Pompoko – Des tanukis et des larmes

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Ce moment où je regarde le film pour la énième fois et qu’une fois de plus, je réalise qu’il ne me laisse vraiment pas indifférent.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left » link= »http://neantvert.eu/minorin/?author=3″ target= »_blank »]Avertissement préalable : je vais sûrement raconter ma vie dans ce billet (plus que d’habitude en tout cas) et tant pis pour le professionnalisme. J’ai parlé de différentes séries par ici. Parfois en bien, mais surtout en mal. J’avais envie de changer. D’arrêter avec les séries de merde. De parler de ce que j’apprécie.
Alors qu’à cela ne tienne, je vais parler d’un film aujourd’hui. Un film que j’aime. Beaucoup. Un film plutôt vieux. Un Ghibli. L’un des meilleurs à mes yeux.
J’ignore s’il y en a parmi vous qui n’ont jamais vu Pompoko, mais si c’est le cas, j’espère réussir à vous convaincre de le voir. Et surtout j’espère briser un peu l’image que certains en ont : celle d’une comédie un peu gamine. Parce que dans les faits, c’est bien mieux que ça.

Attention, pavé en approche. Il ne s’agit cependant que de ma vision personnelle et je n’entends pas aborder tout ce qu’il est possible de dire sur le film. Les aspects folkloriques et historiques, entre autres, ne seront que légèrement évoqués.

Pompoko // Studio Ghibli // 1994 // Film (environ 2 h) réalisé par Isao Takahata (Le Tombeau des Lucioles, Souvenirs goutte à goutte, Mes Voisins les Yamada)

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Gatchaman Crowds 01 – Bird, Go !! Gatchamaaaaaaaan !!

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– Une nouvelle série par Nakamura ?! My body’s ready !!

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Ah, Gatchaman, cette belle série des années 70 (1972 – 1974). On s’en souviendra pour ses personnages et leur style vestimentaire très… années 70, avec combinaison moulantes et capes, façon Superman et des casques dont la visière imite le bec de leur oiseau « totem » (aigle, cygne, hibou…)
Bon j’arrête la mon discours nostalgique. En fait, je n’ai jamais vu Gatchaman (La Bataille des Planètes par chez nous), et à proprement parler le look des personnages ne me tente pas outre-mesure. Donc quand Tatsunoko (le studio responsable de la série originale) a décidé de déterrer la licence pour mettre sur pied un nouveau projet, Gatchaman Crowds, j’étais on-ne-peut-plus indifférent. Jusqu’à lire le nom du réalisateur. Kenji Nakamura. Rien que ça.

Pour rappel, Kenji Nakamura est le réalisateur du Chat Maudit, dernier arc d’Ayakashi, de la série basée sur cet arc, Mononoke, du totalement déjanté Trapèze, du très prometteur (mais malheureusement trop court) [C] Control, ainsi que de Tsuritama (un de mes coups de cœur personnels). Bref, jusqu’à maintenant, que des séries diffusées dans la case horaire NoitaminA.
Pour aller vite, je dirai que Nakamura possède un style très personnel et que cela se ressent dans ses animes, qui ne manquent pas de personnalité.

Bref, c’est bien plus pour retrouver le style de ce réalisateur que pour la résurrection de Gatchaman que j’étais plutôt enthousiasmé par Crowds. Et je le suis toujours.

Gatchaman Crowds // Tatsunoko // Débuté en juillet 2013 // Prévu pour 12 épisodes // Réalisateur : Kenji Nakamura (Tsuritama, [C], Trapèze…) // En France, la série est licenciée par Genzai

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Recorder to Randoseru Mi☆ 01 – Et si on sortait un peu (mais pas trop) de notre vieille rengaine ?

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Encore une saison de Recorder ? Pffff… ça va encore être du caca.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Quelques mois après la création de ce site, je n’apprends toujours pas de mes erreurs. Me voilà donc de retour avec une série au format court. Qui plus est, il s’agit de la troisième saison d’une série dont j’ai détesté les saisons précédentes. Oui, je sais, ça s’appelle du masochisme. Mais cette fois contrairement à mon billet précédent dans lequel je tirais au bazooka sur l’ambulance, je serais un petit peu moins catégorique.

