV ?

CES MONTES CHARGES EMBLÉMATIQUES.

BIEN: Encore un joli plan, dis donc

Ils se font plaisir chez JC Staff aujourd’hui.

BIEN: Les amies de Misaka tapent pas trop l’incruste

mais

PAS BIEN: Elles continuent toujours autant à nous être gavées

Toujours le même souci avec cet épisode par rapport aux précédents, c’est à dire que les quatre personnages principaux qui ne sont pas Misaka n’ont pas vraiment de rôle dans cet arc mais qu’il faut malgré tous les faire apparaître pour augmenter leur crédibilité et ainsi vendre le marchandising autour d’elles. Dans cet épisode, ce n’est pas totalement injustifié puisque Misaka doit leur expliquer d’une manière plus ou moins subtile qu’elle ne sera pas très dispo cet été. Mais avant cette scène, leurs apparitions n’étaient pas spécialement nécessaires ou utiles. On sait juste que Kuroko s’inquiète… et voilà.

Le pire restant toujours le personnage interprété par Kana Hanazawa qui ne sert elle VRAIMENT A RIEN. Elle mange pendant la discussion, essaie d’éviter le plus possible d’apporter un interêt au scénario, c’est vraiment le pur perso Mary Sue. Et putain ça me fait chier parce que j’ai l’impression qu’on prostitue ma doubleuse préférée.

PAS BIEN: Après ce super épisode, je sens qu’on va se bouffer du gros filler

… meeeeeeeeeeeeeerde.

BONUS: Non, vraiment, JC Staff nous a évité quelque chose

J’ai du coup relu un peu les chapitres correspondant à l’histoire et donc, je viens de me rappeller pourquoi je n’ai aucun souvenir de Shinobu: parce que le personnage est TOTALEMENT DIFFÉRENT DANS LE MANGA. Elle a les yeux toujours grands ouverts comme si elle buvait de l’électrolite en permanence et la seule chose qui est resté dans l’anime c’est ses anglicismes.

Merci JC Staff de l’avoir rendu un peu plus…

… comment on va dire…

… moe ?

CONCLUSION DE L’EPISODE: 17/20

Tu peux pas me faire ça chaque semaine, hein ? NON TU PEUX PAS, HEIN ? TU ES OBLIGÉ DE NOUS VENDRE DES CD DRAMAS KANA HANAZAWA ET DES TAPIS DE SOURIS UIHARU, HEIN JC STAFF.