De façon générale Recorder to Randoseru Do, puis Re et actuellement Mi (à savoir s’ils comptent faire toute la gamme) est une série de mini-épisodes (3 – 4 minutes) qui nous narrent la vie de la fratrie Miyagawa.

Atsumi, la fille, est très petite et menue tout comme ses parents, ce qui ne l’aide pas toujours dans sa vie de lycéenne, puisqu’elle est souvent prise à tort pour une élève de primaire. Atsushi, le fils, rencontre le cas inverse, il a grandi très vite et du haut de son mètre 80, difficile pour lui de faire comprendre aux gens qui l’entourent qu’il est bien un élève de primaire.

En France, la série est disponible chez Genzai.


Recorder to Randoseru Mi☆
// Seven // Prévu pour 13 épisodes (surement) // débuté en juillet 2013 // Réalisateur : Itsuki Imazaki (animateur clé sur plusieurs séries) // d’après un manga de Meme Higashiya

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Ro-Kyu-Bu! SS 01 – Primary school girls are great (parait-il) !!

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– Subaru, j’aimerai apprendre à faire des bébés… avec toi.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »] »Mais parlera-t-il un jour d’un bon anime ? »
J’espère le faire d’ici la fin de la semaine, car j’ai beaucoup d’espoir pour une des séries dont je suis sensé chroniquer le premier épisode. Mais en attendant, ce n’est pas le cas, puisque je suis venu parler de la suite de cet étron qu’on appelle Ro-Kyu-Bu!

Ro-Kyu-Bu! SS… SS, surement une façon de dire que la qualité, c’est nazi, et qu’après tout, en tant que studio, on a bien le droit de faire de la bonne grosse merde à à peu près tous les niveaux (à moins que ça ne signifie simplement Second Season).

Bref, pour résumer, Ro-Kyu-Bu!, c’était cette merveilleuse histoire d’un lycéen basketteur qui va se retrouver coach de l’équipe féminine de basket d’une école primaire. Et évidemment, toutes les filles de l’équipe vont en faire leur idole masturbatoire pour occuper leurs nuits solitaires. A côté de ça, l’anime nous propose des scènes absolument cruciales, nous montrant les innocentes petites prendre des bains, s’entre-tripoter sous les douches, jouer avec le membre de leur entraineur (ah non, merde, ça c’est dans les doujins)… et accessoirement, jouer au basket (en fait je suis mauvais langue… Ro-Kyu-Bu! donne plus de place au basket que K-On! à la musique… vilénie).

Enfin bref, à mon humble avis, Ro-Kyu-Bu! était une sombre merde qui n’aurait jamais dû sortir des cerveaux malades de ses créateurs et plus encore, qui n’aurait jamais dû rencontrer assez de succès pour qu’une saison 2 puisse voir le jour… encore une fois, « Merci Japon !! » (sinon, il n’y a pas assez de matière pour nous faire une autre saison de l’Odyssée de Kino ?)

Mais bref, passons au vif du sujet (tiens, et pour changer, je vais utiliser la méthode Amo).

Ro-Kyu-Bu! SS // Project No. 9 // Débuté en juillet 2013 // Prévu en 12 épisodes // Réalisateur : Keizou Kusakawa (Dog Days, Nanoha, Gen’ei wo Kakeru Taiyo) // D’après un Light Novel de Sagu Aoyama

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Love Lab 01 – L’Art d’aimer, version moe (et yuri ?)

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Moi, quand j’ai découvert que je venais de me porter volontaire pour présenter un anime des créateurs de Yuru Yuri.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Je m’appelle Nock, je suis venu critiquer une série qui n’intéresse aucun rédacteur de Minorin et prouver encore une fois mon mauvais goût. Je suis venu parler de Love Lab. L’adaptation d’un manga dont personne n’a jamais entendu parler. Adaptation portée par toute l’équipe de Yuru Yuri : même réalisateur, même compositeur, même chara-designer, même scénariste… une belle équipe de champions si vous voulez mon avis.
Bref, Yuru Yuri est un anime objectivement pas terrible que je me plais à m’infliger et j’ai fait le pari que le jour où une saison 3 sort, je chroniquerai chaque épisode sur Minorin. Donc, en toute logique, je ne pouvais pas passer à côté de ce Yuru Yuri 2.5. Pour le meilleur comme pour le pire.

Et honnêtement, je devrais peut-être en avoir honte, mais j’ai apprécié ce premier épisode. Si si.

Love Lab // Dogakobo // Début en juillet 2013 // Prévu pour 13 épisodes // Réalisateur : Masahiko Oota (Kotoura-san, Mitsudomoe (1 & 2), Minami-Ke (1), Yuru Yuri (1 & 2) // D’après un manga de Ruri Miyahara

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Yama no Susume 13 – This is (enfin) the end…

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Cette série diabolique n’avait donc pas encore fini de violer mon âme ?!

Lecteurs réguliers du blogs, vous n’êtes surement pas passés à côté des critiques on ne peut plus consciencieuses des 12 premiers épisodes de la série.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »] »Quand il n’y en a plus, il y en a encore… » un dicton (débile) qui est assez adapté à l’animation japonaise qui apprécie de créer des épisodes supplémentaires qui ne seront distribués qu’aux vrais fans, ceux qui soutiennent l’œuvre en achetant les DVD / BR.
Un bonus dont je me serait bien passé pour la médiocre Yama no Susume, mais, soit, il est là, et ne pas le regarder me donnerai l’impression de pas vraiment achever la série, d’avoir souffert en vain.
Et tant qu’à faire, autant que vous en profitiez vous aussi. Après tout, il n’y a pas de raisons que je sois le seul à avoir des envies de suicide. Et puis ça me permet de réapparaitre un peu sur Minorin…

Yama no Susume // Studio 8bits // Débuté en janvier 2013 // Série en 12 épisodes (de 3 minutes 30) et un épisode bonus // Réalisateur : Yuusuke Yamamoto

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Shigofumi 01 & 02 – Ce que l’avenir vous promet, la Poste vous l’apporte

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Au menu du jour, de la joie et de l’insouciance… et plus, si affinités…

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Comment choisissez-vous vos anime ? Un synopsis alléchant ? Des retours positifs ? Un réalisateur particulier ? Ou bien piochez-vous au pif dans la masse de la production, avec pour seul point de chute la présence d’un doubleur particulier, ou autres raisons des plus pointues ?
Il existe un concept que j’apprécie : la sérendipité, que l’on pourrait plus ou moins définir comme le fait de faire une découverte inattendue par hasard alors que l’on recherche quelque chose de différent.
Pourquoi tout ce blabla inutile ? Pour introduire Shigofumi, dont je n’avais jamais entendu parler jusqu’à ce que je commence à loucher vers les illustrations du chara-designer original de l’Odyssée de Kino qui est aussi celui de Shigofumi.

Alors puis-je vraiment parler d’heureuse découverte à propos de Shigofumi ? Je n’en sais rien, pour la simple et bonne raison que je n’en ai vu pour l’instant qu’une paire d’épisode.

Et une fois n’est pas coutume, jouant avec les règles de Minorin, je vous propose un billet 2 en 1. La raison a cela est très simple, plus que mon désir d’outrepasser avec véhémence les limites fixées par Amo, je juge assez idiot de séparer les deux épisodes alors qu’ils forment à eux deux une histoire continue, cohérente, avec une situation initiale, un retournement, des péripéties, un dénouement et une situation finale.
Et le tout avec des morts et dans la joie et la bonne humeur.

Shigofumi – Stories of Last Letter // J.C. Staff // Hiver 2008 // Série finie en 12 épisodes et une OAV // Réalisateur : Tatsuo Satou (Bodacious Space Pirates, Lagrange…) // D’après les LN de Ryo Amamiya, illustrés par Kohaku Kuroboshi (Kino, One Off…)

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L’Attaque des titans 01 – ‘Y a d’la joie…

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L’une des scènes de cet épisode que j’attendais le plus. Et je n’ai pas été déçu. [plaisir sadique]

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Voilà plusieurs fois que dans les commentaires du site, un individu dont j’ai oublié le pseudo (désolé) nous demande si nous comptons parler de l’Attaque des Titans, LE show de ce printemps.
C’est effectivement prévu, mais malheureusement, la personne en charge de cette série n’a vraisemblablement pas trouvé le temps de rédiger un avis dessus.

Personnellement, je n’avais pas envie de rédiger un billet sur le premier épisode, pas parce que je n’ai pas apprécié la série (bien au contraire) mais simplement parce que j’ai peur que cela se résume à faire un résumé et ajouter des éléments comme « c’est bien », c’est une adaptation fidèle.

Finalement, je me suis résolu à écrire un petit quelque chose là-dessus, mais j’ai choisi de ne m’attarder que sur quelques points, comme nous le constaterons à l’occasion.

Mais d’abord les considérations techniques :
L’Attaque des titans est une série prévue (pour l’instant) sur 25 épisodes. Animée au sein du studio Wit (dont il s’agit de la première production), en collaboration avec le célébrissime studio Production I.G., cette série, réalisée par Tetsuro Araki (Death Note, Guilty Crown), adapte le manga d’Hajime Isayama, grand succès du magazine Bessatsu Shōnen Magazine (de Kodansha) (et bientôt disponible en France chez Pika).

En France, la série est diffusée légalement par Wakanim (avec le système habituel, chaque épisode est visible gratuitement pendant 30 jours). Un nouvel épisode sort tous les lundis.

Shingeki no Kyoujin, L’Attaque des titans // Studios : Wit & Production I.G. // Débuté en avril 2013 // Prévu en 25 épisodes // Réalisateur : Tetsuro Araki // D’après un manga d’Hajime Isayama

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Aiura 01 – Des crabes et… euh… des lycéennes (?)

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Aiura, une émouvante histoire d’amitié entre une jeune fille et un crabe.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Tout au cours de notre vie, nous sommes amené à faire des expériences. Certaines, particulièrement désagréables ou douloureuses nous serviront de leçons, nous apprendront que l’on fait parfois des erreurs qu’il ne faut pas réitérer.
Chat échaudé craint l’eau froide dit-on.

Foutaises.
Aujourd’hui, je viens vous montrer que je n’ai rien appris de mes expériences minorinesques, puisque à peine la saison hiver 2013 finie, je me relance déjà sur un anime reprenant la formule « tranches de vie + format ultra court ».

Il est temps de repartir sur de nouvelles bases. Et cette fois-ci, je ne ferai plus la même erreur. S’il y a une chose que le traumatisme Yama no Susume m’a appris, c’est de ne rien attendre de ces animes ultra-courts.

Aiura // Liden Films (Senyuu) // Débuté en avril 2013 // 12 épisodes prévus // Réalisateur : Ryousuke Nakamura (Melos, Nerawareta Gakuen…)

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Mushibugyou 01 – Des insectes, des samurai, des nichons et du fun

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A peu près ma tête une fois l’épisode fini.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Mushibugyou est une série réalisée par Takayuki Hamana (Prince of Tennis, Library Wars) au sein du studio Seven Arcs (Sekirei, Dog Day’s).
Cette série, dont le nombre d’épisodes total n’a pas encore été annoncé, est adaptée d’une étoile montante du magazine Shônen Sunday.
Mushibugyou est un manga shônen signé Hiroshi Fukada. Cette série de 3 volumes, parue entre 2009 et 2010 rencontre suffisamment de succès pour que l’auteur décide, en janvier 2011, de se lancer dans un reboot, Joujuu Senjin!! Mushibugyou, encore en cours de publication après 9 volumes.
Le manga est par ailleurs disponible depuis octobre 2012 en France, aux éditions Delcourt, sous le titre Jinbe Evolution.

Mais assez de considérations techniques. Ce qui me plait dans ce manga, qui dans le fond n’est jamais qu’un shônen tout ce qu’il y a de plus classique, c’est son dynamisme : le style assez personnel de l’auteur, le rythme survolté, les personnages classes…
Autant dire que j’attends cette adaptation au tournant. Va-t-elle réussir à conserver ce dynamisme, ou, au contraire, tout foutre en l’air (par manque de moyen par exemple ?)

Tant pis si je vous spoile la fin de ce billet, mais je suis forcé d’avouer que si cet épisode n’a surement pas été aussi bon que je l’aurais souhaité, il se révèle tout de même largement plus réussi que ce que je craignais.

Mushibugyou // Seven Arcs // débuté en avril 2013 // Nombre d’épisodes inconnus // Réalisateur : Takayuki Hamana // d’après le manga de Hiroshi Fukada

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Aku no Hana 01 – Les adaptations, cet univers impitoyable

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Libres à vous de voir en cette image une métaphore, mais non, le message n’est pas « Eh ! les mecs de chez Zexcs, je vous pisse à la raie ! »

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Aku no Hana (les Fleurs du Mal) est un manga en cours de parution au Japon. La publication à commencé en 2009 et la série compte actuellement une dizaine de tomes.

J’ai eu l’occasion de découvrir ce manga au printemps dernier en feuilletant un des volumes japonais qui m’avait tapé à l’œil. Au milieu de la pile d’échantillons trônant sur un bureau dans la maison d’édition qui m’avait pris en stage, les couvertures ont attiré mon attention. J’ai par la suite lu quelques chapitres en anglais, et découvert que j’appréciais plutôt cette série.


On peut donc dire que je fais partie des personnes qui ont commencé à fantasmer lorsqu’un studio (bon, c’était Zexcs, certes) a annoncé l’adaptation de Aku no Hana. J’ai également souillé mes chausses en découvrant que la réalisation allait être confié à l’homme qui avait occupé ce même poste pour des séries comme Mushishi ou L’Autre Monde.

Raisonnablement, je fais donc également parti des personnes quelque peu désappointées par ce premier épisode, qui a déjà fait couler pas mal d’encre virtuelle, de ce que j’ai cru comprendre.
Je m’en vais donc ajouter ma pierre à l’édifice. Et soyez prévenu, je n’ajouterai rien de nouveau par rapport à ce qui a déjà pu être dit.

Aku no Hana // Zexcs (Umi Monogatari, Dark Rabbit, Chuu Bra!!) // Débuté en avril 2013 // 13 épisodes prévus //Réalisateur : Hiroshi Nagahama (Mushishi, L’Autre Monde)

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Yama no Susume 12 – Enfin libre !

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Twist final : devant tant de nullité et désespérée d’avoir été sous-exploitée, Kaede pète les plombs et massacre Aoi et Kokona à coup de couteau, Higurashi-style.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Il est temps de tout vous avouer.
La vérité n’est guère plaisante, mais il y a des choses que je ne peux cacher plus longtemps. Si j’ai écrit ces billets sur cette série (eh, il y en a déjà onze sur Minorin), ce n’est pas par passion, ni par amour de la série (vous vous en serez certainement rendu compte). Non, c’est tout simplement parce qu’on ne m’a pas laissé le choix.

L’éminence grise (dont je tairais le nom) derrière ce site me séquestre depuis plus d’un mois dans une cave lugubre et humide. Mais bientôt, mon calvaire prendra fin.

Pardon ? On a dit pertinent et professionnel ?

Bon d’accord.

Voici donc venu le moment de conclure. Yama no Susume aura été (si cet article ne tarde pas trop à paraître) la première série couverte dans son intégralité par Minorin, coiffant au poteau Amo et Sasami-san@Ganbaranai.

« Certes, tu es le premier à couvrir une série dans son entièreté, me direz-vous, mais bon, tu t’es quand même tapé une grosse merde pendant 12 semaines d’affilée pour arriver à ce résultat. »

Et vous avez raison, malheureusement.

Et comme toutes les personnes ayant travaillé sur cet anime semblent me détester profondément, surtout les scénaristes (s’il y en a, ce qui serait étonnant, à moins que l’on ait confié ce poste à des stagiaires), tout ce petit monde s’est résolu à finir la série en beauté, en nous concoctant un dernier épisode de merde.

Ceci dit, c’est le contraire qui aurait été étonnant.

Yama no Susume // Studio 8bits // Débuté en janvier 2013 // Finie en 12 épisodes (de 3 minutes 30) // Réalisateur : Yuusuke Yamamoto (mais qu’allait-il faire dans cette galère ?

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Yama no Susume 11 – Aujourd’hui, c’est pyjama party !

Prélude : le titre du jour n’est pas une invention de ma part, afin de signaler à quel point je trouve l’anime soporifique. Non, il s’agit d’une description réaliste du contenu de l’épisode.

Tenez, une fois n’est pas coutume, je vais commencer par un screen qui ne provient pas de l’épisode du jour, et que j’ai honteusement piqué à Amo. Comme il est très parlant, je ne le légenderai pas.

Sasami1010

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Pour ce pénultième épisode, j’aurais apprécié pouvoir crier « Les miracles existent, je me fais mormon », mais je crois que le studio 8-bits s’est amusé, une fois de plus, à briser les derniers fragments d’espoir qui restaient en moins.
D’ailleurs, si vous voulez suivre le récit de ma longue descente aux enfers, vous trouverez tous les articles précédents sur ce site, et plus précisément à cet endroit.

Parfois je me dit que le réalisateur de cette série a œuvré au même poste sur Bienvenue dans la NHK. Dans ces moments-là, je me mets en position fœtale dans un coin de ma chambre et je pleure.

Yama no Susume // Studio 8bits // Débuté en janvier 2013 // Prévu pour 12 épisodes (de 3 minutes 30) // Réalisateur : Yuusuke Yamamoto

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Yama no Susume 10 – Courage ! C’est bientôt la fin

yama1009

– YMCA !!
La montagne ne leur plaisait plus. Elles ont décidé de se reconvertir en girls’ band.

[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]S’il y a quelqu’un qui lit ces articles, il est déjà au courant, mais au cas où, je signale que tous les épisodes précédents ont déjà été couverts par Minorin : Yama no Susume 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9.

Soyons honnête : ce matin, en regardant l’épisode 10 de cette (super) mini-série, je me suis demandé ce que j’allais bien pouvoir raconter sur ce site.
Vous allez donc assister (comme depuis quelques semaines en fait) à du bricolage et remplissage (exercice que je maîtrise pour les rapports et autres dissertations, mais moins pour les billets).
L’épisode du jour est la suite directe des deux épisodes précédents.

Yama no Susume // Studio 8bits // Débuté en janvier 2013 // Prévu pour 12 épisodes (de 3 minutes 30) // Réalisateur : Yuusuke Yamamoto

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Yama no Susume 09 – Et de quatre !

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Dans cet épisode, la mort d’Aoi, déchiquetée par un ours, change brusquement le ton de la série.


[avatar user= »Nock » size= »original » align= »left »]Bla bla bla… billets précédents : Yama no Susume 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8.

C’est le moment des confessions et autres excuses. En théorie cet article aurait dû paraître avant mercredi dernier, c’est à dire avant la sortie de l’épisode 10. Seulement, j’ai déjà du mal à bosser de façon régulière, alors vu mon manque de motivation dans le cas présent…
Pour résumer :
1/ La série ne me passionne guère.
2/ Je commence à comprendre qu’écrire des articles hebdomadaires sur des épisodes de 3 minutes n’était peut-être pas une si bonne idée.

Mais bon, l’épisode précédent était assez sympa et celui-ci est sa suite directe. Avec un peu de chance, ça sera potable.

Yama no Susume // Studio 8bits // Débuté en janvier 2013 // Prévu pour 12 épisodes (de 3 minutes 30) // Réalisateur : Yuusuke Yamamoto

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